Les affaires des assassinats du chanteur Algérien, Matoub Lounes, et celle de Mohamed Boudiaf qui ont refait surface ces derniers temps se trouvent de nouveau sur la table de la justice. Ainsi, après tant d'années de disette, les familles des deux défunts semblent vouloir prendre le taureau par les cornes. Les affaires des assassinats du chanteur Algérien, Matoub Lounes, et celle de Mohamed Boudiaf qui ont refait surface ces derniers temps se trouvent de nouveau sur la table de la justice. Ainsi, après tant d'années de disette, les familles des deux défunts semblent vouloir prendre le taureau par les cornes. Cette fois-ci, ils veulent aller jusqu'au bout pour connaître la vérité sur ces assassinats. A ce titre plusieurs révélations et accusations ont vu le jour. Pour sa part, dernièrement à l'occasion du 24e anniversaire de l'assassinat de son père, Nacer Boudiaf sort la grosse artillerie. Il annonce son intention de continuer son combat pour faire triompher la justice et la vérité, en déposant plainte contre les assassins de son père. Il a également adressé une lettre ouverte au chef de l'Etat pour lui demander la réouverture du procès sur l'assassinat de son père. Plus tôt, le fils de Mohamed Boudiaf accuse publiquement d'anciens généraux d'être derrière la mort de l'ancien président du Haut comité d'Etat. Il s'agit de Mohamed Mediène, Khaled Nezzar, Smaïn Lamari et Larbi Belkhir. Seuls les deux premiers sont encore en vie. En revanche, Nacer Boudiaf accuse feu le général Mohamed Lamari, ancien chef d'état-major de l'ANP d'être l'exécutant de l'ordre de tuer son père. De son côté la famille du Rebelle n'est pas prête de céder. Au contraire, elle s'apprête à demander à la justice la réouverture du dossier sur la mort du chantre de la chanson kabyle, assassiné le 25 juin 1998. De l'avis de s observateurs, le rapprochement et la réconciliation entre Malika Matoub et Nordine Aït Hamouda n'est pas un fait anodin. Un rapprochement qui a soulevé des interrogations d'autant qu'elle avait accusé Nourdine même de complicité dans l'assassinat de son frère. Malika Matoub veut ainsi que cette affaire soit rejugée de nouveau du moment qu'un témoin clé vient d'affirmer sa disponibilité de faire des révélations devant le juge. La confirmation de ces dires a été faite dernièrement par le fils du colonel Amirouche lors d'une conférence animée conjointement avec Tarek Mira sur l'Indépendance, initiée par l'association culturelle "Amgoud", à la salle de cinéma Le Maghreb à Draâ El-Mizan. Sur le sujet, il a demandé l'ouverture d'une enquête sur l'assassinat du chantre kabyle, en se disant "prêt à témoigner devant la justice". Cette fois-ci, ils veulent aller jusqu'au bout pour connaître la vérité sur ces assassinats. A ce titre plusieurs révélations et accusations ont vu le jour. Pour sa part, dernièrement à l'occasion du 24e anniversaire de l'assassinat de son père, Nacer Boudiaf sort la grosse artillerie. Il annonce son intention de continuer son combat pour faire triompher la justice et la vérité, en déposant plainte contre les assassins de son père. Il a également adressé une lettre ouverte au chef de l'Etat pour lui demander la réouverture du procès sur l'assassinat de son père. Plus tôt, le fils de Mohamed Boudiaf accuse publiquement d'anciens généraux d'être derrière la mort de l'ancien président du Haut comité d'Etat. Il s'agit de Mohamed Mediène, Khaled Nezzar, Smaïn Lamari et Larbi Belkhir. Seuls les deux premiers sont encore en vie. En revanche, Nacer Boudiaf accuse feu le général Mohamed Lamari, ancien chef d'état-major de l'ANP d'être l'exécutant de l'ordre de tuer son père. De son côté la famille du Rebelle n'est pas prête de céder. Au contraire, elle s'apprête à demander à la justice la réouverture du dossier sur la mort du chantre de la chanson kabyle, assassiné le 25 juin 1998. De l'avis de s observateurs, le rapprochement et la réconciliation entre Malika Matoub et Nordine Aït Hamouda n'est pas un fait anodin. Un rapprochement qui a soulevé des interrogations d'autant qu'elle avait accusé Nourdine même de complicité dans l'assassinat de son frère. Malika Matoub veut ainsi que cette affaire soit rejugée de nouveau du moment qu'un témoin clé vient d'affirmer sa disponibilité de faire des révélations devant le juge. La confirmation de ces dires a été faite dernièrement par le fils du colonel Amirouche lors d'une conférence animée conjointement avec Tarek Mira sur l'Indépendance, initiée par l'association culturelle "Amgoud", à la salle de cinéma Le Maghreb à Draâ El-Mizan. Sur le sujet, il a demandé l'ouverture d'une enquête sur l'assassinat du chantre kabyle, en se disant "prêt à témoigner devant la justice".