Des jeunes filles, enlevées par le groupe djihadiste Boko Haram en 2014, auraient été libérées en échange de quatre prisonniers de la secte. Elles sont vingt et une lycéennes de Chibok, enlevées il y a plus de deux ans par le groupe terroriste nigérian Boko Haram, qui ont été libérées par leurs ravisseurs, ce jeudi 13 octobre 2016. Des jeunes filles, enlevées par le groupe djihadiste Boko Haram en 2014, auraient été libérées en échange de quatre prisonniers de la secte. Elles sont vingt et une lycéennes de Chibok, enlevées il y a plus de deux ans par le groupe terroriste nigérian Boko Haram, qui ont été libérées par leurs ravisseurs, ce jeudi 13 octobre 2016. L'information a été annoncée par la Présidence du Nigeria, confirmant une information de la presse nigérienne qui précise que « les filles ont été amenées à Kumshe, à 15 km de Banki, vers 3 heures du matin. Les quatre combattants de Boko Haram sont arrivés à Banki depuis Maïduguri dans un hélicoptère de l'armée, et ont été conduits à Kumshe dans des véhicules du Comité international de la Croix-Rouge ». Selon les autorités locales, les jeunes filles ont ensuite été emmenées à Maïduguri, capitale du Borno, en hélicoptère. Mieux, elles seraient actuellement en route pour la capitale administrative, Abuja. Sans toutefois évoquer un quelconque échange de prisonniers, un porte-parole de la Présidence nigériane a, dans un communiqué, confirmé la libération « facilitée par le CICR et le gouvernement suisse ». Précisant que les noms des jeunes filles libérées seraient bientôt dévoilé, un communiqué de la Présidence nigériane souligne que « le Président Muhammadu Buhari se félicite de la libération des filles, mais rappelle aux Nigérians que plus de 30.000 citoyens ont été tués par le terrorisme » de Boko Haram. L'information a été annoncée par la Présidence du Nigeria, confirmant une information de la presse nigérienne qui précise que « les filles ont été amenées à Kumshe, à 15 km de Banki, vers 3 heures du matin. Les quatre combattants de Boko Haram sont arrivés à Banki depuis Maïduguri dans un hélicoptère de l'armée, et ont été conduits à Kumshe dans des véhicules du Comité international de la Croix-Rouge ». Selon les autorités locales, les jeunes filles ont ensuite été emmenées à Maïduguri, capitale du Borno, en hélicoptère. Mieux, elles seraient actuellement en route pour la capitale administrative, Abuja. Sans toutefois évoquer un quelconque échange de prisonniers, un porte-parole de la Présidence nigériane a, dans un communiqué, confirmé la libération « facilitée par le CICR et le gouvernement suisse ». Précisant que les noms des jeunes filles libérées seraient bientôt dévoilé, un communiqué de la Présidence nigériane souligne que « le Président Muhammadu Buhari se félicite de la libération des filles, mais rappelle aux Nigérians que plus de 30.000 citoyens ont été tués par le terrorisme » de Boko Haram.