Le comité de soutien aux travailleurs de Cevital a accusé hier le P.-dg du port de Béjaïa "d'acharnement orchestré, synchronisé et organisé" contre Cevital. Le comité de soutien aux travailleurs de Cevital a accusé hier le P.-dg du port de Béjaïa "d'acharnement orchestré, synchronisé et organisé" contre Cevital. Le porte-parole et vice-président de ce comité, Mourad Bouzidi, rappelle, dans une déclaration, que le groupe d'Issad Rebrab est le "meilleur client du port et le premier pourvoyeur d'emploi et le premier contributeur à la fiscalité de la région et de l'Algérie après Sonatrach". Selon lui, le P.-dg du port "bloque les accostages des bateaux de Cevital en violation de la loi. Il ne lui appartient pas de décider du devenir des équipements, aucun texte de loi ne lui donne cette autorité à exiger la destination des équipements ni leur utilisation finale", s'insurge Mourad Bouzidi. Pour lui, la mission du P.-dg du port est de "veiller à la bonne gestion d'un port qu'il est en train de déstabiliser et non pas à se substituer au président de la République ou au Premier ministre". Le porte-parole du comité dit "douter sérieusement des motivations de ce responsable. S'il est obligé de commettre des actes illégaux qui sanctionnent sa région c'est qu'il doit avoir beaucoup de choses à se reprocher", dit-il. "S'il est incapable d'assumer ses responsabilités et de respecter la loi, alors il n'a qu'à démissionner. Béjaia ne lui pardonnera pas son entêtement à servir des intérêts occultes au détriment de la population et de la jeunesse de notre région et de l'Algérie entière", conclut Mourad Bouzidi. Le P.-dg du port de Béjaïa a accusé, hier lundi, Issad Rebrab de "manipuler ses ouvriers". Il a également signalé que Cevital disposait de 140.000 mètres carrés au sein du port, en précisant qu'un terrain lui a été attribué en 1998 pour son projet de trituration de graines oléagineuses. Sauf que Issad Rebrab l'avait utilisé pour implanter un silo de céréales de 120.000 tonnes. Le porte-parole et vice-président de ce comité, Mourad Bouzidi, rappelle, dans une déclaration, que le groupe d'Issad Rebrab est le "meilleur client du port et le premier pourvoyeur d'emploi et le premier contributeur à la fiscalité de la région et de l'Algérie après Sonatrach". Selon lui, le P.-dg du port "bloque les accostages des bateaux de Cevital en violation de la loi. Il ne lui appartient pas de décider du devenir des équipements, aucun texte de loi ne lui donne cette autorité à exiger la destination des équipements ni leur utilisation finale", s'insurge Mourad Bouzidi. Pour lui, la mission du P.-dg du port est de "veiller à la bonne gestion d'un port qu'il est en train de déstabiliser et non pas à se substituer au président de la République ou au Premier ministre". Le porte-parole du comité dit "douter sérieusement des motivations de ce responsable. S'il est obligé de commettre des actes illégaux qui sanctionnent sa région c'est qu'il doit avoir beaucoup de choses à se reprocher", dit-il. "S'il est incapable d'assumer ses responsabilités et de respecter la loi, alors il n'a qu'à démissionner. Béjaia ne lui pardonnera pas son entêtement à servir des intérêts occultes au détriment de la population et de la jeunesse de notre région et de l'Algérie entière", conclut Mourad Bouzidi. Le P.-dg du port de Béjaïa a accusé, hier lundi, Issad Rebrab de "manipuler ses ouvriers". Il a également signalé que Cevital disposait de 140.000 mètres carrés au sein du port, en précisant qu'un terrain lui a été attribué en 1998 pour son projet de trituration de graines oléagineuses. Sauf que Issad Rebrab l'avait utilisé pour implanter un silo de céréales de 120.000 tonnes.