Dans un communiqué commun, les 4 syndicats de la santé viennent de sceller leur union. Ils entendent d'un front commun lutter en faveur de leurs adhérents pour améliorer leur sort. C'est un prélude à la confédération syndicale qui est en cours de mise en place. Dans un communiqué commun, les 4 syndicats de la santé viennent de sceller leur union. Ils entendent d'un front commun lutter en faveur de leurs adhérents pour améliorer leur sort. C'est un prélude à la confédération syndicale qui est en cours de mise en place. Le SNPSP, le SNPSPP, le syndicat des paramédicaux et celui des psychologues viennent de créer leur union afin indiquent-ils de contribuer à « l'amélioration des conditions socioprofessionnelles de leurs adhérents et la consécration de la concertation et la négociation avec les syndicats de la coordination dans tous les dossiers relatifs aux professionnels de la santé et du système de santé». A l'issue de longues tractations, cette nouvelle fédération syndicale entend «assurer l'équité de l'accès aux soins de qualité à la population et préserver les acquis du système national de santé et sa pérennité». Les 4 syndicats qui activaient chacun dans leur secteur respectif en sont venus à constater la dispersion dans laquelle ils se sont empêtrés et parfois pour les mêmes revendications. Ils ont d'ailleurs appelé les autres entités des travailleurs de la santé à « rejoindre la fédération pour mieux défendre les intérêts moraux et matériels des catégories professionnelles du corps de la santé publique ». Ainsi réalisée, cette nouvelle union va faire évoluer son statut de « partenaire social » au côté de l'UGTA qui reste pour l'heure, l'unique interlocuteur des pouvoirs publics. Sur ce terrain, la concurrence sera de taille avec la puissante centrale syndicale surtout en matière de représentativité des secteurs dans la fonction publique. Selon le président du SNPSP Lyes Merabet « cette fédération aura son mot à dire avec les instances du gouvernement ». Avec la création du regroupement des syndicats de l'éducation, ces deux fédérations espèrent dans les jours à venir mettre sur pied la confédération de tous les syndicats comme une seul main. Le but étant de se faire une place dans les prochaines tripartites. Mais il n'y a pas que cette motivation, les syndicats autonomes plus soudés pourront se faire entendre un peu plus par le gouvernement. Les autres syndicats attendent néanmoins un puissant allié qui est celui du Snapap pour élargir le mouvement de l'union syndicale. Pour l'heure, les syndicats de santé veulent s'engager dans les dossiers d'urgence à régler notamment dans le volet des statuts particuliers dont certaines clauses restent encore non satisfaites. Ils veulent conduire un dialogue serein avec la tutelle à propos de certains dysfonctionnements et certaines entraves sur la liberté syndicale et le droit de grève. Le SNPSP, le SNPSPP, le syndicat des paramédicaux et celui des psychologues viennent de créer leur union afin indiquent-ils de contribuer à « l'amélioration des conditions socioprofessionnelles de leurs adhérents et la consécration de la concertation et la négociation avec les syndicats de la coordination dans tous les dossiers relatifs aux professionnels de la santé et du système de santé». A l'issue de longues tractations, cette nouvelle fédération syndicale entend «assurer l'équité de l'accès aux soins de qualité à la population et préserver les acquis du système national de santé et sa pérennité». Les 4 syndicats qui activaient chacun dans leur secteur respectif en sont venus à constater la dispersion dans laquelle ils se sont empêtrés et parfois pour les mêmes revendications. Ils ont d'ailleurs appelé les autres entités des travailleurs de la santé à « rejoindre la fédération pour mieux défendre les intérêts moraux et matériels des catégories professionnelles du corps de la santé publique ». Ainsi réalisée, cette nouvelle union va faire évoluer son statut de « partenaire social » au côté de l'UGTA qui reste pour l'heure, l'unique interlocuteur des pouvoirs publics. Sur ce terrain, la concurrence sera de taille avec la puissante centrale syndicale surtout en matière de représentativité des secteurs dans la fonction publique. Selon le président du SNPSP Lyes Merabet « cette fédération aura son mot à dire avec les instances du gouvernement ». Avec la création du regroupement des syndicats de l'éducation, ces deux fédérations espèrent dans les jours à venir mettre sur pied la confédération de tous les syndicats comme une seul main. Le but étant de se faire une place dans les prochaines tripartites. Mais il n'y a pas que cette motivation, les syndicats autonomes plus soudés pourront se faire entendre un peu plus par le gouvernement. Les autres syndicats attendent néanmoins un puissant allié qui est celui du Snapap pour élargir le mouvement de l'union syndicale. Pour l'heure, les syndicats de santé veulent s'engager dans les dossiers d'urgence à régler notamment dans le volet des statuts particuliers dont certaines clauses restent encore non satisfaites. Ils veulent conduire un dialogue serein avec la tutelle à propos de certains dysfonctionnements et certaines entraves sur la liberté syndicale et le droit de grève.