Comme promis le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, s'est expliqué sur de nombreuses questions. À l'issue d'une session ordinaire du conseil national de son parti Ouyahia a, lors de la conférence de presse, répondu aux questions des journalistes. Comme promis le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, s'est expliqué sur de nombreuses questions. À l'issue d'une session ordinaire du conseil national de son parti Ouyahia a, lors de la conférence de presse, répondu aux questions des journalistes. Dans le style qui lui est connu il a, cependant, esquivé certaines questions en bottant en touche. Sur la place de son parti au gouvernement et le nombre de portefeuilles ministériels qui lui ont été attribués Ouyahia a indiqué que le RND n'était nullement inscrit dans la logique du "partage du gâteau". "Nous n'avons pas rencontré Abdemalek S ellal pour partager le gâteau" a-t-il notamment indiqué. Il faisait allusion à la rencontre avec l'ancien Premier ministre dans le cadre des consultations pour la formation d'un nouveau gouvernement. "Abdelmalek Sellal est un ami depuis 1972, on a fait l'ENA ensemble" dira Ouyahia comme pour démentir les spéculations sur l'animosité entre les deux hommes. Il a indiqué que le président Bouteflika n'était pas "constitutionnellement obligé de consulter les partis politiques pour former le gouvernement" Comparativement au FLN, qui a décroché la part du lion, le RND n'a eu que trois postes ministériels alors qu'il a réalisé un bon score lors des élections législatives du 4 mai. "Nous sommes des militants de conviction, notre souci n'est pas le nombre de postes de ministre", dira-t-il. Il a défendu l'ancien ministre de l'Industrie qui est un militant du RND. "Abdesslem Bouchouareb est notre ami, on est fier de lui. Il était au gouvernement il ne l'est plus, ce n'est pas la fin du monde." dira Ouyahia. Il a indiqué qu'il gardait toujours son titre de ministre de l'Etat au même titre que Tayeb Belaiz car "il n'y a pas de décret présidentiel mettant fin à mon statut de ministre d'Etat". Au sujet du ministre du Tourisme nommé et limogé deux jours après, Ouyahia a soutenu qu'il y a eu "des dysfonctionnements au niveau de l'enquête d'habilitation". Et d'ajouter que "ce n'est pas le président Bouteflika qui mène les enquêtes". Interrogé sur les affaires de ses enfants, Ouyahia a notamment assuré qu'ils géraient des entreprises "dans le cadre de la loi et ils ont le droit de le faire. Mes enfants ne sont pas des vendeurs de drogue" a-t-il souligné. "L'on a écrit que mes fils possèdent des sociétés. Idem pour ma femme. Que je possède moi-même des bus, des minoteries. Je dis : Heureusement qu'on n'a pas cité mes enfants dans des affaires de drogue" a répondu Ouyahia relativement agacé par ces informations. S'agissant de sa femme il dira que "celui qui trouve une trace de cette société, je la lui céderai", a-t-il dit, avant de poursuivre: "Ces paroles ne me perturbent pas. Je suis un homme public depuis 20 ans. L'essentiel pour un homme c'est de pouvoir se regarder dans le miroir le matin". Il n'a pas manqué aussi de défendre son bilan quand il était chef de gouvernement. Comme il a assumé ses positions sur certaines questions comme son hostilité à la hausse des salaires. "On a dit qu'Ouyahia n'aimait pas le peuple. Mais je suis un enfant du peuple. J'aime le peuple. C'est cet amour pour le peuple qui le pousse à s'éloigner de la démagogie et du populisme dans ses discours", a-t-il précisé. Dans le style qui lui est connu il a, cependant, esquivé certaines questions en bottant en touche. Sur la place de son parti au gouvernement et le nombre de portefeuilles ministériels qui lui ont été attribués Ouyahia a indiqué que le RND n'était nullement inscrit dans la logique du "partage du gâteau". "Nous n'avons pas rencontré Abdemalek S ellal pour partager le gâteau" a-t-il notamment indiqué. Il faisait allusion à la rencontre avec l'ancien Premier ministre dans le cadre des consultations pour la formation d'un nouveau gouvernement. "Abdelmalek Sellal est un ami depuis 1972, on a fait l'ENA ensemble" dira Ouyahia comme pour démentir les spéculations sur l'animosité entre les deux hommes. Il a indiqué que le président Bouteflika n'était pas "constitutionnellement obligé de consulter les partis politiques pour former le gouvernement" Comparativement au FLN, qui a décroché la part du lion, le RND n'a eu que trois postes ministériels alors qu'il a réalisé un bon score lors des élections législatives du 4 mai. "Nous sommes des militants de conviction, notre souci n'est pas le nombre de postes de ministre", dira-t-il. Il a défendu l'ancien ministre de l'Industrie qui est un militant du RND. "Abdesslem Bouchouareb est notre ami, on est fier de lui. Il était au gouvernement il ne l'est plus, ce n'est pas la fin du monde." dira Ouyahia. Il a indiqué qu'il gardait toujours son titre de ministre de l'Etat au même titre que Tayeb Belaiz car "il n'y a pas de décret présidentiel mettant fin à mon statut de ministre d'Etat". Au sujet du ministre du Tourisme nommé et limogé deux jours après, Ouyahia a soutenu qu'il y a eu "des dysfonctionnements au niveau de l'enquête d'habilitation". Et d'ajouter que "ce n'est pas le président Bouteflika qui mène les enquêtes". Interrogé sur les affaires de ses enfants, Ouyahia a notamment assuré qu'ils géraient des entreprises "dans le cadre de la loi et ils ont le droit de le faire. Mes enfants ne sont pas des vendeurs de drogue" a-t-il souligné. "L'on a écrit que mes fils possèdent des sociétés. Idem pour ma femme. Que je possède moi-même des bus, des minoteries. Je dis : Heureusement qu'on n'a pas cité mes enfants dans des affaires de drogue" a répondu Ouyahia relativement agacé par ces informations. S'agissant de sa femme il dira que "celui qui trouve une trace de cette société, je la lui céderai", a-t-il dit, avant de poursuivre: "Ces paroles ne me perturbent pas. Je suis un homme public depuis 20 ans. L'essentiel pour un homme c'est de pouvoir se regarder dans le miroir le matin". Il n'a pas manqué aussi de défendre son bilan quand il était chef de gouvernement. Comme il a assumé ses positions sur certaines questions comme son hostilité à la hausse des salaires. "On a dit qu'Ouyahia n'aimait pas le peuple. Mais je suis un enfant du peuple. J'aime le peuple. C'est cet amour pour le peuple qui le pousse à s'éloigner de la démagogie et du populisme dans ses discours", a-t-il précisé.