Comme annoncé trois partis de la mouvance islamiste ont scellé une nouvelle alliance. Avec cette alliance ces trois partis, à savoir le mouvement Enahda, le Front pour la justice et le développement (FJD) et le mouvement El Binaa, comptent faire bonne figure lors des élections législatives. Car ce sont ces joutes électorales, prévues au printemps, qui sont à l'origine de cette alliance à trois. Comme annoncé trois partis de la mouvance islamiste ont scellé une nouvelle alliance. Avec cette alliance ces trois partis, à savoir le mouvement Enahda, le Front pour la justice et le développement (FJD) et le mouvement El Binaa, comptent faire bonne figure lors des élections législatives. Car ce sont ces joutes électorales, prévues au printemps, qui sont à l'origine de cette alliance à trois. Hier donc, Abdallah Djaballah pour le FJD, Mohamed Douibi pour Enahda et Ahmed Dane au nom d'El Binaa ont apposé leur signature sur un document qui va permettre à cette troika d'affronter les élections législatives en rangs serrés. Ces trois partis vont ainsi présenter des listes communes dans les 48 wilayas du pays sous le label de l'Union pour Enahda , la Justice et El Binaa (édification). "Nous serons présents dans les 48 wilayas, il y a aujourd'hui une impérieuse nécessité d'union pour encadrer la rue" a indiqué Mohamed Douibi, dans une déclaration à la presse. Ce dernier indique aussi que l'alliance "est ouverte à toute forme de coordination avec d'autres forces politiques". De son côté, Abdallah Djaballah, tout en saluant cette alliance, estime que sa naissance dans un contexte de préparation des législatives "est une pure coïncidence" Pour lui, sur le long terme l'objectif est "de promouvoir la pensée du juste milieu (El Wassatia) et de lutter contre toute forme d'extrémisme". En perspective des élections législatives les trois partis ont mis en place des commissions techniques qui ont pour mission de préparer dans les meilleures conditions cette échéance électorale. Cette alliances intervient dans un contexte marqué aussi par la naissance d'une autre alliance entre deux autres partis de la même mouvance . En effet le MSP et le Front du changement ont annoncé leur fusion et comptent à leur tour, aller aux élections législatives avec des listes communes. Mais après ces élections le Front du changement disparaîtra de la scène politique puisque il va fusionner avec son allié sous le label du MSP. En somme pour Abdelmadjid Menasra, le chef de file du Front du changement, c'est un retour au bercail. Après une dissension qui a duré presque dix ans il revient, en somme, à la maison. Avec ces alliances les partis islamistes comptent faire bonne figure lors des prochaines élections législatives. Les leaders de cette mouvance ont de l'ambition puisque un des chefs de file a récemment annoncé que les islamistes vont faire un excellent score électoral. Actuellement la présence à l'APN des partis islamistes est presque insignifiante. Les députés affiliés a cette mouvance politique, dépasse à peine la soixantaine. Avec cette faible présence, les islamistes, autant d'ailleurs que d'autres partis de l'opposition, ne pèsent guère sur le cours des événements puisque le gouvernement, soutenu par le FLN, le RND et d'autres partis, dispose d'une confortable majorité qui lui permet de faire adopter toutes les lois qu'il veut. Cette donne va-t-elle changer lors des législatives ? Hier donc, Abdallah Djaballah pour le FJD, Mohamed Douibi pour Enahda et Ahmed Dane au nom d'El Binaa ont apposé leur signature sur un document qui va permettre à cette troika d'affronter les élections législatives en rangs serrés. Ces trois partis vont ainsi présenter des listes communes dans les 48 wilayas du pays sous le label de l'Union pour Enahda , la Justice et El Binaa (édification). "Nous serons présents dans les 48 wilayas, il y a aujourd'hui une impérieuse nécessité d'union pour encadrer la rue" a indiqué Mohamed Douibi, dans une déclaration à la presse. Ce dernier indique aussi que l'alliance "est ouverte à toute forme de coordination avec d'autres forces politiques". De son côté, Abdallah Djaballah, tout en saluant cette alliance, estime que sa naissance dans un contexte de préparation des législatives "est une pure coïncidence" Pour lui, sur le long terme l'objectif est "de promouvoir la pensée du juste milieu (El Wassatia) et de lutter contre toute forme d'extrémisme". En perspective des élections législatives les trois partis ont mis en place des commissions techniques qui ont pour mission de préparer dans les meilleures conditions cette échéance électorale. Cette alliances intervient dans un contexte marqué aussi par la naissance d'une autre alliance entre deux autres partis de la même mouvance . En effet le MSP et le Front du changement ont annoncé leur fusion et comptent à leur tour, aller aux élections législatives avec des listes communes. Mais après ces élections le Front du changement disparaîtra de la scène politique puisque il va fusionner avec son allié sous le label du MSP. En somme pour Abdelmadjid Menasra, le chef de file du Front du changement, c'est un retour au bercail. Après une dissension qui a duré presque dix ans il revient, en somme, à la maison. Avec ces alliances les partis islamistes comptent faire bonne figure lors des prochaines élections législatives. Les leaders de cette mouvance ont de l'ambition puisque un des chefs de file a récemment annoncé que les islamistes vont faire un excellent score électoral. Actuellement la présence à l'APN des partis islamistes est presque insignifiante. Les députés affiliés a cette mouvance politique, dépasse à peine la soixantaine. Avec cette faible présence, les islamistes, autant d'ailleurs que d'autres partis de l'opposition, ne pèsent guère sur le cours des événements puisque le gouvernement, soutenu par le FLN, le RND et d'autres partis, dispose d'une confortable majorité qui lui permet de faire adopter toutes les lois qu'il veut. Cette donne va-t-elle changer lors des législatives ?