Le tout nouveau secrétaire général par intérim du RND, Ahmed Ouyahia , a indiqué que le pays n'est pas à la veille de la tenue d'une quelconque élection anticipée. Le tout nouveau secrétaire général par intérim du RND, Ahmed Ouyahia , a indiqué que le pays n'est pas à la veille de la tenue d'une quelconque élection anticipée. Il apporte ainsi un clair démenti à toutes les informations, distillées ça et là depuis quelques temps, selon lesquelles le retour d'Ouyahia à la tète du RND et le renforcement du pouvoir de Amar Saidani à la tête du FLN, ne sont que le prélude à la tenue d'élections générales anticipées. Il serait même question, à en croire certaines spéculations, de préparer la succession du président Bouteflika, dont on dit qu'il n'irait pas au terme de son mandat. « Aucune élection anticipée n'est inscrite à l'ordre du jour, ni législative, ni présidentielle » a indiqué en effet Ahmed Ouyahia, en ajoutant que « mon retour à la tête du parti a été dicté par des raisons internes ». Ouyahia , qui s'exprimait avant-hier jeudi lors d'une conférence de presse organisée à l'issue de la tenue de la 4é session du conseil national de son parti, a précisé par conséquent que le président Bouteflika va aller au terme de son 4é mandat qui expirera en 2019. Le secrétaire général par intérim du RND a aussi refusé toute idée de période de transition, comme ne cesse de le clamer l'opposition, regroupée au sein de l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO). Il dira à ce effet que son parti "s'oppose aux tentatives de substituer l'opinion d'un groupe politique à celle d'un peuple" précisant dans la foulée «qu'une seule voie dans le pluralisme en matière d'alternance du pouvoir à savoir le peuple et non le consensus national ni la période de transition». Le conférencier a aussi démenti les informations selon lesquelles le frère du président, Saïd Bouteflika, serait peut être le successeur du chef de l'Etat. «Saïd Bouteflika n'a pas d'ambition présidentielle » a répondu sèchement Ahmed Ouyahia. Le nouveau chef de file du RND a aussi « dédramatisé » la lettre de félicitations adressée par le vice ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'ANP, Ahmed Gaid Salah, au secrétaire général du FLN . "C'est juste un message de félicitation d'un frère à un frère et rien de plus" a-t-il clamé invitant la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, à « modérer ses paroles ». « Lorsque on dit que la lettre de Gaid Salah au secrétaire général du FLN est un viol de la conscience des soldats de l'ANP, cela devient inquiétant ». dans la même lignée i a défendu le général-major Médiéne, chef du DRS. « je salue le DRS et je salue Toufik, en tant que frère et compagnon ainsi que les centaines de milliers de personnes qui veillent à la protection du pays et qui consentent d'immenses sacrifices » dira Ouyahia, qui n'a pas manqué aussi de faire des louanges au président du FCE, Ali Haddad, alors que ce dernier est attaqué par de nombreux politiques et notamment par Louisa Hanoune. « Oui , Ali Haddad a reçu des ambassadeurs et ce n'est pas de la haute trahison. Et au lieu de dire Alhamdoulilah, nous avons un patronat capable de rencontrer des partenaires étrangers et d'attirer des investisseurs étrangers, on critique cette démarche », a-t-il dit. Et d'ajouter « qu'au lieu de critiquer ceux qui ramènent de la sale marchandise avec de l'argent sale, on s'attaque au patronat dirigé par Ali Haddad». Ouyahia a aussi assumé en indiquant « avoir fait de la sale besogne»et a précisé « ne rien regretter car je n'ai que des factures à rembourser pour l'Algérie ». Il s'est dit favorable à l'exploitation du gaz de schiste car l'Algérie a besoin de mobiliser toutes ses ressources. Il a dans ce même cadre accusé un pays qui voudrait vendre à l'Algérie de l'énergie nucléaire de « vouloir parasiter » le projet du gaz de schiste. Interrogé sur le projet de révision de la Constitution, le conférencier a soutenu que cela relève des prérogatives du président de la République. Notons enfin qu' Ouyahia a