L'opposition entame les ultimes préparatifs pour la tenue de son deuxième congrès. L'opposition entame les ultimes préparatifs pour la tenue de son deuxième congrès. Ce congrès, ou ce que d'aucuns appellent d'ores et déjà « Mazafran II », aura lieu à la fin du mois de mars. C'est ce que vient d'annoncer l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO), à l'issue de la réunion tenue dans l'après-midi d'avant-hier au siège du mouvement Enahda. Dans le communiqué rendu public hier, l'ICSO n'annonce aucune date précise quant à la tenue de ce congrès se contentant juste de préciser qu'il aura lieu à la fin du mois en cours. Or , à en croire certaines sources, ce conclave est programmé pour le 30 mars. Mais le lieu de ce rendez-vous pose, apparemment, un grand problème pour l'ICSO. En effet, selon ce qui a filtré de la réunion d'avant-hier, toutes les démarches entreprises pour la réservation d'une salle de conférences dans les hôtels de la capitale se sont avérées vaines. Pour des membres de l'ICSO, les hôtels subissent des pressions de la part du pouvoir pour refuser d'abriter cette rencontre. Ainsi, pour l'heure, l'ICSO, qui regroupe la majorité des partis d'opposition et quelques personnalités politiques, ne sait pas où elle va tenir ce congrès. C'est certainement pour cette raison aussi que la date définitive n'a pas encore été arrêtée. Ce deuxième congrès que compte organiser l'opposition intervient presque deux années après le premier conclave. "Mazafran I", du nom de l'hôtel de Zeralda où a été organisé le congrès, s'est tenu, pour rappel, le 10 juin 2014, soit deux mois après les élections présidentielles qui ont vu le président Bouteflika réélu pour un quatrième mandat de cinq ans. Un congrès inédit puisque c'est la première fois que l'opposition, toutes tendances politiques confondues, est parvenue à transcender quelque peu ses divergences pour s'entendre sur une plateforme politique. Depuis, l'opposition a davantage affûté ses armes et a créée l'ICSO qui a multiplié les rencontres de coordination en vue de mettre beaucoup plus de pression sur le pouvoir. Les membres de l'ICSO ont tous rejeté, ainsi, le projet de loi portant révision de la Constitution, adopté le 7 février dernier par les deux Chambres du Parlement. Et même des partis qui ne sont pas membres de l'ICSO, à l'exemple du FFS, ont boycotté le congrès du Parlement qui a validé le projet de la constitution révisée. D'ailleurs, à propos de la Constitution révisée, le communiqué de l'ICSO, rendu public avant-hier, considère que « le pouvoir a imposé le fait accompli à un parlement qui souffre d'illégitimité». Estimant que le pouvoir n'a accordé « aucune considération à la souveraineté du peuple » l'ICSO estime que « cela constitue une dangereuse aventure». L'opposition accuse le pouvoir de s'en prendre à la liberté d'expression , aux libertés politiques en poursuivant sa politique de harcèlement et d'emprisonnement des militants des droits de l'homme et des syndicalistes. Ces pratiques, estime l'ICSO n'ont fait qu'exacerber encore plus le fossé qui sépare les Algériens et les institutions. Brossant un tableau noir de la situation que traverse le pays, à la lumière des ces pratiques du pouvoir, l'ICSO indiqye que cela menace de disloquer la nation algérienne et les institutions du pays. Sur la situation socioéconomique du pays l'opposition met en avant l'envolée des prix des produits de première nécessité et ses répercussions sur l'érosion du pouvoir d'achat des Algériens. La sonnette est par ailleurs tirée puisque l'ICSO met en gare contre une éventualité d'une explosion sociale. Autanat dire que , selon l'ICSO la stabilité du pays est sérieusement menacée. Du coup l'ICSO exprime au grand jour sa préoccupation par rapport à la précarité du front intérieur par rapport aux dangers qui guettent le pays.Il est évident que l'ICSO va s'atteler, dès à présent, a trouver un lieu pour ce congrès. Comme elle va essayer de convaincre les