Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, a affirmé mardi que tout recrutement exigeait un concours conformément aux lois en vigueur. Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, a affirmé mardi que tout recrutement exigeait un concours conformément aux lois en vigueur. Dans une déclaration à la presse en marge des travaux d'un colloque national des directeurs des agences locales de la Caisse nationale des retraites (CNR), le ministre, qui s'exprimait sur le dossier des enseignants contractuels, a précisé que la participation au concours pour bénéficier des mesures d'intégration dans le monde du travail "concerne toutes les catégories, à l'instar de tous les secteurs, et ce dans le cadre de la justice sociale et conformément aux lois de la République". M. El Ghazi a rappelé, dans ce sens, que la ministre de l'Education nationale avait évoqué cette question avec "sagesse" et qu'elle traitait le dossier par le "dialogue" en coordination avec les parties concernées et les syndicats du secteur. M. El Ghazi a souligné que le secteur du Travail accompagnait la ministre de l'Education dans sa démarche qu'il a qualifiée d'"ordinaire". La ministre de l'Education, Nouria Benghebrit, avait précisé mardi lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation des résultats des négociations avec les enseignants contractuels, que la "revendication d'intégration directe sans condition est impossible", appelant les enseignants protestataires à participer au concours de recrutement prévu le 30 avril, d'autant plus que l'expérience professionnelle sera valorisée. Les enseignants contractuels qui poursuivent leur mouvement de protestation revendiquent l'"intégration sans conditions dans la Fonction publique et sans avoir à passer le concours national de recrutement". De leur côté, les enseignants contractuels et vacataires toujours en sitin à Boudouaou n'ont pas l'intention de "lâcher prise" et comptent "renforcer leur mobilisation" après les déclarations faites par la ministre de l'Education nationale lors d'une conférence de presse, a annoncé Idir Achour, membre du Cla. Nouria Benghebrit a jugé "impossible et illégale" l'intégration directe de ces enseignants et a réitéré son appel aux grévistes à s'inscrire au concours de recrutement de 28.000 enseignants qui aura lieu le 30 avril prochain. "Le discours de Madame la Ministre est un appel à la révolte et à l'émeute. Ses propos visent à opposer les contractuels qui exigent leur intégration aux inscrits au concours", a estimé Idir Achour. Une dizaine d'enseignants contractuels ont entamé hier leur 8e jour de grève de la faim pour exiger le recrutement direct et sans conditions des enseignants contractuels et vacataires dans le secteur de l'Education nationale. Dans une déclaration à la presse en marge des travaux d'un colloque national des directeurs des agences locales de la Caisse nationale des retraites (CNR), le ministre, qui s'exprimait sur le dossier des enseignants contractuels, a précisé que la participation au concours pour bénéficier des mesures d'intégration dans le monde du travail "concerne toutes les catégories, à l'instar de tous les secteurs, et ce dans le cadre de la justice sociale et conformément aux lois de la République". M. El Ghazi a rappelé, dans ce sens, que la ministre de l'Education nationale avait évoqué cette question avec "sagesse" et qu'elle traitait le dossier par le "dialogue" en coordination avec les parties concernées et les syndicats du secteur. M. El Ghazi a souligné que le secteur du Travail accompagnait la ministre de l'Education dans sa démarche qu'il a qualifiée d'"ordinaire". La ministre de l'Education, Nouria Benghebrit, avait précisé mardi lors d'une conférence de presse consacrée à la présentation des résultats des négociations avec les enseignants contractuels, que la "revendication d'intégration directe sans condition est impossible", appelant les enseignants protestataires à participer au concours de recrutement prévu le 30 avril, d'autant plus que l'expérience professionnelle sera valorisée. Les enseignants contractuels qui poursuivent leur mouvement de protestation revendiquent l'"intégration sans conditions dans la Fonction publique et sans avoir à passer le concours national de recrutement". De leur côté, les enseignants contractuels et vacataires toujours en sitin à Boudouaou n'ont pas l'intention de "lâcher prise" et comptent "renforcer leur mobilisation" après les déclarations faites par la ministre de l'Education nationale lors d'une conférence de presse, a annoncé Idir Achour, membre du Cla. Nouria Benghebrit a jugé "impossible et illégale" l'intégration directe de ces enseignants et a réitéré son appel aux grévistes à s'inscrire au concours de recrutement de 28.000 enseignants qui aura lieu le 30 avril prochain. "Le discours de Madame la Ministre est un appel à la révolte et à l'émeute. Ses propos visent à opposer les contractuels qui exigent leur intégration aux inscrits au concours", a estimé Idir Achour. Une dizaine d'enseignants contractuels ont entamé hier leur 8e jour de grève de la faim pour exiger le recrutement direct et sans conditions des enseignants contractuels et vacataires dans le secteur de l'Education nationale.