La fièvre dépensière a déjà commencé à l'approche de la fête de l'Aïd. Des dépenses incontournables en habillement surtout pour les enfants et les cadeaux de fête. C'est le cycle de la frénésie. La fièvre dépensière a déjà commencé à l'approche de la fête de l'Aïd. Des dépenses incontournables en habillement surtout pour les enfants et les cadeaux de fête. C'est le cycle de la frénésie. Les rues sont bondées le soir. Partout en Algérie les magasins sont assaillis avec un accent particulier mis sur les dépenses vestimentaires. Dans cette catégorie de dépenses, l'ONS rappelle que 8% des budgets des ménages y sont consacrés par habitant chaque année. Il faut donc quelque 9900 DA en moyenne pour que chaque Algérien se procure vêtements et chaussures pour la fête de l'Aïd et le sondage officiel estime ainsi que les montants globaux de ces dépenses augmentent chaque année où 26% des dépenses en habillement soit pour les hommes ou pour les femmes est établi. Mais cela n'est pas de tout repos pour les familles qui disposent de modestes revenus où il faut une moyenne de 5000 DA pour habiller un enfant sans compter que les prix de l'habillement pour les enfants doublent chaque année. Une robe pour fillette ou un pantalon pour garçon sont cédés dans des magasins d'une artère pas trop commerçante entre 1500 et 2500 DA alors que dans les boulevards principaux où se déversent des quantités de consommateurs les prix de ces articles vont de 2500 à 3500 DA selon les marques et la qualité. Cette année, beaucoup ont préféré acheté « made in Algeria» avec des prix qui sont plutôt raisonnables. Des entreprises ont mis des packs complets pour l'habillement enfantin avec 5000 DA mais selon des témoins rencontrés, les marques algériennes sont certes séduisantes mais sont en manque dans certains magasins. C'est ce qu'on constate de visu dans la capitale où le centre-ville est bouillonnant chaque soirée. Les familles se déplacent tout juste après la rupture du jeûne pour se faire servir en premier. Mais par endroits, il y a des petits « bazars » qui ont cette fois « cassé les prix » pour les ménages smicards et ceux déshérités. Il suffit tout juste de 2000 DA pour habiller son enfant. Dans la périphérie de la capitale, c'est carrément des prix qui sont revus à la baisse dans des braderies aménagées pour la circonstance et qui mettent des articles au choix selon les goûts et les couleurs pour chacun. C'est le même constat pour certains grands magasins pour habillement qui ont créé des enseignes un peu partout en Algérie pour proposer de l'habillement le moins cher possible, histoire d'aider les ménages défavorisés. L'autre phénomène observé durant cette période est la multiplication des magasins de la « friperie » qui eux se mettent au diapason avec de l'habillement enfant, aux couleurs de l' été. Contrairement à ce qu'on attendait, ce n'est pas le grand rush dans ces petits magasins de la « frip ». Des rumeurs et opinions restent en quelque sort défavorables pour ce genre de commerce, même s'ils constituent l'attraction du pauvre. L'absence de garantie sur la qualité et l'étiquette qui ne figure pas dans ces « vieux vêtements usés » correspondant à une appréhension du consommateur moyen préférant aller prospecter ailleurs les bonnes occasions. A ne pas omettre que les familles consacrent également un budget pour la confection de gâteaux de toutes sortes comme le veut la tradition de fête. On remarque que c'est un commerce juteux en cette opportunité pour certains commerces qui se convertissent spécialement pour mettre friandises, confiseries orientales et gâteaux algériens selon l'importance du magasin et du lieu. Les rues sont bondées le soir. Partout en Algérie les magasins sont assaillis avec un accent particulier mis sur les dépenses vestimentaires. Dans cette catégorie de dépenses, l'ONS rappelle que 8% des budgets des ménages y sont consacrés par habitant chaque année. Il faut donc quelque 9900 DA en moyenne pour que chaque Algérien se procure vêtements et chaussures pour la fête de l'Aïd et le sondage officiel estime ainsi que les montants globaux de ces dépenses augmentent chaque année où 26% des dépenses en habillement soit pour les hommes ou pour les femmes est établi. Mais cela n'est pas de tout repos pour les familles qui disposent de modestes revenus où il faut une moyenne de 5000 DA pour habiller un enfant sans compter que les prix de l'habillement pour les enfants doublent chaque année. Une robe pour fillette ou un pantalon pour garçon sont cédés dans des magasins d'une artère pas trop commerçante entre 1500 et 2500 DA alors que dans les boulevards principaux où se déversent des quantités de consommateurs les prix de ces articles vont de 2500 à 3500 DA selon les marques et la qualité. Cette année, beaucoup ont préféré acheté « made in Algeria» avec des prix qui sont plutôt raisonnables. Des entreprises ont mis des packs complets pour l'habillement enfantin avec 5000 DA mais selon des témoins rencontrés, les marques algériennes sont certes séduisantes mais sont en manque dans certains magasins. C'est ce qu'on constate de visu dans la capitale où le centre-ville est bouillonnant chaque soirée. Les familles se déplacent tout juste après la rupture du jeûne pour se faire servir en premier. Mais par endroits, il y a des petits « bazars » qui ont cette fois « cassé les prix » pour les ménages smicards et ceux déshérités. Il suffit tout juste de 2000 DA pour habiller son enfant. Dans la périphérie de la capitale, c'est carrément des prix qui sont revus à la baisse dans des braderies aménagées pour la circonstance et qui mettent des articles au choix selon les goûts et les couleurs pour chacun. C'est le même constat pour certains grands magasins pour habillement qui ont créé des enseignes un peu partout en Algérie pour proposer de l'habillement le moins cher possible, histoire d'aider les ménages défavorisés. L'autre phénomène observé durant cette période est la multiplication des magasins de la « friperie » qui eux se mettent au diapason avec de l'habillement enfant, aux couleurs de l' été. Contrairement à ce qu'on attendait, ce n'est pas le grand rush dans ces petits magasins de la « frip ». Des rumeurs et opinions restent en quelque sort défavorables pour ce genre de commerce, même s'ils constituent l'attraction du pauvre. L'absence de garantie sur la qualité et l'étiquette qui ne figure pas dans ces « vieux vêtements usés » correspondant à une appréhension du consommateur moyen préférant aller prospecter ailleurs les bonnes occasions. A ne pas omettre que les familles consacrent également un budget pour la confection de gâteaux de toutes sortes comme le veut la tradition de fête. On remarque que c'est un commerce juteux en cette opportunité pour certains commerces qui se convertissent spécialement pour mettre friandises, confiseries orientales et gâteaux algériens selon l'importance du magasin et du lieu.