La violence est en phase de devenir un véritable fléau qui gangrène la société algérienne si les autorités compétentes ne parviennent pas à désamorcer cette bombe à retardement. Elle est déjà enracinée chez des milliers de jeunes. La violence est en phase de devenir un véritable fléau qui gangrène la société algérienne si les autorités compétentes ne parviennent pas à désamorcer cette bombe à retardement. Elle est déjà enracinée chez des milliers de jeunes. Pis, elle est déjà présente dans les écoles, les milieux urbains, les administrations et les stades. La violence est en train de gagner du terrain. Mêmes les hôpitaux ne sont pas épargnés. Les exemples sont trés nombreux. Plusieurs cas ont été signalés au niveau des centres hospitaliers à travers le territoire national : Alger, Tizi-Ouzou, Boumerdès, Jijel, Tiaret... et la liste est longue. Les agressions contre les médecins et les paramédicaux ont pris, des proportions alarmantes. Un vrai climat d'insécurité règne dans les hôpitaux. Les menaces fusent de partout en milieu hospitalier. En plus du climat de travail qui se fait sous pression, les agressions et les empoignades ne se comptent plus . Le personnel se plaint d'une situation en continuelle régression qui va crescendo avec les attaques venant des patients ou de leurs accompagnateurs contre le personnel médical sans protection. Menaces, agressions, incivilités, vols... Les hôpitaux se retrouvent sur la ligne de front. Preuve qu'un sentiment d'insécurité grandissant a envahi les hôpitaux : la réaction immédiate, parfois immodérée, du personnel hospitalier, en attendant l'arrivée de la sécurité interne, puis ensuite celle de la Police. "Aujourd'hui, on évoque toujours ce sujet. Mais l'hôpital est un miroir de la société. Là où il y a des problèmes de violences, il y a de l'insécurité", s'émeut Younès, urgentistes au sein du Samu. "La violence est intrinsèque à la médecine d'urgence. On l'accepte", explique-t-il, invitant à repenser les dispositifs de sécurité mis en place à l'heure actuelle. L'accès dans l'enceinte des établissements hospitalierssemble être l'un des premiers problèmes qu'il relève. "On remarque souvent des individus à l'intérieur des de l'hôpital", poursuit-il. Achour, propriétaire d'un fast-food, face à l'hôpital déclare que "face à cette détresse constante, les hommes et les femmes aux blouses blanches, de manière directe et le plus souvent violente, agressive et irrespectueuse, sont devenus des boucs-émissaires d'un système de santé défaillant". Pour les mettre en sécurité, Ammi M'hand, ancien cadre en finances intervient en déclarant que "les services concernés doivent renforcer la sécurité et surtout se munir d'une installation de systèmes anti-malveillance", comme ce qui se fait pour les banques. "Par ailleurs, il faut des boutons-pressoirs pour appeler les policiers quand ça tourne mal», recommande-t-il. Autre piste, "la rénovation architecturale de l'accueil du public et des salles d'attente", poursuit-il. Il recommande de réduire, pour certains spécialistes, les délais en salle d'attente. "Les patients attendent des semaines pour avoir un rendez- vous puis des heures pour être reçus. Il faut que les médecins veillent à la fluidité qui peut être à la source des exaspérations", poursuit-il, insistant par ailleurs sur la formation et la sensibilisation des personnels. De ce fait, les hommes et les femmes en blouses blanches insistent fortement auprès de l'administration hospitalière afin de prendre les mesures nécessaires, urgentes, afin de remédier définitivement à cette situation préoccupante en mettant à la disposition des leurs structures davantage d'agents de sécurité, voire même des agents de police; afin de participer au bon fonctionnement des activités de soins loin des situations conflictuelles qui dépassent le cadre de leur noble mission. Pis, elle est déjà présente dans les écoles, les milieux urbains, les administrations et les stades. La violence est en train de gagner du terrain. Mêmes les hôpitaux ne sont pas épargnés. Les exemples sont trés nombreux. Plusieurs cas ont été signalés au niveau des centres hospitaliers à travers le territoire national : Alger, Tizi-Ouzou, Boumerdès, Jijel, Tiaret... et la liste est longue. Les agressions contre les médecins et les paramédicaux ont pris, des proportions alarmantes. Un vrai climat d'insécurité règne dans les hôpitaux. Les menaces fusent de partout en milieu hospitalier. En plus du climat de travail qui se fait sous pression, les agressions et les empoignades ne se comptent plus . Le personnel se plaint d'une situation en continuelle régression qui va crescendo avec les attaques venant des patients ou de leurs accompagnateurs contre le personnel médical sans protection. Menaces, agressions, incivilités, vols... Les hôpitaux se retrouvent sur la ligne de front. Preuve qu'un sentiment d'insécurité grandissant a envahi les hôpitaux : la réaction immédiate, parfois immodérée, du personnel hospitalier, en attendant l'arrivée de la sécurité interne, puis ensuite celle de la Police. "Aujourd'hui, on évoque toujours ce sujet. Mais l'hôpital est un miroir de la société. Là où il y a des problèmes de violences, il y a de l'insécurité", s'émeut Younès, urgentistes au sein du Samu. "La violence est intrinsèque à la médecine d'urgence. On l'accepte", explique-t-il, invitant à repenser les dispositifs de sécurité mis en place à l'heure actuelle. L'accès dans l'enceinte des établissements hospitalierssemble être l'un des premiers problèmes qu'il relève. "On remarque souvent des individus à l'intérieur des de l'hôpital", poursuit-il. Achour, propriétaire d'un fast-food, face à l'hôpital déclare que "face à cette détresse constante, les hommes et les femmes aux blouses blanches, de manière directe et le plus souvent violente, agressive et irrespectueuse, sont devenus des boucs-émissaires d'un système de santé défaillant". Pour les mettre en sécurité, Ammi M'hand, ancien cadre en finances intervient en déclarant que "les services concernés doivent renforcer la sécurité et surtout se munir d'une installation de systèmes anti-malveillance", comme ce qui se fait pour les banques. "Par ailleurs, il faut des boutons-pressoirs pour appeler les policiers quand ça tourne mal», recommande-t-il. Autre piste, "la rénovation architecturale de l'accueil du public et des salles d'attente", poursuit-il. Il recommande de réduire, pour certains spécialistes, les délais en salle d'attente. "Les patients attendent des semaines pour avoir un rendez- vous puis des heures pour être reçus. Il faut que les médecins veillent à la fluidité qui peut être à la source des exaspérations", poursuit-il, insistant par ailleurs sur la formation et la sensibilisation des personnels. De ce fait, les hommes et les femmes en blouses blanches insistent fortement auprès de l'administration hospitalière afin de prendre les mesures nécessaires, urgentes, afin de remédier définitivement à cette situation préoccupante en mettant à la disposition des leurs structures davantage d'agents de sécurité, voire même des agents de police; afin de participer au bon fonctionnement des activités de soins loin des situations conflictuelles qui dépassent le cadre de leur noble mission.