De plus en plus de pression à l'approche des élections législatives au sein des pouvoirs publics et la classe politique participante, qui ont peur, de voir les Algériens bouder les élections législatives de mai prochain. Ainsi le spectre de l'abstention aux prochaines élections législatives plane à ce niveau. De plus en plus de pression à l'approche des élections législatives au sein des pouvoirs publics et la classe politique participante, qui ont peur, de voir les Algériens bouder les élections législatives de mai prochain. Ainsi le spectre de l'abstention aux prochaines élections législatives plane à ce niveau. Il semble inquiéter davantage ceux qui sont en course. Un peu plus de deux mois, nous séparent du jour "J", avant même le lancement officiel de la campagne électorale, ces derniers ont mis les bouchées doubles, en multipliant des recettes anti-boycott. Après les SMS, c'est l'ENTV et la Radio, et surtout les réseaux sociaux qui se lancent dans la mobilisation pour inciter les citoyens à voter. "Tous concernés par les prochaines élections", lit-on sur des affiches placardées un peu partout dans les lieux publics et même dans les autoroutes en rappelant la date de révision des listes électorales qui a débuté le 8 février et se poursuivra jusqu'au 22 du mois en cours. En parallèle avec cette opération, des annonces publicitaires sont diffusées à longueur de la journée sur la télévision et la radio. "Avoir une carte d'électeur est un acte trop facile et indispensable comme boire de l'eau", indique un flash publicitaire diffusé sur l'ENTV et la radio. Une manière de simplifier les choses aux citoyens. A travers ces pancartes publicitaires, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales fait un rappel à l'ordre à l'adresse des citoyens en les invitant à s'inscrire ou à renouveler leurs carte sd'électeur. Entre autres, le département de Bedoui multiplie ses rencontres sur le terrain pour sensibiliser davantage les citoyens sur l'acte de vote. Il fait des rencontres de proximité un plan anti- boycott. Ses actions s'étendent même à l'extérieur du pays. En vue de mobiliser la communauté algérienne établie en France à participer en force au prochain rendez-vous, une réunion de coordination des consuls généraux et consuls en France et en Europe a été tenue vendredi dernier par les deux secrétaires généraux du ministère des Affaires étrangères et celui de l'Intérieur, respectivement Hassene Rabehi et Hocine Mazouz. "Les représentations consulaires devront (...) agir pour sensibiliser nos ressortissants sur l'importance de cette échéance électorale dans la consolidation des institutions de la démocratie et de l'Etat de droit", a indiqué un communiqué sanctionnant les travaux qui ont débuté jeudi à Paris au siège de l'ambassade d'Algérie en France. Du côté de la classe politique, tous les partis politiques participants, tels que le FLN, le RND, le RCD, le FFS, le parti El Moustakbal, le PT, le MPA, le pôle islamiste FJD, Ennahda, et le MEN, constitués en Alliance de l'Union pour Ennahda, la Justice et l'Edification, ainsi que le MSP... ont appelé à une participation massive aux élections locales du 4 mai prochain, mettant en avant l'importance de ce rendez-vous électoral dans la concrétisation des réformes initiées dans le pays. Ce week-end,entre autres, l'Alliance était à Oran, selon l'Aps, où ses principaux responsables, et tout en soulignant que l'échéance du 4 mai constituait "une opportunité pour le changement vers un avenir meilleur". Le même discours a été servi par Abderrezak Mokri, président du MSP à Batna où il a rencontré ses militants. Considérant que les législatives représentaient une opportunité pour l'évolution de l'Algérie, Mokri s'est distingué toutefois en tançant certains de ses alliés de la CNLTD d'hier : "Le boycott auquel appellent certaines parties ne sert ni l'avenir du pays ni celui des partis politiques" a-t-il martelé. Pour le chef du MSP, la phase difficile que traverse actuellement le pays suite à la chute des cours du pétrole, ne saurait être surmontée sans l'implication