Le successeur de Joseph Sepp Blatter, à la tête de la Fédération internationale de football, sera connu demain à l'occasion du vote qui aura lieu au siège de cette instance à Zurich. Le successeur de Joseph Sepp Blatter, à la tête de la Fédération internationale de football, sera connu demain à l'occasion du vote qui aura lieu au siège de cette instance à Zurich. L'actualité du football mondial est dominée par l'élection du nouveau président de la Fédération internationale de football. Les regards des puristes seront braqués demain matin à Zurich, où les pays membres vont élire leur nouveau président à la tête de l'instance internationale de football. Secouée par un grand scandale, la Fifa est gérée par intérim par le président de la Confédération africaine de football (CAF), Issa Hayatou. L'ancien président Joseph Sepp Blatter avait, signalons- le, jeter l'éponge en raison de nombreux scandales qui l'ont éclaboussé. En effet, cinq candidats sont toujours en lice pour le poste du président de la Fifa. Il s'agit de Cheikh Salman Ben Ibrahim Al Khalifa du Bahreïn, du prince Ali Ben Al Hussein de la Jordanie, de l'Italien Gianni Infantino, du Français Jérôme Champagne et, enfin, du Sud-Africain Tokyo Sexwale. Les représentants de 209 associations footballistiques du monde entier, dont 54 sont issues de l'Afrique, vont se réunir demain pour choisir leur prochain responsable de la plus haute instance du football mondial. L'heure de vérité a sonné, donc, pour les cinq candidats qui ont bénéficié de suffisamment de temps pour convaincre leurs électeurs. Cheikh Salman et Infantino favoris ! Pendant toute cette période de campagne, les candidats ont puisé dans tout leur savoir-faire pour glaner le maximum de votants. Au fur et à mesure, certains voient leurs chances s'amenuiser. A l'image du prince Ali Ben Al Hussein de la Jordanie qui ne fait pas vraiment l'unanimité en Asie, le Français Jérôme Champagne ainsi que le Sud-Africain Tokyo Sexwell qui ont perdu la bataille au cours du chemin. Les deux candidats qui partent favoris sont le Bahreïni Cheikh Salman Ben Ibrahim Al Khalifa et l'Italien Gianni Infantino. Ces deux candidats se sont imposés grâce à leurs campagnes menées dans les quatre coins de la planète. Les observateurs sont unanimes à dire que ces deux personnes sont favorites dans ces élections. Pour le premier cité, à savoir Cheikh Salman Ben Ibrahim Al Khalifa du Bahreïn, ce dernier a non seulement assuré le soutien de l'Asie, mais il devrait également avoir le soutien du continent africain. Le patron de la CAF, le Camerounais Issa Hayatou a appelé à deux reprises les fédérations africaines à voter pour Cheikh Salman. C'est vrai que l'Afrique est divisée entre le pour et le contre, mais la majorité est attendue à soutenir le représentant du Bahreïn. De son côté, l'Italien Gianni Infantino est bien entouré par certaines fédérations européennes et quelques autres africaines. L'Italien a pris sérieusement l'avantage sur le Français Jérôme Champagne dans l'Occident. Pour ce qui est du Continent noir, Infantino a réussi à glaner quelques voix des pays qui sont contre le choix de la CAF. Une chose est sûre, la bataille s'annonce rude entre ces deux candidats avec un léger avantage pour El Bahreïni Cheikh Salman. L'actualité du football mondial est dominée par l'élection du nouveau président de la Fédération internationale de football. Les regards des puristes seront braqués demain matin à Zurich, où les pays membres vont élire leur nouveau président à la tête de l'instance internationale de football. Secouée par un grand scandale, la Fifa est gérée par intérim par le président de la Confédération africaine de football (CAF), Issa Hayatou. L'ancien président Joseph Sepp Blatter avait, signalons- le, jeter l'éponge en raison de nombreux scandales qui l'ont éclaboussé. En effet, cinq candidats sont toujours en lice pour le poste du président de la Fifa. Il s'agit de Cheikh Salman Ben Ibrahim Al Khalifa du Bahreïn, du prince Ali Ben Al Hussein de la Jordanie, de l'Italien Gianni Infantino, du Français Jérôme Champagne et, enfin, du Sud-Africain Tokyo Sexwale. Les représentants de 209 associations footballistiques du monde entier, dont 54 sont issues de l'Afrique, vont se réunir demain pour choisir leur prochain responsable de la plus haute instance du football mondial. L'heure de vérité a sonné, donc, pour les cinq candidats qui ont bénéficié de suffisamment de temps pour convaincre leurs électeurs. Cheikh Salman et Infantino favoris ! Pendant toute cette période de campagne, les candidats ont puisé dans tout leur savoir-faire pour glaner le maximum de votants. Au fur et à mesure, certains voient leurs chances s'amenuiser. A l'image du prince Ali Ben Al Hussein de la Jordanie qui ne fait pas vraiment l'unanimité en Asie, le Français Jérôme Champagne ainsi que le Sud-Africain Tokyo Sexwell qui ont perdu la bataille au cours du chemin. Les deux candidats qui partent favoris sont le Bahreïni Cheikh Salman Ben Ibrahim Al Khalifa et l'Italien Gianni Infantino. Ces deux candidats se sont imposés grâce à leurs campagnes menées dans les quatre coins de la planète. Les observateurs sont unanimes à dire que ces deux personnes sont favorites dans ces élections. Pour le premier cité, à savoir Cheikh Salman Ben Ibrahim Al Khalifa du Bahreïn, ce dernier a non seulement assuré le soutien de l'Asie, mais il devrait également avoir le soutien du continent africain. Le patron de la CAF, le Camerounais Issa Hayatou a appelé à deux reprises les fédérations africaines à voter pour Cheikh Salman. C'est vrai que l'Afrique est divisée entre le pour et le contre, mais la majorité est attendue à soutenir le représentant du Bahreïn. De son côté, l'Italien Gianni Infantino est bien entouré par certaines fédérations européennes et quelques autres africaines. L'Italien a pris sérieusement l'avantage sur le Français Jérôme Champagne dans l'Occident. Pour ce qui est du Continent noir, Infantino a réussi à glaner quelques voix des pays qui sont contre le choix de la CAF. Une chose est sûre, la bataille s'annonce rude entre ces deux candidats avec un léger avantage pour El Bahreïni Cheikh Salman.