La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a défendu avec force les réformes qu'elle compte lancer dès la prochaine rentrée scolaire. La journée parlementaire organisée hier à l'APN lui a ainsi servi de tribune idéale pour expliquer le bien fondé de ces nouvelles réformes dites de seconde génération. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a défendu avec force les réformes qu'elle compte lancer dès la prochaine rentrée scolaire. La journée parlementaire organisée hier à l'APN lui a ainsi servi de tribune idéale pour expliquer le bien fondé de ces nouvelles réformes dites de seconde génération. C'était "une opportunité pour présenter nos actions sur ce plan pour lequel beaucoup a été dit" dira la ministre lors d'une déclaration à la presse en marge de cette journée parlementaire qui a porté sur "Les programmes éducatifs à la lumière des réformes". Elle a aussi, dans ce cadre, défendu la composante de la commission nationale qui a élaboré ces nouvelles réformes en indiquant notamment, qu'elle est formée d'experts universitaires et de cadres du secteur de l'Education nationale. Ces derniers ont présenté lors de cette journée de nombreuses communications dans lesquelles ils ont surtout voulu battre en brèche tous les argumentaires de ceux qui se sont élevés contre ces réformes en les suspectant surtout de vouloir faire la part belle à la langue française au détriment de la langue arabe. "La deuxième génération des réformes va apporter beaucoup de choses » dira la ministre en précisant que « notre objectif aujourd'hui c'est comment venir a bout de la médiocrité car l'ennemi numéro un c'est la médiocrité". Nouria Benghebrit, qui semblait s'adresser à ses détracteurs, a reconnu que la baise du niveau dans le secteur éducatif constitue un véritable problème . Et la ministre de marteler qu'"il faut développer le niveau de l'enfant". La ministre a aussi plaidé en faveur de l'enracinement de la dimension algérienne dans les programmes scolaires. Une dimension basée, sur le tryptique : l'Islam, l'arabe et tamazight. En somme pour elle "l'algérianité" des programmes est une nécessité qui est prise en charge par son département ministériel alors que certaines parties lui reprochent de vouloir favoriser la langue et la culture française. Pour la ministre de l'Education, qui a plaidé en faveur de critères permettant de faite une meilleure comparaison, "l'objectif premier c'est de montrer les efforts que le secteur de l'Education nationale est en train de fournir depuis des années. Il est important pour nous de montrer la valeur ajoutée apportée par la commission des programmes". Elle aussi indiqué que pas moins de 500 inspecteurs ont été formés pour pouvoir encadrer la mise en oeuvre des réformes de deuxième génération. Des réformes qui seront, comme l'a d'ailleurs rappelé hier la ministre, lancés dès la prochaine rentrée scolaire. Elle a déclaré à ce propos que ces réformes seront d'abord appliquées en première et deuxième année du cycle primaire et la première année du cycle moyen. Ainsi, Nouria Benghebrit, qui s'est contentée de cette déclaration centrée sur ces réformes et a refusé les questions des journalistes puisqu'elle s'est vite éclipsée par la suite, a de cette façon répondu, une fois de plus à ses détracteurs. Ces derniers ne semblaient pourtant pas convaincus par le contenu de toutes les communications tendant à défendre et à justifier ces réformes. "Il y a un plan clair pour donner une plus grande place à la langue française au détriment de la langue arabe" dira, lors du débat un député islamiste. Comme quoi la polémique n'est pas près de s'estomper. C'était "une opportunité pour présenter nos actions sur ce plan pour lequel beaucoup a été dit" dira la ministre lors d'une déclaration à la presse en marge de cette journée parlementaire qui a porté sur "Les programmes éducatifs à la lumière des réformes". Elle a aussi, dans ce cadre, défendu la composante de la commission nationale qui a élaboré ces nouvelles réformes en indiquant notamment, qu'elle est formée d'experts universitaires et de cadres du secteur de l'Education nationale. Ces derniers ont présenté lors de cette journée de nombreuses communications dans lesquelles ils ont surtout voulu battre en brèche tous les argumentaires de ceux qui se sont élevés contre ces réformes en les suspectant surtout de vouloir faire la part belle à la langue française au détriment de la langue arabe. "La deuxième génération des réformes va apporter beaucoup de choses » dira la ministre en précisant que « notre objectif aujourd'hui c'est comment venir a bout de la médiocrité car l'ennemi numéro un c'est la médiocrité". Nouria Benghebrit, qui semblait s'adresser à ses détracteurs, a reconnu que la baise du niveau dans le secteur éducatif constitue un véritable problème . Et la ministre de marteler qu'"il faut développer le niveau de l'enfant". La ministre a aussi plaidé en faveur de l'enracinement de la dimension algérienne dans les programmes scolaires. Une dimension basée, sur le tryptique : l'Islam, l'arabe et tamazight. En somme pour elle "l'algérianité" des programmes est une nécessité qui est prise en charge par son département ministériel alors que certaines parties lui reprochent de vouloir favoriser la langue et la culture française. Pour la ministre de l'Education, qui a plaidé en faveur de critères permettant de faite une meilleure comparaison, "l'objectif premier c'est de montrer les efforts que le secteur de l'Education nationale est en train de fournir depuis des années. Il est important pour nous de montrer la valeur ajoutée apportée par la commission des programmes". Elle aussi indiqué que pas moins de 500 inspecteurs ont été formés pour pouvoir encadrer la mise en oeuvre des réformes de deuxième génération. Des réformes qui seront, comme l'a d'ailleurs rappelé hier la ministre, lancés dès la prochaine rentrée scolaire. Elle a déclaré à ce propos que ces réformes seront d'abord appliquées en première et deuxième année du cycle primaire et la première année du cycle moyen. Ainsi, Nouria Benghebrit, qui s'est contentée de cette déclaration centrée sur ces réformes et a refusé les questions des journalistes puisqu'elle s'est vite éclipsée par la suite, a de cette façon répondu, une fois de plus à ses détracteurs. Ces derniers ne semblaient pourtant pas convaincus par le contenu de toutes les communications tendant à défendre et à justifier ces réformes. "Il y a un plan clair pour donner une plus grande place à la langue française au détriment de la langue arabe" dira, lors du débat un député islamiste. Comme quoi la polémique n'est pas près de s'estomper.