Des attentats quasi-simultanés ont détruit dimanche les voitures de cinq membres des branches armées du Djihad islamique et du Hamas, confronté à la contestation grandissante de salafistes radicaux dans la bande de Ghaza. Des attentats quasi-simultanés ont détruit dimanche les voitures de cinq membres des branches armées du Djihad islamique et du Hamas, confronté à la contestation grandissante de salafistes radicaux dans la bande de Ghaza. Ces attaques n'ont pas été revendiquées pour le moment. La police du Hamas, au pouvoir dans l'enclave palestinienne, n'a accusé personne mais elle a promis que les "saboteurs ne pourraient pas échapper aux sanctions". Ces attentats sont inédits à différents niveaux : c'est la première fois que le Djihad islamique, deuxième force à Ghaza et allié du Hamas, est ainsi visé ; c'est aussi la première fois qu'une attaque coordonnée - les cinq bombes ont explosé en l'espace d'un quart d'heure dans le même quartier de Cheikh Radouane - vise autant de membres des mouvements islamistes à Ghaza. Ces attaques n'ont pas été revendiquées pour le moment. La police du Hamas, au pouvoir dans l'enclave palestinienne, n'a accusé personne mais elle a promis que les "saboteurs ne pourraient pas échapper aux sanctions". Ces attentats sont inédits à différents niveaux : c'est la première fois que le Djihad islamique, deuxième force à Ghaza et allié du Hamas, est ainsi visé ; c'est aussi la première fois qu'une attaque coordonnée - les cinq bombes ont explosé en l'espace d'un quart d'heure dans le même quartier de Cheikh Radouane - vise autant de membres des mouvements islamistes à Ghaza.