Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a annoncé la reprise, à partir du 20 décembre, de la vaccination des enfants contre certaines maladies, selon un communiqué Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a annoncé la reprise, à partir du 20 décembre, de la vaccination des enfants contre certaines maladies, selon un communiqué Le ministère qui rappelle "les mesures portant retrait du vaccin Pentavalent dans l'attente des résultats de l'enquête judiciaire, indique avoir "engagé toutes les mesures pour que la reprise de la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hémophilus influenzae b et l'hépatite virale B (DTC-HibûHVB) soit effectuée à partir du 20 décembre 2016". Le ministère souligne, à cet effet, qu'en "référence aux recommandations, en date du 15 octobre, du comité national d'experts de la vaccination relatives au recours à un autre fournisseur du vaccin pentavalent, recommandations prises en vertu du principe de précaution dans l'attente des résultats de l'enquête judiciaire, la consultation effectuée par l'Institut Pasteur d'Algérie s'est avérée infructueuse". Soulignant que le comité national d'experts de la vaccination s'est réuni dans les délais impartis, à savoir le 13 décembre 2016, le MSPRH note "avoir pris en considération le résultat infructueux de la consultation sus citée, et évalué la situation qui en découle" Il indique avoir "tenu compte de sa recommandation de procéder au rattrapage du vaccin contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hémophilus influenzae et l'hépatite virale B avant la fin du mois décembre 2016, délai qui, à titre de rappel, n'affecte ni la réponse immunitaire ni la protection de enfants éligibles à cette vaccination". Soucieux de consolider les résultats acquis en terme de couverture vaccinale et d'adhésion de la population à la vaccination et considérant que tout refus ou abandon de la vaccination constitue un risque important de résurgence de maladies mortelles évitables, le comité d'experts a formulé des recommandations. La première recommandation indique que "le nouveau calendrier vaccinal est, à titre de rappel, maintenu dès lors que les événements graves observés n'ont aucun rapport avec la nature de ce calendrier". La seconde souligne que "la reprise de la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hemophilus influenzae et l'hépatite virale B (DTC-HibûHVB) devra se faire en procédant au remplacement du vaccin DTC-HibûHVB dit pentavalent, retiré par principe de précaution, par le vaccin tétravalent (DTC-Hib) associé au vaccin monovalent HVB". La troisième porte sur "l'organisation des séances de rattrapage des enfants par le vaccin tétravalent (DTC-Hib) associé au vaccin monovalent HVB devra se faire de manière organisée et graduelle". Le ministère de la Santé tient à rappeler que les vaccins du calendrier national de vaccination sont préqualifiés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et obéissent aux critères d'efficacité et d'innocuité. Il rappelle aussi que la vaccination "demeure une priorité de santé publique et que le programme élargi de vaccination, du fait de l'adhésion de la population et des professionnels de santé, a permis d'éliminer et/ou d'éradiquer la plupart des maladies transmissibles prévalentes mortelles de l'enfant". Un prochain mouvement dans les structures de santé Un mouvement dans les structures sanitaires est prévu dans les prochains jours notamment celles dépendant de la direction de santé de la capitale, a indiqué le ministre Abdelmalek Boudiaf à la Radio nationale. Hormis 8 directeurs de la santé de wilaya, pas moins de 12 responsables à Alger seront touchés par ce mouvement entre rotation de postes et/ou des mises à la retraite, a précisé le ministre de la Santé. Concernant le retrait de la vente dans les pharmacies du médicament RHB pour diabétique ayant suscité une vaste polémique quand à sa commercialisation, le ministre expliquera qu'étant classé complément alimentaire il dépend du ministère du Commerce et d'ajouter qu'une proposition d'amendement dans ce sens est mise dans le code de la santé qui sera prochainement présenté pour débat à l'APN. « Ce n'est qu'à partir de l'amendement inclus de la notion dans la loi de la santé qu'on pourra parler en la matière en tant que ministère de tutelle », a-t-il conclu. Le ministère qui rappelle "les mesures portant retrait du vaccin Pentavalent dans l'attente des résultats de l'enquête judiciaire, indique avoir "engagé toutes les mesures pour que la reprise de la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hémophilus influenzae b et l'hépatite virale B (DTC-HibûHVB) soit effectuée à partir du 20 décembre 2016". Le ministère souligne, à cet effet, qu'en "référence aux recommandations, en date du 15 octobre, du comité national d'experts de la vaccination relatives au recours à un autre fournisseur du vaccin pentavalent, recommandations prises en vertu du principe de précaution dans l'attente des résultats de l'enquête judiciaire, la consultation effectuée par l'Institut Pasteur d'Algérie s'est avérée infructueuse". Soulignant que le comité national d'experts de la vaccination s'est réuni dans les délais impartis, à savoir le 13 décembre 2016, le MSPRH note "avoir pris en considération le résultat infructueux de la consultation sus citée, et évalué la situation qui en découle" Il indique avoir "tenu compte de sa recommandation de procéder au rattrapage du vaccin contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hémophilus influenzae et l'hépatite virale B avant la fin du mois décembre 2016, délai qui, à titre de rappel, n'affecte ni la réponse immunitaire ni la protection de enfants éligibles à cette vaccination". Soucieux de consolider les résultats acquis en terme de couverture vaccinale et d'adhésion de la population à la vaccination et considérant que tout refus ou abandon de la vaccination constitue un risque important de résurgence de maladies mortelles évitables, le comité d'experts a formulé des recommandations. La première recommandation indique que "le nouveau calendrier vaccinal est, à titre de rappel, maintenu dès lors que les événements graves observés n'ont aucun rapport avec la nature de ce calendrier". La seconde souligne que "la reprise de la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l'hemophilus influenzae et l'hépatite virale B (DTC-HibûHVB) devra se faire en procédant au remplacement du vaccin DTC-HibûHVB dit pentavalent, retiré par principe de précaution, par le vaccin tétravalent (DTC-Hib) associé au vaccin monovalent HVB". La troisième porte sur "l'organisation des séances de rattrapage des enfants par le vaccin tétravalent (DTC-Hib) associé au vaccin monovalent HVB devra se faire de manière organisée et graduelle". Le ministère de la Santé tient à rappeler que les vaccins du calendrier national de vaccination sont préqualifiés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et obéissent aux critères d'efficacité et d'innocuité. Il rappelle aussi que la vaccination "demeure une priorité de santé publique et que le programme élargi de vaccination, du fait de l'adhésion de la population et des professionnels de santé, a permis d'éliminer et/ou d'éradiquer la plupart des maladies transmissibles prévalentes mortelles de l'enfant". Un prochain mouvement dans les structures de santé Un mouvement dans les structures sanitaires est prévu dans les prochains jours notamment celles dépendant de la direction de santé de la capitale, a indiqué le ministre Abdelmalek Boudiaf à la Radio nationale. Hormis 8 directeurs de la santé de wilaya, pas moins de 12 responsables à Alger seront touchés par ce mouvement entre rotation de postes et/ou des mises à la retraite, a précisé le ministre de la Santé. Concernant le retrait de la vente dans les pharmacies du médicament RHB pour diabétique ayant suscité une vaste polémique quand à sa commercialisation, le ministre expliquera qu'étant classé complément alimentaire il dépend du ministère du Commerce et d'ajouter qu'une proposition d'amendement dans ce sens est mise dans le code de la santé qui sera prochainement présenté pour débat à l'APN. « Ce n'est qu'à partir de l'amendement inclus de la notion dans la loi de la santé qu'on pourra parler en la matière en tant que ministère de tutelle », a-t-il conclu.