Rien ne va plus entre le Mouvement de la société pour la paix (MSP) et l'Alliance islamiste El Adala, Nahda et el Bina. Entre ces deux pôles islamistes c'est en effet, la guerre des mots. Une énième crise qui indique clairement que les divergences qui minent cette mouvance islamiste ne sont pas prêtes de s'estomper de sitôt. Rien ne va plus entre le Mouvement de la société pour la paix (MSP) et l'Alliance islamiste El Adala, Nahda et el Bina. Entre ces deux pôles islamistes c'est en effet, la guerre des mots. Une énième crise qui indique clairement que les divergences qui minent cette mouvance islamiste ne sont pas prêtes de s'estomper de sitôt. C'est le parti El Adala, qui fait office de locomotive de cette alliance à trois avec Nahda et El Bina, qui a ouvert les hostilités en premier. El Adala, dirigé pour rappel, par Abdallah Djaballah, a fustigé les "manoeuvres" du MSP à l'Assemblée populaire nationale (APN). Manoeuvre ayant eu pour résultat d'écarter l'Alliance islamiste des structures de l'APN. Lakhdar Benkhallaf, qui a représenté cette alliance tripartite à la réunion convoquée par le président de l'APN avec les chefs des groupes parlementaires pour trancher la question des structures de l'Assemblée, a été formel dans ses critiques. Pour lui en effet le MSP a plutôt fait cause commune avec la majorité parlementaire, représentée par le FLN et le RND, qu'avec l'opposition. Une position qui a été à l'origine, selon lui, de la marginalisation de l'Alliance, dont la volonté de faire partie des structures de l'Assemblée a été contrariée. Au final donc cette alliance, qui a décroché 15 sièges lors des élections législatives du 4 mai dernier, ne sera pas représentée au bureau de l'Assemblée encore moins au niveau des commissions permanentes. Au contraire du MSP qui, avec 34 sièges obtenus lors des législatives, a eu droit à un siège au bureau et la présidence d'une des 12 commissions permanentes. A l'évidence le MSP a réfuté d'un revers de la main toutes ces accusations en estimant que sa présence dans les structures de l'Assemblée est due exclusivement aux résultats obtenus lors des législatives. En termes plus clairs si l'Alliance tripartite islamiste n'est pas présente, c'est essentiellement à cause de sa faible présence à l'APN. Rappelons que lors de la réunion tenue par le président de l'PPN avec les chefs des groupes parlementaires, et faute de consensus, il a été décidé d'appliquer l'alinéa 2 de l'article 13 du règlement intérieur. Ainsi, pour les 9 postes de vice-présidents de l'Assemblée, c'est une liste unique qui sera soumise à l'approbation des députés lors d'une séance plénière. Ainsi le FLN va obtenir 4 postes de vice-presidents, le RND 3, le MSP et les Indépendants 1 poste chacun. Le FLN obtient aussi la part du lion dans les commissions permanentes puisqu'il va présider 5 d'entre elles. Le RND aura sera à la tête de 4 commissions alors que la présidence des trois autres commissions reviendra au MSP, les Indépendants et le TAJ d'Amar Ghoul. Autant dire que l'opposition, à travers le MSP, aura une présence insignifiante dans les structures de l'Assemblée . Il faut dire que le FFS et le Parti des travailleurs ont boycotté les structures de la chambre basse. Cela dit cette guerre de mots entre El Adala et le MSP devient, apparemment chronique. En effet avant la tenue des législatives du 4 mai il y a eu une passe d'armes entre eux. El Adala, qui s'est allié à Nahda et El Bina, a accusé le MSP d'avoir refusé de rejoindre cette alliance islamiste et de ne pas être favorable, par conséquent, à une sainte alliance dans la mouvance islamiste. Le mouvement d'Abderazak Makri, qui s'est allié au Front du changement, s'est bien sûr défendu de ces attaques. C'est dire que dans le camp islamiste, sur fond de bataille pour le leadership, l'union sacrée n'est certainement pas pour demian . C'est le parti El Adala, qui fait office de locomotive de cette alliance à trois avec Nahda et El Bina, qui a ouvert les hostilités en premier. El Adala, dirigé pour rappel, par Abdallah Djaballah, a fustigé les "manoeuvres" du MSP à l'Assemblée populaire nationale (APN). Manoeuvre ayant eu pour résultat d'écarter l'Alliance islamiste des structures de l'APN. Lakhdar Benkhallaf, qui a représenté cette alliance tripartite à la réunion convoquée par le président de l'APN avec les chefs des groupes parlementaires pour trancher la question des structures de l'Assemblée, a été formel dans ses critiques. Pour lui en effet le MSP a plutôt fait cause commune avec la majorité parlementaire, représentée par le FLN et le RND, qu'avec l'opposition. Une position qui a été à l'origine, selon lui, de la marginalisation de l'Alliance, dont la volonté de faire partie des structures de l'Assemblée a été contrariée. Au final donc cette alliance, qui a décroché 15 sièges lors des élections législatives du 4 mai dernier, ne sera pas représentée au bureau de l'Assemblée encore moins au niveau des commissions permanentes. Au contraire du MSP qui, avec 34 sièges obtenus lors des législatives, a eu droit à un siège au bureau et la présidence d'une des 12 commissions permanentes. A l'évidence le MSP a réfuté d'un revers de la main toutes ces accusations en estimant que sa présence dans les structures de l'Assemblée est due exclusivement aux résultats obtenus lors des législatives. En termes plus clairs si l'Alliance tripartite islamiste n'est pas présente, c'est essentiellement à cause de sa faible présence à l'APN. Rappelons que lors de la réunion tenue par le président de l'PPN avec les chefs des groupes parlementaires, et faute de consensus, il a été décidé d'appliquer l'alinéa 2 de l'article 13 du règlement intérieur. Ainsi, pour les 9 postes de vice-présidents de l'Assemblée, c'est une liste unique qui sera soumise à l'approbation des députés lors d'une séance plénière. Ainsi le FLN va obtenir 4 postes de vice-presidents, le RND 3, le MSP et les Indépendants 1 poste chacun. Le FLN obtient aussi la part du lion dans les commissions permanentes puisqu'il va présider 5 d'entre elles. Le RND aura sera à la tête de 4 commissions alors que la présidence des trois autres commissions reviendra au MSP, les Indépendants et le TAJ d'Amar Ghoul. Autant dire que l'opposition, à travers le MSP, aura une présence insignifiante dans les structures de l'Assemblée . Il faut dire que le FFS et le Parti des travailleurs ont boycotté les structures de la chambre basse. Cela dit cette guerre de mots entre El Adala et le MSP devient, apparemment chronique. En effet avant la tenue des législatives du 4 mai il y a eu une passe d'armes entre eux. El Adala, qui s'est allié à Nahda et El Bina, a accusé le MSP d'avoir refusé de rejoindre cette alliance islamiste et de ne pas être favorable, par conséquent, à une sainte alliance dans la mouvance islamiste. Le mouvement d'Abderazak Makri, qui s'est allié au Front du changement, s'est bien sûr défendu de ces attaques. C'est dire que dans le camp islamiste, sur fond de bataille pour le leadership, l'union sacrée n'est certainement pas pour demian .