La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) refait surface après une absence qui a duré un peu plus d'un mois. Depuis exactement le 24 février dernier où ses membres ont pris part à la manifestation organisée par l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO), la CNLTD était, en effet, aux abonnées absents. La Coordination nationale pour les libertés et la transition démocratique (CNLTD) refait surface après une absence qui a duré un peu plus d'un mois. Depuis exactement le 24 février dernier où ses membres ont pris part à la manifestation organisée par l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO), la CNLTD était, en effet, aux abonnées absents. Ce jour-là toute l'opposition s'est donné le mot pour manifester ensemble contre l'exploitation du gaz de schiste. Ce retour sur scène sera marqué, notamment, par l'organisation de nombreuses conférences thématiques. C'est ce qui a été décidé avant-hier lundi lors de la réunion de la CNLTD. Selon le programme établi par les membres de la CNLTD il sera question d'organiser une conférence chaque mardi de la semaine. Dès le mardi prochain, ainsi, aura lieu la première conférence. Elle sera consacrée à la thématique de la chute du prix du pétrole et ses conséquences sur l'économie nationale. D'autres thèmes seront développés lors des conférences qui suivront et la CNLTD va faire un zoom respectivement sur la commission nationale indépendante de surveillance des élections et sur la corruption et ses effets néfastes sur la sécurité du pays. Avec ce programme on a l'impression que c'est du déjà vu car ce n'est pas la première fois que la CNLTD a prévu d'organiser des conférences thématiques. L'année passée, elle a en effet vainement essayé, mais n'a pu obtenir les autorisations de l'administration pour la tenue de ces rencontres. Elle est aussi revenue à la charge au tout début du mois de février en programmant, à l'hôtel Essafir d'Alger, une conférence sur la commission indépendante de surveillance des élections. Cette fois-ci encore l'administration s'est de nouveau montrée inflexible en refusant l'octroi d'une autorisation indispensable pour la tenue d'une telle rencontre. Les membres de la CNLTD, dépités par ce refus, avaient alors improvisé une marche à Alger pour dénoncer l'attitude des pouvoirs publics. En voulant de nouveau revenir à la charge sur cette question des conférences thématiques d'aucuns estiment que la CNLTD ne fait que tourner en rond. Une situation qui illustre on ne peut mieux son impuissance face à un pouvoir qui s'est de tout temps montré inflexible face à l'opposition. Autant dire, comme l'estiment de nombreux analystes, que la CNLTD fait ainsi montre de ses limites, voire même de son impuissance, à faire face aux desseins du pouvoir. En multipliant les mêmes gesticulations l'opposition en général et la CNLTD en particulier n'arrivent pas à contrecarrer les ambitions du pouvoir ni, par voie de conséquence, à infléchir le cours des événements. Il en est ainsi du projet de révision constitutionnel. Un projet qui sera selon toute vraisemblance présenté devant le Parlement dans les semaines à venir. Il est vrai cependant que l'opposition a quelque peu marqué des points sur cette question. L'opposition a, en boycottant les consultations sur le projet de révision constitutionnelle, fait barrage à l'ambition du pouvoir d'avoir une Constitution consensuelle. L'opposition, regroupée au sein de l'ICSO, veut aussi organiser un autre congrès, dont la date n'a pas encore été fixée. Elle compte, apparemment, faire mieux et plus que le précédent congrès tenu le 10 juin 2014 à Zéralda. Mais là aussi que d'aucuns s'interrogent sur l'utilité d'un tel conclave puisque le précédent congrès n'a pas changé grand-chose à la situation politique. Ce jour-là toute l'opposition s'est donné le mot pour manifester ensemble contre l'exploitation du gaz de schiste. Ce retour sur scène sera marqué, notamment, par l'organisation de nombreuses conférences thématiques. C'est ce qui a été décidé avant-hier lundi lors de la réunion de la CNLTD. Selon le programme établi par les membres de la CNLTD il sera question d'organiser une conférence chaque mardi de la semaine. Dès le mardi prochain, ainsi, aura lieu la première conférence. Elle sera consacrée à la thématique de la chute du prix du pétrole et ses conséquences sur l'économie nationale. D'autres thèmes seront développés lors des conférences qui suivront et la CNLTD va faire un zoom respectivement sur la commission nationale indépendante de surveillance des élections et sur la corruption et ses effets néfastes sur la sécurité du pays. Avec ce programme on a l'impression que c'est du déjà vu car ce n'est pas la première fois que la CNLTD a prévu d'organiser des conférences thématiques. L'année passée, elle a en effet vainement essayé, mais n'a pu obtenir les autorisations de l'administration pour la tenue de ces rencontres. Elle est aussi revenue à la charge au tout début du mois de février en programmant, à l'hôtel Essafir d'Alger, une conférence sur la commission indépendante de surveillance des élections. Cette fois-ci encore l'administration s'est de nouveau montrée inflexible en refusant l'octroi d'une autorisation indispensable pour la tenue d'une telle rencontre. Les membres de la CNLTD, dépités par ce refus, avaient alors improvisé une marche à Alger pour dénoncer l'attitude des pouvoirs publics. En voulant de nouveau revenir à la charge sur cette question des conférences thématiques d'aucuns estiment que la CNLTD ne fait que tourner en rond. Une situation qui illustre on ne peut mieux son impuissance face à un pouvoir qui s'est de tout temps montré inflexible face à l'opposition. Autant dire, comme l'estiment de nombreux analystes, que la CNLTD fait ainsi montre de ses limites, voire même de son impuissance, à faire face aux desseins du pouvoir. En multipliant les mêmes gesticulations l'opposition en général et la CNLTD en particulier n'arrivent pas à contrecarrer les ambitions du pouvoir ni, par voie de conséquence, à infléchir le cours des événements. Il en est ainsi du projet de révision constitutionnel. Un projet qui sera selon toute vraisemblance présenté devant le Parlement dans les semaines à venir. Il est vrai cependant que l'opposition a quelque peu marqué des points sur cette question. L'opposition a, en boycottant les consultations sur le projet de révision constitutionnelle, fait barrage à l'ambition du pouvoir d'avoir une Constitution consensuelle. L'opposition, regroupée au sein de l'ICSO, veut aussi organiser un autre congrès, dont la date n'a pas encore été fixée. Elle compte, apparemment, faire mieux et plus que le précédent congrès tenu le 10 juin 2014 à Zéralda. Mais là aussi que d'aucuns s'interrogent sur l'utilité d'un tel conclave puisque le précédent congrès n'a pas changé grand-chose à la situation politique.