Maintenant cap sur le redressement de l'Education nationale, la première responsable du secteur, Nouria Benghebrit a annoncé, à Biskra, le lancement imminent d'une consultation nationale sur l'évaluation pédagogique des acquis de l'élève. Maintenant cap sur le redressement de l'Education nationale, la première responsable du secteur, Nouria Benghebrit a annoncé, à Biskra, le lancement imminent d'une consultation nationale sur l'évaluation pédagogique des acquis de l'élève. Pour la ministre, toute perspective de remédiation pédagogique adéquate reste foncièrement assujettie à une bonne évaluation. Benghebrit qui s'exprimait, justement, à l'occasion de l'inauguration d'un atelier national sur la remédiation pédagogique (diagnostic et solutions pratiques), organisé au collège d'enseignement moyen Bachir-Benaceur de Biskra, a estimé que ces deux paramètres constituent "deux faces d'une même pièce", précisant qu'il est "inconcevable" d'évoquer la remédiation pédagogique sans une évaluation des acquis des élèves. Convaincue que l'ancrage de l'image positive chez l'élève à travers notamment la consolidation de la confiance en soi, elle estime que l'objectif escompté, à travers ces dispositions et bien d'autres, reste de guider le plus grand nombre d'élèves vers la réussite, non sans mettre en avant l'apport attendu de l'enseignant qu'elle voit comme le maillon fort de cette opération. Revenant à un credo qui lui est cher, la ministre rappelle que le défi de l'heure n'est plus seulement de dispenser l'enseignement à l'élève mais de lui inculquer une instruction de qualité, en favorisant notamment l'intelligence, pour atteindre le concept de "l'industrie de la connaissance". Par ailleurs, ce cap important de la remédiation pédagogique va au-delà du simple débat sur la question de l'échec scolaire pour Benghebrit, dans la mesure où, à ses yeux l'opération peut constituer également un outil fiable pour lutter contre les cas de violence en milieu scolaire. Précisant sa pensée, la ministre tient à souligner que "l'échec et la déperdition scolaires peuvent aussi inciter aux expressions violentes contre les autres, mais aussi contre soi-même comme le suicide par exemple". Soulignant que le traitement de l'échec scolaire constitue une priorité de l'Education nationale, elle rappelle, dans ce contexte, que son département a organisé dans une première étape deux séminaires régionaux d'évaluation des résultats des examens nationaux pour inciter les wilayas enregistrant des bilans "insuffisants" à se rattraper et qui se sont soldés par l'établissement par les professionnels du secteur de projets de wilayas. A ce plan, elle a précisé que la deuxième phase de ce chantier a porté sur l'élaboration d'une étude pour répertorier et analyser les erreurs commises par les candidats aux différentes épreuves nationales, puis dans une étape ultérieure la présentation des résultats de cette recherche. Enfin, Benghebrit affirme que ce processus lancé depuis 2015 donnera lieu à l'établissement d'un protocole d'action au profit des inspecteurs leur permettant d'accompagner et de former les enseignants pour une meilleure prise en charge des difficultés d'assimilation rencontrées par les élèves, puis la mise en place d'une véritable stratégie nationale de traitement pédagogique. Pour la ministre, toute perspective de remédiation pédagogique adéquate reste foncièrement assujettie à une bonne évaluation. Benghebrit qui s'exprimait, justement, à l'occasion de l'inauguration d'un atelier national sur la remédiation pédagogique (diagnostic et solutions pratiques), organisé au collège d'enseignement moyen Bachir-Benaceur de Biskra, a estimé que ces deux paramètres constituent "deux faces d'une même pièce", précisant qu'il est "inconcevable" d'évoquer la remédiation pédagogique sans une évaluation des acquis des élèves. Convaincue que l'ancrage de l'image positive chez l'élève à travers notamment la consolidation de la confiance en soi, elle estime que l'objectif escompté, à travers ces dispositions et bien d'autres, reste de guider le plus grand nombre d'élèves vers la réussite, non sans mettre en avant l'apport attendu de l'enseignant qu'elle voit comme le maillon fort de cette opération. Revenant à un credo qui lui est cher, la ministre rappelle que le défi de l'heure n'est plus seulement de dispenser l'enseignement à l'élève mais de lui inculquer une instruction de qualité, en favorisant notamment l'intelligence, pour atteindre le concept de "l'industrie de la connaissance". Par ailleurs, ce cap important de la remédiation pédagogique va au-delà du simple débat sur la question de l'échec scolaire pour Benghebrit, dans la mesure où, à ses yeux l'opération peut constituer également un outil fiable pour lutter contre les cas de violence en milieu scolaire. Précisant sa pensée, la ministre tient à souligner que "l'échec et la déperdition scolaires peuvent aussi inciter aux expressions violentes contre les autres, mais aussi contre soi-même comme le suicide par exemple". Soulignant que le traitement de l'échec scolaire constitue une priorité de l'Education nationale, elle rappelle, dans ce contexte, que son département a organisé dans une première étape deux séminaires régionaux d'évaluation des résultats des examens nationaux pour inciter les wilayas enregistrant des bilans "insuffisants" à se rattraper et qui se sont soldés par l'établissement par les professionnels du secteur de projets de wilayas. A ce plan, elle a précisé que la deuxième phase de ce chantier a porté sur l'élaboration d'une étude pour répertorier et analyser les erreurs commises par les candidats aux différentes épreuves nationales, puis dans une étape ultérieure la présentation des résultats de cette recherche. Enfin, Benghebrit affirme que ce processus lancé depuis 2015 donnera lieu à l'établissement d'un protocole d'action au profit des inspecteurs leur permettant d'accompagner et de former les enseignants pour une meilleure prise en charge des difficultés d'assimilation rencontrées par les élèves, puis la mise en place d'une véritable stratégie nationale de traitement pédagogique.