partis et les personnalités encore récalcitrants à prendre part à ce conclave . Ce congrès, ou ce que d'aucuns appellent d'ores et déjà « Mazafran II », aura lieu à la fin du mois de mars. C'est ce que vient d'annoncer l'Instance de coordination et de suivi de l'opposition (ICSO), à l'issue de la réunion tenue dans l'après-midi d'avant-hier au siège du mouvement Enahda. Dans le communiqué rendu public hier, l'ICSO n'annonce aucune date précise quant à la tenue de ce congrès se contentant juste de préciser qu'il aura lieu à la fin du mois en cours. Or , à en croire certaines sources, ce conclave est programmé pour le 30 mars. Mais le lieu de ce rendez-vous pose, apparemment, un grand problème pour l'ICSO. En effet, selon ce qui a filtré de la réunion d'avant-hier, toutes les démarches entreprises pour la réservation d'une salle de conférences dans les hôtels de la capitale se sont avérées vaines. Pour des membres de l'ICSO, les hôtels subissent des pressions de la part du pouvoir pour refuser d'abriter cette rencontre. Ainsi, pour l'heure, l'ICSO, qui regroupe la majorité des partis d'opposition et quelques personnalités politiques, ne sait pas où elle va tenir ce congrès. C'est certainement pour cette raison aussi que la date définitive n'a pas encore été arrêtée. Ce deuxième congrès que compte organiser l'opposition intervient presque deux années après le premier conclave. "Mazafran I", du nom de l'hôtel de Zeralda où a été organisé le congrès, s'est tenu, pour rappel, le 10 juin 2014, soit deux mois après les élections présidentielles qui ont vu le président Bouteflika réélu pour un quatrième mandat de cinq ans. Un congrès inédit puisque c'est la première fois que l'opposition, toutes tendances politiques confondues, est parvenue à transcender quelque peu ses divergences pour s'entendre sur une plateforme politique. Depuis, l'opposition a davantage affûté ses armes et a créée l'ICSO qui a multiplié les rencontres de coordination en vue de mettre beaucoup plus de pression sur le pouvoir. Les membres de l'ICSO ont tous rejeté, ainsi, le projet de loi portant révision de la Constitution, adopté le 7 février dernier par les deux Chambres du Parlement. Et même des partis qui ne sont pas membres de l'ICSO, à l'exemple du FFS, ont boycotté le congrès du Parlement qui a validé le projet de la constitution révisée. D'ailleurs, à propos de la Constitution révisée, le communiqué de l'ICSO, rendu public avant-hier, considère que « le pouvoir a imposé le fait accompli à un parlement qui souffre d'illégitimité». Estimant que le pouvoir n'a accordé « aucune considération à la souveraineté du peuple » l'ICSO estime que « cela constitue une dangereuse aventure». L'opposition accuse le pouvoir de s'en prendre à la liberté d'expression , aux libertés politiques en poursuivant sa politique de harcèlement et d'emprisonnement des militants des droits de l'homme et des syndicalistes. Ces pratiques, estime l'ICSO n'ont fait qu'exacerber encore plus le fossé qui sépare les Algériens et les institutions. Brossant un tableau noir de la situation que traverse le pays, à la lumière des ces pratiques du pouvoir, l'ICSO indiqye que cela menace de disloquer la nation algérienne et les institutions du pays. Sur la situation socioéconomique du pays l'opposition met en avant l'envolée des prix des produits de première nécessité et ses répercussions sur l'érosion du pouvoir d'achat des Algériens. La sonnette est par ailleurs tirée puisque l'ICSO met en gare contre une éventualité d'une explosion sociale. Autanat dire que , selon l'ICSO la stabilité du pays est sérieusement menacée. Du coup l'ICSO exprime au grand jour sa préoccupation par rapport à la précarité du front intérieur par rapport aux dangers qui guettent le pays.Il est évident que l'ICSO va s'atteler, dès à présent, a trouver un lieu pour ce congrès. Comme elle va essayer de convaincre les partis et les personnalités encore récalcitrants à prendre part à ce conclave .