L'Algérie fait son entrée dans le très sérieux classement Pisa, qui classe les performances des élèves de quinze ans dans 72 pays. L'enquête publiée hier par l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) s'appuie sur des données recueillies en 2015. L'Algérie fait son entrée dans le très sérieux classement Pisa, qui classe les performances des élèves de quinze ans dans 72 pays. L'enquête publiée hier par l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) s'appuie sur des données recueillies en 2015. L'Algérie se classe 69e sur 70, après le Kosovo et avant la République dominicaine. La Tunisie, seul autre pays africain à avoir participé à cette édition, pointe à la 65e place. Les meilleures performances ont été enregistrées au Singapour, au Japon, et en Estonie. Il s'agit là du dernier classement depuis trois ans après l'étude effectuée en 2012. Cette fois, l'objectif du programme pour le suivi des acquis des élèves vise à évaluer ce que ces derniers "savent en sciences, en compréhension de l'écrit et en mathématiques, mais aussi à déterminer ce qu'ils sont capables de faire avec ces connaissances", indique l'organisme. Pour cela, près de 540.000 jeunes ont été testés dans 72 pays et économies qui ont participé à l'évaluation. Parmi ces Etats, figurent 35 pays de l'OCDE et des pays partenaires. Selon les résultats, l'Algérie enregistre un score de 376 points en sciences, 350 points pour la compréhension de l'écrit et 360 points pour les mathématiques. En termes de compétence en sciences, "en Algérie, au Kosovo, au Liban et en République dominicaine, moins d'un adolescent de 15 ans sur quatre" parvient à atteindre le niveau 2 de l'échelle Pisa (allant jusqu'à 6). Le niveau est le même lorsqu'il s'agit d'évaluer les compétences des élèves en compréhension de l'écrit. « "En Algérie et au Kosovo, moins d'un élève sur quatre se situe au moins au niveau 2", indique le rapport. Les pays où sont enregistrés ces résultats sont encore loin "d'un objectif majeur consistant à amener tous leurs élèves à acquérir les compétences élémentaires en compréhension de l'écrit qui leur permettront de continuer à apprendre et de participer à la vie des sociétés fondées sur le savoir". En mathématiques, "plus de 90 % des élèves se situent sous le niveau 3 en Algérie, au Kosovo, en République dominicaine et en Tunisie" alors que "plus de 70 % des élèves parviennent au moins à se hisser au niveau 3 à Hong Kong, au Japon et à Singapour". À travers cette enquête on apprend aussi, que 26 % des élèves algériens testés envisagent d'exercer une profession scientifique. Cette tendance est d'ailleurs plus importante chez les filles (29.2 %) que chez les garçons (23.1 %). L'Algérie se classe 69e sur 70, après le Kosovo et avant la République dominicaine. La Tunisie, seul autre pays africain à avoir participé à cette édition, pointe à la 65e place. Les meilleures performances ont été enregistrées au Singapour, au Japon, et en Estonie. Il s'agit là du dernier classement depuis trois ans après l'étude effectuée en 2012. Cette fois, l'objectif du programme pour le suivi des acquis des élèves vise à évaluer ce que ces derniers "savent en sciences, en compréhension de l'écrit et en mathématiques, mais aussi à déterminer ce qu'ils sont capables de faire avec ces connaissances", indique l'organisme. Pour cela, près de 540.000 jeunes ont été testés dans 72 pays et économies qui ont participé à l'évaluation. Parmi ces Etats, figurent 35 pays de l'OCDE et des pays partenaires. Selon les résultats, l'Algérie enregistre un score de 376 points en sciences, 350 points pour la compréhension de l'écrit et 360 points pour les mathématiques. En termes de compétence en sciences, "en Algérie, au Kosovo, au Liban et en République dominicaine, moins d'un adolescent de 15 ans sur quatre" parvient à atteindre le niveau 2 de l'échelle Pisa (allant jusqu'à 6). Le niveau est le même lorsqu'il s'agit d'évaluer les compétences des élèves en compréhension de l'écrit. « "En Algérie et au Kosovo, moins d'un élève sur quatre se situe au moins au niveau 2", indique le rapport. Les pays où sont enregistrés ces résultats sont encore loin "d'un objectif majeur consistant à amener tous leurs élèves à acquérir les compétences élémentaires en compréhension de l'écrit qui leur permettront de continuer à apprendre et de participer à la vie des sociétés fondées sur le savoir". En mathématiques, "plus de 90 % des élèves se situent sous le niveau 3 en Algérie, au Kosovo, en République dominicaine et en Tunisie" alors que "plus de 70 % des élèves parviennent au moins à se hisser au niveau 3 à Hong Kong, au Japon et à Singapour". À travers cette enquête on apprend aussi, que 26 % des élèves algériens testés envisagent d'exercer une profession scientifique. Cette tendance est d'ailleurs plus importante chez les filles (29.2 %) que chez les garçons (23.1 %).