Des ordures jetées, restes de nourritures des détritus qui pullulent le long des baies et embouchures de la mer est le spectacle désolant qui s'offre à tout visiteur ou touriste sur les côtes algériennes. Les défenseurs de l'environnement tirent la sonnette d'alarme. Des ordures jetées, restes de nourritures des détritus qui pullulent le long des baies et embouchures de la mer est le spectacle désolant qui s'offre à tout visiteur ou touriste sur les côtes algériennes. Les défenseurs de l'environnement tirent la sonnette d'alarme. Il n'est pas un espace maritime ou cellui d'un rivage qui ne soit pas contaminée par les rejets des eaux usées ou immondices qui sont jetées impunément dans les eaux de mer. C'est l'environnement marin propice à la détente et la quiétude qui est affecté par une pollution qui ne dit pas son nom. Des sachets en plastique, des boites de conserves et des morceaux de fer rouillés sont un véritable gisement de déchets qui affectent nos côtes au point où des associations de défense de l'environnement ont alerté les autorités sur une menace de taille. Ces associations qui mènent bénévolement des campagnes de nettoyage de plages et sur les rivages des principales baies ont été surprises des déchets impressionnants qui pullulent partout. A Tipasa, la côte est envahie par des débris de verres, cannettes et emballages de plastique au point où certaines plages ont été interdites à la baignade. A Jijel et à Skikda, deux villes réputées pour leur littoral doré subissent le même phénomène et la façade maritime oranaise n'a pas été épargnée non plus par le comportement incivique des citoyens qui mettent en péril l'écosystème marin. Cette dégradation évolue avec un caractère dangereux et nocif des rejets en mer. L'impact qui se traduit souvent par des maladies de la peau des riverains et l'apparition de foyers épidémiques de la conjonctivite dans certains endroits est un signe que la pollution de toutes sortes a dépassé les limites, menaçant même la faune poissonneuse et la biomasse. Pire, le déversement des eaux de rejet industriel a fait en sorte que les embouchures marines et les criques deviennent un dépotoir à ciel ouvert. Les vacanciers qui se rendent sur les plages découvrent avec stupeur cet état de fait sans aucune gène de la part de ces entreprises qui s'autorisent à polluer les eaux marines. De même que l'apparition il y a quelques mois d'algues dites « toxiques » a inquiété les riverains d'autant que ce phénomène apparaît à chaque fois que le taux de pollution ait atteint son comble. Les navires de ballastage et les transporteurs d'hydrocarbures qui effectuent des navettes incessantes sont responsables des traces de haute teneur de certains produits toxiques qui s'ajoutent à la liste des polluants. Si ce n'était est la vigilance des gardes- côtes algériennes, les navires « poubelles» auraient conduit à un véritable désastre écologique. Dans ce tableau noir, les citoyens de bonne volonté ne se laissent pas faire. Plusieurs associations aidées par les clubs verts et des spécialistes en environnement ont commencé durant l'été dernier la campagne dite « éboueurs de la mer » qui mobilise cette année 48.000 volontaires. L'opération se poursuivra le printemps prochain et qui verra cette fois plusieurs associations de défense de l'environnement participer à une démarche de salubrité qui concerne nous tous. Des tonnes de déchets de toutes sortes sont extraites quotidiennement pour être ensuite recyclées. Le ministère des Ressources en eaux a promis qu'il y aurait zéro rejet en eau de mer grâce à l'installation de plusieurs stations d'épurations de ces eaux près des côtes. Les autorités veulent sévir en établissant des sanctions à l'égard des industries pollueuses. Il n'est pas un espace maritime ou cellui d'un rivage qui ne soit pas contaminée par les rejets des eaux usées ou immondices qui sont jetées impunément dans les eaux de mer. C'est l'environnement marin propice à la détente et la quiétude qui est affecté par une pollution qui ne dit pas son nom. Des sachets en plastique, des boites de conserves et des morceaux de fer rouillés sont un véritable gisement de déchets qui affectent nos côtes au point où des associations de défense de l'environnement ont alerté les autorités sur une menace de taille. Ces associations qui mènent bénévolement des campagnes de nettoyage de plages et sur les rivages des principales baies ont été surprises des déchets impressionnants qui pullulent partout. A Tipasa, la côte est envahie par des débris de verres, cannettes et emballages de plastique au point où certaines plages ont été interdites à la baignade. A Jijel et à Skikda, deux villes réputées pour leur littoral doré subissent le même phénomène et la façade maritime oranaise n'a pas été épargnée non plus par le comportement incivique des citoyens qui mettent en péril l'écosystème marin. Cette dégradation évolue avec un caractère dangereux et nocif des rejets en mer. L'impact qui se traduit souvent par des maladies de la peau des riverains et l'apparition de foyers épidémiques de la conjonctivite dans certains endroits est un signe que la pollution de toutes sortes a dépassé les limites, menaçant même la faune poissonneuse et la biomasse. Pire, le déversement des eaux de rejet industriel a fait en sorte que les embouchures marines et les criques deviennent un dépotoir à ciel ouvert. Les vacanciers qui se rendent sur les plages découvrent avec stupeur cet état de fait sans aucune gène de la part de ces entreprises qui s'autorisent à polluer les eaux marines. De même que l'apparition il y a quelques mois d'algues dites « toxiques » a inquiété les riverains d'autant que ce phénomène apparaît à chaque fois que le taux de pollution ait atteint son comble. Les navires de ballastage et les transporteurs d'hydrocarbures qui effectuent des navettes incessantes sont responsables des traces de haute teneur de certains produits toxiques qui s'ajoutent à la liste des polluants. Si ce n'était est la vigilance des gardes- côtes algériennes, les navires « poubelles» auraient conduit à un véritable désastre écologique. Dans ce tableau noir, les citoyens de bonne volonté ne se laissent pas faire. Plusieurs associations aidées par les clubs verts et des spécialistes en environnement ont commencé durant l'été dernier la campagne dite « éboueurs de la mer » qui mobilise cette année 48.000 volontaires. L'opération se poursuivra le printemps prochain et qui verra cette fois plusieurs associations de défense de l'environnement participer à une démarche de salubrité qui concerne nous tous. Des tonnes de déchets de toutes sortes sont extraites quotidiennement pour être ensuite recyclées. Le ministère des Ressources en eaux a promis qu'il y aurait zéro rejet en eau de mer grâce à l'installation de plusieurs stations d'épurations de ces eaux près des côtes. Les autorités veulent sévir en établissant des sanctions à l'égard des industries pollueuses.