Le désormais ex ministre du Tourisme et de l'Artisanat rompt le silence et passe même à l'offensive. En effet Messaoud Benagoun clame haut et fort son innocence de toutes les accusations dont il a fait l'objet ces derniers jours et promet d'ester en justice tous ceux qui ont colporté de fausses informations sur sa personne. Le désormais ex ministre du Tourisme et de l'Artisanat rompt le silence et passe même à l'offensive. En effet Messaoud Benagoun clame haut et fort son innocence de toutes les accusations dont il a fait l'objet ces derniers jours et promet d'ester en justice tous ceux qui ont colporté de fausses informations sur sa personne. Déclarant que son casier judiciaire est vierge et qu'il n'a jamais été condamné à des peines d'emprisonnement comme rapporté par les medias. Il estime être l'objet d'un complot politique ». Dans le sillage des explications fournies par son parti, le MPA, qui l'a défendu et innocenté de toutes les accusations, Messaoud Benagoun est lui aussi monté au créneau en accordant des interviews dans lesquelles il soutient mordicus, et preuves à l'appui, qu'il n'a rien à se reprocher. « Oui, il y a un complot contre moi. Je suis victime d'un complot politique » a-t-il declaré dans un entretien accordé au journal électronique TSA. Benagoun a indiqué n'avoir aucune explication sur son limogeage. «Et je remercie le président de la République pour cette confiance surtout que je suis jeune. Le président a la prérogative de nommer et de démettre qui il veut » s'est-il contenté de répondre. Mais celui qui a été ministre juste 72 heures,a tenu par-dessus tout à se défendre et a réfuter toutes les « contrevérités » dites à son propos et précise qu'il ne connait toujours pas les raisons de son limogeage. « Les fausses rumeurs colportées à mon égard m'ont beaucoup touché. J'ai été la cible d'une campagne violente et diffamatoire menée par la chaîne de télévision Ennahar. Cette chaîne, qui n'a même pas cherché à me contacter, a également attaqué le secrétaire général du MPA » dira Messaoud Benagoune. « Benagoun n'a pas de dossier noir. Il n'a pas été condamné à six ans de prison ferme. Si j'avais été condamné à six ans de prison, qu'est-ce que je fais dehors ? Avant d'être désigné à la tête du MNEA(mouvement national des étudiants algériens NDLR), j'ai fait l'objet d'une enquête d'habilitation des trois services de sécurité (DRS, police, gendarmerie). Les membres fondateurs ont été entendus par les trois services avant le congrès constitutif du MNEA. Une enquête a été également menée avant ma candidature aux élections législatives du 4 mai 2017. Le MPA a envoyé la liste des cadres proposés pour des postes ministériels depuis quinze jours. Ils ont eu tout le temps pour enquêter et exprimer des réserves »a –t-il souligné lorsque il est entré dans le vif du sujet. A la question de savoir s'il a déjà été condamné par la justice, il a eu cette réponse : « Toute personne a droit à la présomption d'innocence. Je me suis porté candidat aux législatives et au secrétariat général du MNEA avec un casier judiciaire vierge. En 2008, j'ai eu un accrochage verbal avec un agent de sécurité à la cité universitaire de Delly Brahim. J'étais avec un groupe de jeunes. L'un d'eux, qui s'appelle M. S, a frappé l'agent en question. Il a été condamné à payer une amende de 20 000 dinars et moi j'ai été relaxé L'affaire a ensuite été portée devant la Cour d'appel. J'ai été condamné au payement d'une amende de 10 000 dinars que j'ai versée en 2011. J'ai été aussi poursuivi dans une banale affaire de contrôle technique de véhicules et d'assurance périmée. J'ai été jugé par défaut et j'ai fait opposition. Donc, ces condamnations ne sont pas portées dans le casier judiciaire.Un autre agent de sécurité du Resto U de Delly Brahim a déposé plainte contre moi pour « insultes » mais je n'ai pas été entendu par le juge. Une condamnation a été prononcée par contumace contre moi. Personne ne m'a contacté du tribunal, je ne le savais même pas. Je n'ai pas reçu de convocation.En fait, je me suis aperçu du problème lors du dépôt de ma candidature aux élections législatives du 4 mai. Mon dossier a été rejeté par le wali de Batna. On m'a dit que j'ai été condamné à une peine de prison avec sursis. J'ai saisi le tribunal administratif et j'ai obtenu gain de cause ». IL a aussi refuté les accusations de trafic de diplômes universitaires. « J'ai décroché mon diplôme en droit en octobre 2012 à