Le péage routier pour l'autoroute Est-Ouest est reporté à 2018. Le ministère a ajourné la décision qui devait entrer en vigueur dès début 2017 expliquant le manque de moyens financiers pour cette opération. Le péage routier pour l'autoroute Est-Ouest est reporté à 2018. Le ministère a ajourné la décision qui devait entrer en vigueur dès début 2017 expliquant le manque de moyens financiers pour cette opération. Les automobilistes seront épargnés pour le péage autoroutier pour un an encore. Le ministre des Transports et des Travaux publics, Boudjemaâ Talai, a indiqué récemment que "la mise en place du système pour gérer le péage a été reporté en 2018". Une étape qui nécessite selon lui "la finalisation de toutes les installations technologiques prévues à cet effet". Pour rappel, le ministre avait, il y a quelques mois, insisté sur la date fatidique du premier trimestre de l'année 2017 pour matérialiser l'opération de péage. Mais vu les contraintes actuelles sur le plan financier, il faudra sans doute attendre que les équipementiers étrangers, dont des suédois, fassent les réglages nécessaires pour mettre en vigueur cette technologie. Le département de Talai qui a pris un sérieux retard sur cette démarche vu que le dernier tronçon de Djebel Ouahch près de Constantine a pris un retard d'exécution en raison de son relief délicat et contraignant. De même que les aires de repos au nombre de 67 et les 22 centres d'entretien des routes ainsi que les gares de péage sont toujours en voie de construction. Une cartographie technique des points où il faut mettre ces installations doit obéir à des normes et le kilométrage des tronçons pour éviter tout désagrément aux automobilistes. L'autre question se rapportant au coût du péage par les automobilistes n'est pas encore tranchée. Le ministre avait souligné lors de son passage au forum d'El Moudjahid il y a quelques semaines que "le coût sera raisonnable et tiendra compte du pouvoir d'achat des citoyens" sans donner d'ailleurs plus de détails. Selon des indiscrétions, le coût au kilomètre devrait se situer entre 4 et 7 DA mais rien n'est encore sûr tant que la question des services de péage étudiés selon la quantité des tronçons et échangeurs n'aurait pas été réglée. En outre, il y a lieu de mentionner que c'est l'Agence de gestion des autoroutes qui sera en charge du péage qui devra s'observer progressivement et selon les kilomètres effectués. Des formules d'abonnement seront autorisées avec un paiement par chèque ou par prélèvement de compte (e-paiement). Il reste à savoir si les usagers de l'autoroute pourraient s'acquitter de l'intégralité du paiement sur une longue distance ou si comme ailleurs, il y aurait une promotion sur une distance parcourue. Ces détails seront intégrés à l'opération afin d'amortir les investissements qui ont coûté des milliards de dinars à l'état. Les automobilistes seront épargnés pour le péage autoroutier pour un an encore. Le ministre des Transports et des Travaux publics, Boudjemaâ Talai, a indiqué récemment que "la mise en place du système pour gérer le péage a été reporté en 2018". Une étape qui nécessite selon lui "la finalisation de toutes les installations technologiques prévues à cet effet". Pour rappel, le ministre avait, il y a quelques mois, insisté sur la date fatidique du premier trimestre de l'année 2017 pour matérialiser l'opération de péage. Mais vu les contraintes actuelles sur le plan financier, il faudra sans doute attendre que les équipementiers étrangers, dont des suédois, fassent les réglages nécessaires pour mettre en vigueur cette technologie. Le département de Talai qui a pris un sérieux retard sur cette démarche vu que le dernier tronçon de Djebel Ouahch près de Constantine a pris un retard d'exécution en raison de son relief délicat et contraignant. De même que les aires de repos au nombre de 67 et les 22 centres d'entretien des routes ainsi que les gares de péage sont toujours en voie de construction. Une cartographie technique des points où il faut mettre ces installations doit obéir à des normes et le kilométrage des tronçons pour éviter tout désagrément aux automobilistes. L'autre question se rapportant au coût du péage par les automobilistes n'est pas encore tranchée. Le ministre avait souligné lors de son passage au forum d'El Moudjahid il y a quelques semaines que "le coût sera raisonnable et tiendra compte du pouvoir d'achat des citoyens" sans donner d'ailleurs plus de détails. Selon des indiscrétions, le coût au kilomètre devrait se situer entre 4 et 7 DA mais rien n'est encore sûr tant que la question des services de péage étudiés selon la quantité des tronçons et échangeurs n'aurait pas été réglée. En outre, il y a lieu de mentionner que c'est l'Agence de gestion des autoroutes qui sera en charge du péage qui devra s'observer progressivement et selon les kilomètres effectués. Des formules d'abonnement seront autorisées avec un paiement par chèque ou par prélèvement de compte (e-paiement). Il reste à savoir si les usagers de l'autoroute pourraient s'acquitter de l'intégralité du paiement sur une longue distance ou si comme ailleurs, il y aurait une promotion sur une distance parcourue. Ces détails seront intégrés à l'opération afin d'amortir les investissements qui ont coûté des milliards de dinars à l'état.