effective de "toutes les forces agissantes du pays, décideurs y compris" au rendez-vous électoral du 4 mai 2017 et pour lequel il prône un vote massif. Amara Benyounès, de son côté, n'a pas raté l'occasion de fustiger l'opposition, y compris ceux qui appellent au boycott, comme Talaiou El Houriyet d'Ali Benflis. Il semble inquiéter davantage ceux qui sont en course. Un peu plus de deux mois, nous séparent du jour "J", avant même le lancement officiel de la campagne électorale, ces derniers ont mis les bouchées doubles, en multipliant des recettes anti-boycott. Après les SMS, c'est l'ENTV et la Radio, et surtout les réseaux sociaux qui se lancent dans la mobilisation pour inciter les citoyens à voter. "Tous concernés par les prochaines élections", lit-on sur des affiches placardées un peu partout dans les lieux publics et même dans les autoroutes en rappelant la date de révision des listes électorales qui a débuté le 8 février et se poursuivra jusqu'au 22 du mois en cours. En parallèle avec cette opération, des annonces publicitaires sont diffusées à longueur de la journée sur la télévision et la radio. "Avoir une carte d'électeur est un acte trop facile et indispensable comme boire de l'eau", indique un flash publicitaire diffusé sur l'ENTV et la radio. Une manière de simplifier les choses aux citoyens. A travers ces pancartes publicitaires, le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales fait un rappel à l'ordre à l'adresse des citoyens en les invitant à s'inscrire ou à renouveler leurs carte sd'électeur. Entre autres, le département de Bedoui multiplie ses rencontres sur le terrain pour sensibiliser davantage les citoyens sur l'acte de vote. Il fait des rencontres de proximité un plan anti- boycott. Ses actions s'étendent même à l'extérieur du pays. En vue de mobiliser la communauté algérienne établie en France à participer en force au prochain rendez-vous, une réunion de coordination des consuls généraux et consuls en France et en Europe a été tenue vendredi dernier par les deux secrétaires généraux du ministère des Affaires étrangères et celui de l'Intérieur, respectivement Hassene Rabehi et Hocine Mazouz. "Les représentations consulaires devront (...) agir pour sensibiliser nos ressortissants sur l'importance de cette échéance électorale dans la consolidation des institutions de la démocratie et de l'Etat de droit", a indiqué un communiqué sanctionnant les travaux qui ont débuté jeudi à Paris au siège de l'ambassade d'Algérie en France. Du côté de la classe politique, tous les partis politiques participants, tels que le FLN, le RND, le RCD, le FFS, le parti El Moustakbal, le PT, le MPA, le pôle islamiste FJD, Ennahda, et le MEN, constitués en Alliance de l'Union pour Ennahda, la Justice et l'Edification, ainsi que le MSP... ont appelé à une participation massive aux élections locales du 4 mai prochain, mettant en avant l'importance de ce rendez-vous électoral dans la concrétisation des réformes initiées dans le pays. Ce week-end,entre autres, l'Alliance était à Oran, selon l'Aps, où ses principaux responsables, et tout en soulignant que l'échéance du 4 mai constituait "une opportunité pour le changement vers un avenir meilleur". Le même discours a été servi par Abderrezak Mokri, président du MSP à Batna où il a rencontré ses militants. Considérant que les législatives représentaient une opportunité pour l'évolution de l'Algérie, Mokri s'est distingué toutefois en tançant certains de ses alliés de la CNLTD d'hier : "Le boycott auquel appellent certaines parties ne sert ni l'avenir du pays ni celui des partis politiques" a-t-il martelé. Pour le chef du MSP, la phase difficile que traverse actuellement le pays suite à la chute des cours du pétrole, ne saurait être surmontée sans l'implication effective de "toutes les forces agissantes du pays, décideurs y compris" au rendez-vous électoral du 4 mai 2017 et pour lequel il prône un vote massif. Amara Benyounès, de son côté, n'a pas raté l'occasion de fustiger l'opposition, y compris ceux qui appellent au boycott, comme Talaiou El Houriyet d'Ali Benflis.