Sonatrach va poursuivre son effort d'investissement en maintenant tous ses grands projets stratégiques qu'elle compte développer, et ce, avec le concours, en partie, des entreprises nationales. Sonatrach va poursuivre son effort d'investissement en maintenant tous ses grands projets stratégiques qu'elle compte développer, et ce, avec le concours, en partie, des entreprises nationales. C'est ce qu'a affirmé le P.-dg de Sonatrach, Amine Mazouzi, dans un entretien à l'APS, le premier accordé à la presse nationale depuis sa nomination, en mai dernier, à la tête de la compagnie nationale pétrolière. Sonatrach se doit d'anticiper et de préparer la reprise en maintenant tous les grands projets structurants de long terme, assuret- il en expliquant que l'industrie pétrolière se développe avec une logique de long terme en faisant face aux ralentissements cycliques. De ce fait, cet épisode de baisse des prix ne peut constituer une entrave à la poursuite des investissements de Sonatrach qui a appris à gérer, selon M. Mazouzi, ‘‘les périodes de turbulence'' grâce à l'excellence et à l'engagement des équipes opérationnelles sur le terrain. Sonatrach est en mesure, en effet, d'adapter et d'améliorer sa façon de faire pour assurer sa rentabilité, assure-t-il. L'adaptation se fera par des actions concrètes sur le terrain en accordant, d'abord, la priorité aux projets de Sonatrach les plus rentables économiquement dans toute décision d'investissement et en associant, ensuite, les entreprises nationales dans la réalisation de ses grands projets. M. Mazouzi s'est engagé, à ce titre, à impliquer davantage l'outil national dans l'exécution du programme d'investissement de Sonatrach. De surcroît, Sonatrach est en train de mettre en oeuvre des initiatives visant à réduire les coûts des projets en adoptant les standards internationaux de qualité technique à même aussi de préserver la santé des effectifs et la sécurité des infrastructures et de l'environnement. L'adaptation au contexte de crise concernera également la passation de marchés dont certains seront attribués suivant une stratégie contractuelle qui tient compte de l'envergure, de la spécificité et de la complexité de chaque marché. L'appel à concurrence ouvert constitue, cependant, la règle générale dans la passation des marchés de réalisation d'infrastructures ou d'acquisition de biens ou de services, tient à souligner le P.-dg de Sonatrach. La gestion de cette première société énergétique africaine sera également améliorée en renforçant l'implication des organes sociaux de l'entreprise et de ses filiales dans la prise de décisions importantes. Par ailleurs, Sonatrach s'attèle non seulement à augmenter significativement les réserves d'hydrocarbures pour assurer la sécurité énergétique du pays à très long terme, mais aussi à réduire davantage et, à terme, de supprimer l'importation du diesel et des essences. En plus du programme de réhabilitation des raffineries existantes, Sonatrach va construire trois nouveaux complexes de raffinage qui doivent entrer en production au premier semestre 2020, devant générer des quantités de 3,7 millions de tonnes d'essence et 9 millions de tonnes de gasoil, avance M. Mazouzi. Des dispositions sont prises pour réaliser rapidement les projets de valorisation des sous-produits en réservant une partie du fuel et du naphta exportés pour la production de 2,6 millions de tonnes de diesel et de 4 millions de tonnes d'essences supplémentaires. Ces projets devraient entrer en production avant 2018, fait savoir le même responsable qui indique que Sonatrach accorde un suivi rigoureux à la mise en oeuvre du programme d'investissements dans le raffinage C'est ce qu'a affirmé le P.-dg de Sonatrach, Amine Mazouzi, dans un entretien à l'APS, le premier accordé à la presse nationale depuis sa nomination, en mai dernier, à la tête de la compagnie nationale pétrolière. Sonatrach se doit d'anticiper et de préparer la reprise en maintenant tous les grands projets structurants de long terme, assuret- il en expliquant que l'industrie pétrolière se développe avec une logique de long terme en faisant face aux ralentissements cycliques. De ce fait, cet épisode de baisse des prix ne peut constituer une entrave à la poursuite des investissements de Sonatrach qui a appris à gérer, selon M. Mazouzi, ‘‘les périodes de turbulence'' grâce à l'excellence et à l'engagement des équipes opérationnelles sur le terrain. Sonatrach est en mesure, en effet, d'adapter et d'améliorer sa façon de faire pour assurer sa rentabilité, assure-t-il. L'adaptation se fera par des actions concrètes sur le terrain en accordant, d'abord, la priorité aux projets de Sonatrach les plus rentables économiquement dans toute décision d'investissement et en associant, ensuite, les entreprises nationales dans la réalisation de ses grands projets. M. Mazouzi s'est engagé, à ce titre, à impliquer davantage l'outil national dans l'exécution du programme d'investissement de Sonatrach. De surcroît, Sonatrach est en train de mettre en oeuvre des initiatives visant à réduire les coûts des projets en adoptant les standards internationaux de qualité technique à même aussi de préserver la santé des effectifs et la sécurité des infrastructures et de l'environnement. L'adaptation au contexte de crise concernera également la passation de marchés dont certains seront attribués suivant une stratégie contractuelle qui tient compte de l'envergure, de la spécificité et de la complexité de chaque marché. L'appel à concurrence ouvert constitue, cependant, la règle générale dans la passation des marchés de réalisation d'infrastructures ou d'acquisition de biens ou de services, tient à souligner le P.-dg de Sonatrach. La gestion de cette première société énergétique africaine sera également améliorée en renforçant l'implication des organes sociaux de l'entreprise et de ses filiales dans la prise de décisions importantes. Par ailleurs, Sonatrach s'attèle non seulement à augmenter significativement les réserves d'hydrocarbures pour assurer la sécurité énergétique du pays à très long terme, mais aussi à réduire davantage et, à terme, de supprimer l'importation du diesel et des essences. En plus du programme de réhabilitation des raffineries existantes, Sonatrach va construire trois nouveaux complexes de raffinage qui doivent entrer en production au premier semestre 2020, devant générer des quantités de 3,7 millions de tonnes d'essence et 9 millions de tonnes de gasoil, avance M. Mazouzi. Des dispositions sont prises pour réaliser rapidement les projets de valorisation des sous-produits en réservant une partie du fuel et du naphta exportés pour la production de 2,6 millions de tonnes de diesel et de 4 millions de tonnes d'essences supplémentaires. Ces projets devraient entrer en production avant 2018, fait savoir le même responsable qui indique que Sonatrach accorde un suivi rigoureux à la mise en oeuvre du programme d'investissements dans le raffinage