l'université Alger 1 et, là, je termine mes études en économie. S'ils savaient que j'ai falsifié mon diplôme, pourquoi n'ont-ils pas sollicité le procureur général pour qu'il lance un mandat d'arrêt contre moi ? » dira –t-il. Par conséquent, a-t-il ajouté, « je vais déposer plainte contre la chaîne Ennahar pour diffamation » Déclarant que son casier judiciaire est vierge et qu'il n'a jamais été condamné à des peines d'emprisonnement comme rapporté par les medias. Il estime être l'objet d'un complot politique ». Dans le sillage des explications fournies par son parti, le MPA, qui l'a défendu et innocenté de toutes les accusations, Messaoud Benagoun est lui aussi monté au créneau en accordant des interviews dans lesquelles il soutient mordicus, et preuves à l'appui, qu'il n'a rien à se reprocher. « Oui, il y a un complot contre moi. Je suis victime d'un complot politique » a-t-il declaré dans un entretien accordé au journal électronique TSA. Benagoun a indiqué n'avoir aucune explication sur son limogeage. «Et je remercie le président de la République pour cette confiance surtout que je suis jeune. Le président a la prérogative de nommer et de démettre qui il veut » s'est-il contenté de répondre. Mais celui qui a été ministre juste 72 heures,a tenu par-dessus tout à se défendre et a réfuter toutes les « contrevérités » dites à son propos et précise qu'il ne connait toujours pas les raisons de son limogeage. « Les fausses rumeurs colportées à mon égard m'ont beaucoup touché. J'ai été la cible d'une campagne violente et diffamatoire menée par la chaîne de télévision Ennahar. Cette chaîne, qui n'a même pas cherché à me contacter, a également attaqué le secrétaire général du MPA » dira Messaoud Benagoune. « Benagoun n'a pas de dossier noir. Il n'a pas été condamné à six ans de prison ferme. Si j'avais été condamné à six ans de prison, qu'est-ce que je fais dehors ? Avant d'être désigné à la tête du MNEA(mouvement national des étudiants algériens NDLR), j'ai fait l'objet d'une enquête d'habilitation des trois services de sécurité (DRS, police, gendarmerie). Les membres fondateurs ont été entendus par les trois services avant le congrès constitutif du MNEA. Une enquête a été également menée avant ma candidature aux élections législatives du 4 mai 2017. Le MPA a envoyé la liste des cadres proposés pour des postes ministériels depuis quinze jours. Ils ont eu tout le temps pour enquêter et exprimer des réserves »a –t-il souligné lorsque il est entré dans le vif du sujet. A la question de savoir s'il a déjà été condamné par la justice, il a eu cette réponse : « Toute personne a droit à la présomption d'innocence. Je me suis porté candidat aux législatives et au secrétariat général du MNEA avec un casier judiciaire vierge. En 2008, j'ai eu un accrochage verbal avec un agent de sécurité à la cité universitaire de Delly Brahim. J'étais avec un groupe de jeunes. L'un d'eux, qui s'appelle M. S, a frappé l'agent en question. Il a été condamné à payer une amende de 20 000 dinars et moi j'ai été relaxé L'affaire a ensuite été portée devant la Cour d'appel. J'ai été condamné au payement d'une amende de 10 000 dinars que j'ai versée en 2011. J'ai été aussi poursuivi dans une banale affaire de contrôle technique de véhicules et d'assurance périmée. J'ai été jugé par défaut et j'ai fait opposition. Donc, ces condamnations ne sont pas portées dans le casier judiciaire.Un autre agent de sécurité du Resto U de Delly Brahim a déposé plainte contre moi pour « insultes » mais je n'ai pas été entendu par le juge. Une condamnation a été prononcée par contumace contre moi. Personne ne m'a contacté du tribunal, je ne le savais même pas. Je n'ai pas reçu de convocation.En fait, je me suis aperçu du problème lors du dépôt de ma candidature aux élections législatives du 4 mai. Mon dossier a été rejeté par le wali de Batna. On m'a dit que j'ai été condamné à une peine de prison avec sursis. J'ai saisi le tribunal administratif et j'ai obtenu gain de cause ». IL a aussi refuté les accusations de trafic de diplômes universitaires. « J'ai décroché mon diplôme en droit en octobre 2012 à l'université Alger 1 et, là, je termine mes études en économie. S'ils savaient que j'ai falsifié mon diplôme, pourquoi n'ont-ils pas sollicité le procureur général pour qu'il lance un mandat d'arrêt contre moi ? » dira –t-il. Par conséquent, a-t-il ajouté, « je vais déposer plainte contre la chaîne Ennahar pour diffamation »