Contrairement à l'an passé où les pèlerins algériens déboursaient 49 millions de centimes, le prix total du hadj 2017 coûtera plus cher cette année. Selon des sources concordantes, on avance même le chiffre de 56 à 60 millions de centimes. Contrairement à l'an passé où les pèlerins algériens déboursaient 49 millions de centimes, le prix total du hadj 2017 coûtera plus cher cette année. Selon des sources concordantes, on avance même le chiffre de 56 à 60 millions de centimes. Soit une hausse de près 7 à 11 millions de centimes ou l'équivalent de 500 à 800 euros environ. Après avoir réussi à récupérer son ancien quota, à savoir 36.000 places, la délégation officielle, dirigée par le ministre des Affaires religieuse et des Wakfs, Mohamed Aissa, ne compte pas s'arrêter à cet acquis de récupération par l'Algérie de plus de 8.000 places, mais semble déterminé à mener des négociations avec les autorités saoudiennes pour une éventuelle fixation du coût du pèlerinage de l'ordre de 50 millions. Pour rappel, déjà, l'année dernière il devait en principe dépasser les "600.000 DA en raison de la hausse du dollar sur le marché international", avait révélé à l'époque le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs mais le prix avait fini par être "revu à la baisse grâce aux négociations menées par la partie algérienne avec les autorités saoudiennes, outre l'aide apportée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au profit des hadjis algériens", avait souligné le ministre. Toujours dans le même sillage, la délégation intersectorielle qui s'est rendue en Arabie saoudite continue sa "rude" négociation avec ses homologues saoudiens et tente de trouver des solutions pour réduire le coût. Les agences entre autres, multiplient les actions pour conclure des contrats avec les parties concernées dans le domaine de l'hébergement et autres services. D'ailleurs, à cet effet, l'Office national du hadj et de la omra (ONHO), avait publié dans les journaux saoudiens un avis d'appel d'offres pour sélectionner les meilleurs prestataires de services. Des négociations qui s'annoncent plus délicates que l'année dernière. Car l'Arabie saoudite n'est pas prête à faire des concessions cette année, avec le baril de pétrole qui plombe son économie. Les autorités saoudiennes placent tous leurs espoirs dans le hadj pour éviter une grosse crise économique dans ce cadre. Ajoutez à tout cela notre dinar qui perd de plus en plus de sa valeur par rapport aux devises étrangères que ce soit au marché officiel ou parallèle. En attendant la fin des négociations, il importe de noter que l'Office national du hadj et de l'omra (ONHO), a désigné au total 38 agences dont 36 privées et deux agences publiques pour l'encadrement des hadjis algériens. Les 38 agences seront instruites par l'Office pour assurer des prestations de qualité à nos futurs pèlerins. Les agences de voyages doivent surtout prendre en charge la restauration des hadjis dans les lieux d'hébergement. Les agences de voyages privées, doivent respecter le cahier de charges élaboré par les services concernés qui stipule que ces agences sont responsables de leurs clients durant tout le séjour dans les Lieux Saints. Les inscriptions du Hadj sont déjà en cours et se poursuivront jusqu'au 7 mars. Le tirage au sort aura lieu le 18 mars 2017. Soit une hausse de près 7 à 11 millions de centimes ou l'équivalent de 500 à 800 euros environ. Après avoir réussi à récupérer son ancien quota, à savoir 36.000 places, la délégation officielle, dirigée par le ministre des Affaires religieuse et des Wakfs, Mohamed Aissa, ne compte pas s'arrêter à cet acquis de récupération par l'Algérie de plus de 8.000 places, mais semble déterminé à mener des négociations avec les autorités saoudiennes pour une éventuelle fixation du coût du pèlerinage de l'ordre de 50 millions. Pour rappel, déjà, l'année dernière il devait en principe dépasser les "600.000 DA en raison de la hausse du dollar sur le marché international", avait révélé à l'époque le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs mais le prix avait fini par être "revu à la baisse grâce aux négociations menées par la partie algérienne avec les autorités saoudiennes, outre l'aide apportée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au profit des hadjis algériens", avait souligné le ministre. Toujours dans le même sillage, la délégation intersectorielle qui s'est rendue en Arabie saoudite continue sa "rude" négociation avec ses homologues saoudiens et tente de trouver des solutions pour réduire le coût. Les agences entre autres, multiplient les actions pour conclure des contrats avec les parties concernées dans le domaine de l'hébergement et autres services. D'ailleurs, à cet effet, l'Office national du hadj et de la omra (ONHO), avait publié dans les journaux saoudiens un avis d'appel d'offres pour sélectionner les meilleurs prestataires de services. Des négociations qui s'annoncent plus délicates que l'année dernière. Car l'Arabie saoudite n'est pas prête à faire des concessions cette année, avec le baril de pétrole qui plombe son économie. Les autorités saoudiennes placent tous leurs espoirs dans le hadj pour éviter une grosse crise économique dans ce cadre. Ajoutez à tout cela notre dinar qui perd de plus en plus de sa valeur par rapport aux devises étrangères que ce soit au marché officiel ou parallèle. En attendant la fin des négociations, il importe de noter que l'Office national du hadj et de l'omra (ONHO), a désigné au total 38 agences dont 36 privées et deux agences publiques pour l'encadrement des hadjis algériens. Les 38 agences seront instruites par l'Office pour assurer des prestations de qualité à nos futurs pèlerins. Les agences de voyages doivent surtout prendre en charge la restauration des hadjis dans les lieux d'hébergement. Les agences de voyages privées, doivent respecter le cahier de charges élaboré par les services concernés qui stipule que ces agences sont responsables de leurs clients durant tout le séjour dans les Lieux Saints. Les inscriptions du Hadj sont déjà en cours et se poursuivront jusqu'au 7 mars. Le tirage au sort aura lieu le 18 mars 2017.