La carence martiale est l'autre nom désignant une carence en fer. Le fer est indispensable à l'équilibre de l'organisme. Il permet notamment le fonctionnement du transport d'oxygène dans le sang grâce à son action dans la formation de l'hémoglobine. La carence martiale est l'autre nom désignant une carence en fer. Le fer est indispensable à l'équilibre de l'organisme. Il permet notamment le fonctionnement du transport d'oxygène dans le sang grâce à son action dans la formation de l'hémoglobine. Deux milliards de personnes, dans le monde sont concernées, dont 500 millions présentent une anémie. La carence martiale est à l'origine de 726.000 décès en période périnatale et dans l'enfance en Asie et en Afrique. En Algérie, cette pathologie touche 20 % de la population pour la plupart des femmes jeunes a annoncé, hier, le professeur Sigismond Lasocki du CHU d'Angers en France qui a présente une communication sur "Le métabolisme du fer et ses implications diagnostiques et thérapeutiques" lors d'une rencontre scientifique organisée par les laboratoires Abdi-Ibrahim-Remede-Pharma (AIRP). Le conférencier mettra aussi l'accent sur les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui stipule que "l'apport en fer et en acide folique est recommandé comme intervention de santé publique". Pour sa part le docteur Aït Saïd Malik, directeur général des laboratoires AIRP, a plaidé pour l'élaboration d'un consensus national de prise en charge de l'anémie par carence martiale. Et d'ajouter : "Que cette maladie qui est répandue actuellement et qui fait des ravages peut être évitée grâce à de simples test biologiques". Le Pr Stefan Mühlebach, membre de la faculté de médecine et membre du groupe de la pharmacie clinique & unité d'épidémiologie au département des sciences pharmaceutiques à l'Université de Bâle(Suisse) a évoqué les "spécificités de fabrication des fers injectables jusqu'à leur utilisation clinique". Les actualités sur la prise en charge de la carence martiale : de la physiopathologie à la réalité clinique ont été passées en revue au cours de cette séance de travail qui a regroupé plus de 150 praticiens spécialistes du pays . Pour rappel, les laboratoires AIRP, qui emploient 160 personnes actuellement, sont nés en 2014 de la fusion entre l'algérien Remède Pharma et le turc Abdi Ibrahim. L'entrée en production des formes sèches, pâteuses et liquides sera opérationnelle a partir du mois de septembre prochain au niveau du site industriel qui se trouve dans la zone industrielle de Sidi-Abdellah. Deux milliards de personnes, dans le monde sont concernées, dont 500 millions présentent une anémie. La carence martiale est à l'origine de 726.000 décès en période périnatale et dans l'enfance en Asie et en Afrique. En Algérie, cette pathologie touche 20 % de la population pour la plupart des femmes jeunes a annoncé, hier, le professeur Sigismond Lasocki du CHU d'Angers en France qui a présente une communication sur "Le métabolisme du fer et ses implications diagnostiques et thérapeutiques" lors d'une rencontre scientifique organisée par les laboratoires Abdi-Ibrahim-Remede-Pharma (AIRP). Le conférencier mettra aussi l'accent sur les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) qui stipule que "l'apport en fer et en acide folique est recommandé comme intervention de santé publique". Pour sa part le docteur Aït Saïd Malik, directeur général des laboratoires AIRP, a plaidé pour l'élaboration d'un consensus national de prise en charge de l'anémie par carence martiale. Et d'ajouter : "Que cette maladie qui est répandue actuellement et qui fait des ravages peut être évitée grâce à de simples test biologiques". Le Pr Stefan Mühlebach, membre de la faculté de médecine et membre du groupe de la pharmacie clinique & unité d'épidémiologie au département des sciences pharmaceutiques à l'Université de Bâle(Suisse) a évoqué les "spécificités de fabrication des fers injectables jusqu'à leur utilisation clinique". Les actualités sur la prise en charge de la carence martiale : de la physiopathologie à la réalité clinique ont été passées en revue au cours de cette séance de travail qui a regroupé plus de 150 praticiens spécialistes du pays . Pour rappel, les laboratoires AIRP, qui emploient 160 personnes actuellement, sont nés en 2014 de la fusion entre l'algérien Remède Pharma et le turc Abdi Ibrahim. L'entrée en production des formes sèches, pâteuses et liquides sera opérationnelle a partir du mois de septembre prochain au niveau du site industriel qui se trouve dans la zone industrielle de Sidi-Abdellah.