Ould Abbès, fort embarrassé par la colère des militants, essaye de justifier le choix opéré par la direction du parti et, par voie de conséquence, d'atténuer un tant soit peu la fronde et la contenir. Ould Abbès, fort embarrassé par la colère des militants, essaye de justifier le choix opéré par la direction du parti et, par voie de conséquence, d'atténuer un tant soit peu la fronde et la contenir. La publication des noms des têtes de listes du parti du FLN en particulier et ceux occupant les premières places en général, a suscité une grogne au sein des militants du vieux parti. Et ce, même si l'ensemble des listes officielles n'a pas encore été publiée et ne le sera, comme l'a déclaré le secrétaire général du parti, Djamel Ould Abbès, qu'après l'examen des listes par les services du ministère de l'Intérieur et la fin de la période des recours. C'est dire que le chef de file du FLN fait face à une fronde qui menace d'aller crescendo à l'avenir. Une situation qui est loin d'être une première au FLN puisque cela a de tout temps été le cas lors de la confection des listes électorales du parti. Ould Abbès, fort embarrassé par cette colère, essaye de justifier le choix opéré par la direction du parti et, par voie de conséquence, d'atténuer un tant soit peu la fronde et la contenir. Le choix des candidats pour cette noble mission constitutionnelle "est une procédure imposée par une pratique démocratique transparente puisque les militants ayant présenté leurs dossiers de candidature aux élections législatives du 4 mai 2017 sont tous des militants et militantes respectueux des valeurs et principes du parti" dira Djamal Ould Abbès dans la lettre adressée avant-hier jeudi aux militants du parti. Dans cette lettre publiée sur le site internet du parti, Djamel Ould Abbès a indiqué que l'opération de sélection a permis de choisir 612 candidats parmi les 6.294 militantes et militants ayant déposé leurs dossiers de candidature pour cette joute électorale. "Cela ne veut point dire que ceux qui n'ont pas eu l'occasion de figurer dans la liste électorale ont été exclus et marginalisés car leurs chances restent de mise lors des prochaines échéances" écrit le secrétaire général du parti qui donne, par le biais de ce clin d'oeil à l'adresse des mécontents, la nette impression de se justifier. Oud Abbès tente ainsi de calmer l'ardeur des mécontents qui se sont manifestés et continuent d'ailleurs de le faire depuis l'annonce des noms des candidats et notamment ceux occupant les premières loges dans les listes électorales. Des escarmouches ont en effet opposé les militants du vieux parti faisant même un mort à Tiaret. Cela au moment où des informations, selon lesquelles on continue de triturer les listes du parti, circulent ça et là, ce qui n'est pas fait pour atténuer la fronde, loin s'en faut. Ce jeudi, à titre d'exemple, les militants de la wilaya d'El-Tarf ont fait montre de leur colère suite à des informations faisant état du "repêchage" de Hocine Khaldoun qui aurait finalement été placé en deuxième position de la liste du parti. Or le nom de cet ex-membre du bureau politique, qui a démissionné il y a quelques semaines, ne figurait pas dans la liste initiale déposée au niveau de la commission électorales de la wilaya. Ce mercredi Ould Abbès a pourtant indiqué, en marge d'une rencontre organisée au Conseil de la Nation, qu'il ne cédera pas aux pressions et qu'il ne changera pas les listes électorales déjà déposées. Dans la même veine Ould Abbès rappelle aux militants que depuis son élection au poste de secrétaire général, le 22 octobre dernier, il a oeuvré à la consolidation de la fraternité entre la base et le sommet et la promotion du dialogue qui doit se poursuivre dans l'intérêt suprême de l'Etat dans le cadre de la défense du programme du président de la République. Le chef de file du FLN a, enfin, appelé les militants à la mobilisation en vue de favoriser la victoire du parti lors des prochaines législatives. La publication des noms des têtes de listes du parti du FLN en particulier et ceux occupant les premières places en général, a suscité une grogne au sein des militants du vieux parti. Et ce, même si l'ensemble des listes officielles n'a pas encore été publiée et ne le sera, comme l'a déclaré le secrétaire général du parti, Djamel Ould Abbès, qu'après l'examen des listes par les services du ministère de l'Intérieur et la fin de la période des recours. C'est dire que le chef de file du FLN fait face à une fronde qui menace d'aller crescendo à l'avenir. Une situation qui est loin d'être une première au FLN puisque cela a de tout temps été le cas lors de la confection des listes électorales du parti. Ould Abbès, fort embarrassé par cette colère, essaye de justifier le choix opéré par la direction du parti et, par voie de conséquence, d'atténuer un tant soit peu la fronde et la contenir. Le choix des candidats pour cette noble mission constitutionnelle "est une procédure imposée par une pratique démocratique transparente puisque les militants ayant présenté leurs dossiers de candidature aux élections législatives du 4 mai 2017 sont tous des militants et militantes respectueux des valeurs et principes du parti" dira Djamal Ould Abbès dans la lettre adressée avant-hier jeudi aux militants du parti. Dans cette lettre publiée sur le site internet du parti, Djamel Ould Abbès a indiqué que l'opération de sélection a permis de choisir 612 candidats parmi les 6.294 militantes et militants ayant déposé leurs dossiers de candidature pour cette joute électorale. "Cela ne veut point dire que ceux qui n'ont pas eu l'occasion de figurer dans la liste électorale ont été exclus et marginalisés car leurs chances restent de mise lors des prochaines échéances" écrit le secrétaire général du parti qui donne, par le biais de ce clin d'oeil à l'adresse des mécontents, la nette impression de se justifier. Oud Abbès tente ainsi de calmer l'ardeur des mécontents qui se sont manifestés et continuent d'ailleurs de le faire depuis l'annonce des noms des candidats et notamment ceux occupant les premières loges dans les listes électorales. Des escarmouches ont en effet opposé les militants du vieux parti faisant même un mort à Tiaret. Cela au moment où des informations, selon lesquelles on continue de triturer les listes du parti, circulent ça et là, ce qui n'est pas fait pour atténuer la fronde, loin s'en faut. Ce jeudi, à titre d'exemple, les militants de la wilaya d'El-Tarf ont fait montre de leur colère suite à des informations faisant état du "repêchage" de Hocine Khaldoun qui aurait finalement été placé en deuxième position de la liste du parti. Or le nom de cet ex-membre du bureau politique, qui a démissionné il y a quelques semaines, ne figurait pas dans la liste initiale déposée au niveau de la commission électorales de la wilaya. Ce mercredi Ould Abbès a pourtant indiqué, en marge d'une rencontre organisée au Conseil de la Nation, qu'il ne cédera pas aux pressions et qu'il ne changera pas les listes électorales déjà déposées. Dans la même veine Ould Abbès rappelle aux militants que depuis son élection au poste de secrétaire général, le 22 octobre dernier, il a oeuvré à la consolidation de la fraternité entre la base et le sommet et la promotion du dialogue qui doit se poursuivre dans l'intérêt suprême de l'Etat dans le cadre de la défense du programme du président de la République. Le chef de file du FLN a, enfin, appelé les militants à la mobilisation en vue de favoriser la victoire du parti lors des prochaines législatives.