Une conférence nationale ayant pour thème "L'évaluation du système licence-master-doctorat (LMD)" sera organisée avant la fin de l'année en cours, a annoncé avant-hier à Aïn-Defla le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar. Une conférence nationale ayant pour thème "L'évaluation du système licence-master-doctorat (LMD)" sera organisée avant la fin de l'année en cours, a annoncé avant-hier à Aïn-Defla le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar. Cette conférence a "pour objectif d'évaluer le système LMD mis en place en Algérie en 2004 en vue de remédier à ses carences et renforcer ses aspects positifs", a indiqué Hadjar lors d'un point de presse à l'issue de sa visite à l'université Djillali-Bounaâma de Khemis-Miliana. Le ministre a, dans ce contexte, fait état de l'organisation, dès la prochaine rentrée universitaire, de rencontres auxquelles prendront part les étudiants ayant opté pour le système LMD, la "famille universitaire", les organisations estudiantines ainsi que les responsables d'entreprises économiques. "Même dans le cas où un système donné est adopté dans de bonnes conditions, il n'en demeure pas moins que son évaluation est nécessaire au regard des changements rapides dans les domaines des sciences et de la technologie mais aussi de l'influence de l'aspect socioéconomique sur le fonctionnement de l'université", a-t-il souligné. Tahar Hadjar a, par ailleurs, fait état de la prise, dès la prochaine rentrée universitaire, de mesures visant à créer un "climat de stabilité encourageant le travail serein" au sein de l'université au profit des étudiants, des enseignants et des travailleurs. Selon lui, ces mesures vont permettre de surmonter les "problèmes" propres aux campus universitaires qui "infectent" le climat général et empêchent le bon déroulement du processus d'enseignement, relevant que la mission dévolue aux étudiants et aux enseignants doit se limiter au seul domaine scientifique et pédagogique. Le rôle joué par l'université en matière de développement socio-économique, le ministre a mis l'accent sur la nécessité de la prise en considération, par ces espaces de sciences et de recherche, des spécificités propres à chaque région en vue de dynamiser le développement local. "Les recteurs doivent absolument introduire des spécialités ayant un rapport direct avec la vocation de leur région mais aussi qui tiennent compte de l'environnement socio-économique afin que l'université puisse véritablement rayonner sur la société entière", a-t-il soutenu. Au cours de sa visite à l'université Djilali-Bounaâma de Khemis-Miliana le ministre a inspecté les travaux de réalisation du nouveau rectorat et de cinq (5) laboratoires de recherches. Il s'est également enquis du taux d'avancement de la réalisation de la bibliothèque universitaire centrale de 1.000 places avant de procéder à la pose de la première pierre du projet de réalisation de 6.000 places pédagogiques. Cette conférence a "pour objectif d'évaluer le système LMD mis en place en Algérie en 2004 en vue de remédier à ses carences et renforcer ses aspects positifs", a indiqué Hadjar lors d'un point de presse à l'issue de sa visite à l'université Djillali-Bounaâma de Khemis-Miliana. Le ministre a, dans ce contexte, fait état de l'organisation, dès la prochaine rentrée universitaire, de rencontres auxquelles prendront part les étudiants ayant opté pour le système LMD, la "famille universitaire", les organisations estudiantines ainsi que les responsables d'entreprises économiques. "Même dans le cas où un système donné est adopté dans de bonnes conditions, il n'en demeure pas moins que son évaluation est nécessaire au regard des changements rapides dans les domaines des sciences et de la technologie mais aussi de l'influence de l'aspect socioéconomique sur le fonctionnement de l'université", a-t-il souligné. Tahar Hadjar a, par ailleurs, fait état de la prise, dès la prochaine rentrée universitaire, de mesures visant à créer un "climat de stabilité encourageant le travail serein" au sein de l'université au profit des étudiants, des enseignants et des travailleurs. Selon lui, ces mesures vont permettre de surmonter les "problèmes" propres aux campus universitaires qui "infectent" le climat général et empêchent le bon déroulement du processus d'enseignement, relevant que la mission dévolue aux étudiants et aux enseignants doit se limiter au seul domaine scientifique et pédagogique. Le rôle joué par l'université en matière de développement socio-économique, le ministre a mis l'accent sur la nécessité de la prise en considération, par ces espaces de sciences et de recherche, des spécificités propres à chaque région en vue de dynamiser le développement local. "Les recteurs doivent absolument introduire des spécialités ayant un rapport direct avec la vocation de leur région mais aussi qui tiennent compte de l'environnement socio-économique afin que l'université puisse véritablement rayonner sur la société entière", a-t-il soutenu. Au cours de sa visite à l'université Djilali-Bounaâma de Khemis-Miliana le ministre a inspecté les travaux de réalisation du nouveau rectorat et de cinq (5) laboratoires de recherches. Il s'est également enquis du taux d'avancement de la réalisation de la bibliothèque universitaire centrale de 1.000 places avant de procéder à la pose de la première pierre du projet de réalisation de 6.000 places pédagogiques.