déclaré que le congrès du RND aura lieu au mois de mai 2016 et qu'il ne compte pas démissionner de son poste de directeur de cabinet de la présidence de la République. Il apporte ainsi un clair démenti à toutes les informations, distillées ça et là depuis quelques temps, selon lesquelles le retour d'Ouyahia à la tète du RND et le renforcement du pouvoir de Amar Saidani à la tête du FLN, ne sont que le prélude à la tenue d'élections générales anticipées. Il serait même question, à en croire certaines spéculations, de préparer la succession du président Bouteflika, dont on dit qu'il n'irait pas au terme de son mandat. « Aucune élection anticipée n'est inscrite à l'ordre du jour, ni législative, ni présidentielle » a indiqué en effet Ahmed Ouyahia, en ajoutant que « mon retour à la tête du parti a été dicté par des raisons internes ». Ouyahia , qui s'exprimait avant-hier jeudi lors d'une conférence de presse organisée à l'issue de la tenue de la 4é session du conseil national de son parti, a précisé par conséquent que le président Bouteflika va aller au terme de son 4é mandat qui expirera en 2019. Le secrétaire général par intérim du RND a aussi refusé toute idée de période de transition, comme ne cesse de le clamer l'opposition, regroupée au sein de l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO). Il dira à ce effet que son parti "s'oppose aux tentatives de substituer l'opinion d'un groupe politique à celle d'un peuple" précisant dans la foulée «qu'une seule voie dans le pluralisme en matière d'alternance du pouvoir à savoir le peuple et non le consensus national ni la période de transition». Le conférencier a aussi démenti les informations selon lesquelles le frère du président, Saïd Bouteflika, serait peut être le successeur du chef de l'Etat. «Saïd Bouteflika n'a pas d'ambition présidentielle » a répondu sèchement Ahmed Ouyahia. Le nouveau chef de file du RND a aussi « dédramatisé » la lettre de félicitations adressée par le vice ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'ANP, Ahmed Gaid Salah, au secrétaire général du FLN . "C'est juste un message de félicitation d'un frère à un frère et rien de plus" a-t-il clamé invitant la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, à « modérer ses paroles ». « Lorsque on dit que la lettre de Gaid Salah au secrétaire général du FLN est un viol de la conscience des soldats de l'ANP, cela devient inquiétant ». dans la même lignée i a défendu le général-major Médiéne, chef du DRS. « je salue le DRS et je salue Toufik, en tant que frère et compagnon ainsi que les centaines de milliers de personnes qui veillent à la protection du pays et qui consentent d'immenses sacrifices » dira Ouyahia, qui n'a pas manqué aussi de faire des louanges au président du FCE, Ali Haddad, alors que ce dernier est attaqué par de nombreux politiques et notamment par Louisa Hanoune. « Oui , Ali Haddad a reçu des ambassadeurs et ce n'est pas de la haute trahison. Et au lieu de dire Alhamdoulilah, nous avons un patronat capable de rencontrer des partenaires étrangers et d'attirer des investisseurs étrangers, on critique cette démarche », a-t-il dit. Et d'ajouter « qu'au lieu de critiquer ceux qui ramènent de la sale marchandise avec de l'argent sale, on s'attaque au patronat dirigé par Ali Haddad». Ouyahia a aussi assumé en indiquant « avoir fait de la sale besogne»et a précisé « ne rien regretter car je n'ai que des factures à rembourser pour l'Algérie ». Il s'est dit favorable à l'exploitation du gaz de schiste car l'Algérie a besoin de mobiliser toutes ses ressources. Il a dans ce même cadre accusé un pays qui voudrait vendre à l'Algérie de l'énergie nucléaire de « vouloir parasiter » le projet du gaz de schiste. Interrogé sur le projet de révision de la Constitution, le conférencier a soutenu que cela relève des prérogatives du président de la République. Notons enfin qu' Ouyahia a déclaré que le congrès du RND aura lieu au mois de mai 2016 et qu'il ne compte pas démissionner de son poste de directeur de cabinet de la présidence de la République.