Le président Bouteflika a décidé l'organisation d'une session du bac exceptionnelle pour les candidats exclus lors de la précédente session pour cause de retard. Le président Bouteflika a décidé l'organisation d'une session du bac exceptionnelle pour les candidats exclus lors de la précédente session pour cause de retard. L e président a ordonné à la ministre de l'Education de prendre les dispositions nécessaires pour l'organisation de cette session exceptionnelle dans les mêmes conditions de rigueur que la précédente. En cette fin de Ramadhan, il s'agit d'un geste de générosité, de sagesse et d'apaisement de la part du président Bouteflika qui, selon le premier ministre, "a entendu les doléances des parents d'élèves et il a ordonné au gouvernement de préparer une session spéciale pour ces retardataires. " Le Premier ministre a tenu néanmoins à expliquer qu'il ne s'agit pas d'une "nouvelle session de l'examen mais d'une session spéciale" uniquement réservée aux candidats interdits d'accès à la salle d'examen après être arrivés en retard. La nuance du Premier ministre est de taille, en ce sens que cette session ne sera ouverte que pour les candidats dont l'absence est dûment constatée par PV et pas d'autres. Combien sont-ils ces candidats ? Le chiffre reste imprécis, comme on a pu constater à travers les déclarations de Nouria Benghabrit qui a évoqué vendredi à l'hémicycle le chiffre de 103.000, alors que l'inspecteur général du ministère, Nedjadi Messeguem, avait fait état de 7.000. "C'est une session pour les candidats qui n'ont pas pu passer leurs examens à cause du retard qu'ils ont mis pour rejoindre les centres d'examens", a-t-il souligné, relevant, pour sa part, qu'ils "sont un millier et quelques" à être concernés par cette mesure. Pour ce faire, toutes "les prérogatives pour l'organisation matérielle de cette session qui doit se dérouler dans les mêmes conditions de rigueur ayant prévalu lors de la session du mois de juin ont été octroyées à la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit", a ajouté le Premier ministre. La balle se trouve désormais dans le camp de la ministre de l'Education qui doit réunir ses collaborateurs pour arrêter la date de cette session dans les délais les plus proches, c'est-à-dire la première où au plus tard la deuxième semaine de juillet pour que les correcteurs qui sont déjà sur le pont puissent prendre en charge, dans la foulée, les copies de cette session spéciale. Cette session suppose aussi la mise en place d'une logistique lourde avec des sujets à sélectionner, à imprimer, des personnels pédagogiques et administratifs à remobiliser, alors qu'ils sont quasiment en vacances même si la signature des PV de sortie se fait généralement le 4 juillet. "Il faut qu'on s'organise. Le Bac ce n'est pas facile", a-t-elle déclaré samedi sur les ondes de la radio. L e président a ordonné à la ministre de l'Education de prendre les dispositions nécessaires pour l'organisation de cette session exceptionnelle dans les mêmes conditions de rigueur que la précédente. En cette fin de Ramadhan, il s'agit d'un geste de générosité, de sagesse et d'apaisement de la part du président Bouteflika qui, selon le premier ministre, "a entendu les doléances des parents d'élèves et il a ordonné au gouvernement de préparer une session spéciale pour ces retardataires. " Le Premier ministre a tenu néanmoins à expliquer qu'il ne s'agit pas d'une "nouvelle session de l'examen mais d'une session spéciale" uniquement réservée aux candidats interdits d'accès à la salle d'examen après être arrivés en retard. La nuance du Premier ministre est de taille, en ce sens que cette session ne sera ouverte que pour les candidats dont l'absence est dûment constatée par PV et pas d'autres. Combien sont-ils ces candidats ? Le chiffre reste imprécis, comme on a pu constater à travers les déclarations de Nouria Benghabrit qui a évoqué vendredi à l'hémicycle le chiffre de 103.000, alors que l'inspecteur général du ministère, Nedjadi Messeguem, avait fait état de 7.000. "C'est une session pour les candidats qui n'ont pas pu passer leurs examens à cause du retard qu'ils ont mis pour rejoindre les centres d'examens", a-t-il souligné, relevant, pour sa part, qu'ils "sont un millier et quelques" à être concernés par cette mesure. Pour ce faire, toutes "les prérogatives pour l'organisation matérielle de cette session qui doit se dérouler dans les mêmes conditions de rigueur ayant prévalu lors de la session du mois de juin ont été octroyées à la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit", a ajouté le Premier ministre. La balle se trouve désormais dans le camp de la ministre de l'Education qui doit réunir ses collaborateurs pour arrêter la date de cette session dans les délais les plus proches, c'est-à-dire la première où au plus tard la deuxième semaine de juillet pour que les correcteurs qui sont déjà sur le pont puissent prendre en charge, dans la foulée, les copies de cette session spéciale. Cette session suppose aussi la mise en place d'une logistique lourde avec des sujets à sélectionner, à imprimer, des personnels pédagogiques et administratifs à remobiliser, alors qu'ils sont quasiment en vacances même si la signature des PV de sortie se fait généralement le 4 juillet. "Il faut qu'on s'organise. Le Bac ce n'est pas facile", a-t-elle déclaré samedi sur les ondes de la radio.