Le secteur de l'exportation a toujours été un des talons d'Achille de l'économie nationale. Les operateurs économiques nationaux font en effet face à d'incommensurables problèmes et exporter devient un véritable parcours du combattant. Le secteur de l'exportation a toujours été un des talons d'Achille de l'économie nationale. Les operateurs économiques nationaux font en effet face à d'incommensurables problèmes et exporter devient un véritable parcours du combattant. Pour promouvoir et diversifier les échanges économiques vers l'étranger et maitriser ses accords d'associations, il devient impératif pour l'Algérie de créer un Secrétariat d'Etat à l'exportation. nC'est en tout cas la proposition formulée par le président de l'Association des exportateurs algériens. C'est dans ce contexte qu'Ali Bey, qui commentait la réactivation, 14 années après, du Conseil national consultatif de promotion des exportations, s'est félicité de ce "pas important" dans la voie de la relance et du développement de cette activité. S'exprimant, jeudi, à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, l'intervenant n'en considère pas moins que beaucoup de temps a été perdu. Mais cette structure demeure, dont le décret d'installation, date du 12 juin 2004, mérite de jouer un rôle plus efficace. Selon l'invité de la radio l'Algérie a le dos au mur, parce que croire à uneremontée des prix des hydrocarbures "c'est exclu", d'autant que "nous avons une balancedes paiements déficitaire et desréserves monétaires qui fondent de plus enplus". Revenant à "l'outil de pilotage" quereprésente le Conseil de promotion des exportations relevant du Premier ministre, il explique qu'il est chargé de définir la stratégie du pays et d'évaluer et de mettrenen oeuvre les propositions émanant "de toutes les parties". Commentant le niveau "minime" des exportations hors hydrocarbures, (environ 2 milliards de dollars pour 2017, contre les 3 milliards escomptés) M. Ali Bey l'impute à une "absence de vision". Pour lui, il s'agit, aujourd'hui, de sérier et d'organiser les filières d'exportation, mais également de ramener l'investissementqui leur est consacré.Pour commencer à donner corps à une"industrie de l'exportation" il préconise deprofiter des expériences de pays tiers et d'aller "vers une stratégie d'action, et non seulement se contenter de communications". Pour promouvoir et diversifier les échanges économiques vers l'étranger et maitriser ses accords d'associations, il devient impératif pour l'Algérie de créer un Secrétariat d'Etat à l'exportation. nC'est en tout cas la proposition formulée par le président de l'Association des exportateurs algériens. C'est dans ce contexte qu'Ali Bey, qui commentait la réactivation, 14 années après, du Conseil national consultatif de promotion des exportations, s'est félicité de ce "pas important" dans la voie de la relance et du développement de cette activité. S'exprimant, jeudi, à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, l'intervenant n'en considère pas moins que beaucoup de temps a été perdu. Mais cette structure demeure, dont le décret d'installation, date du 12 juin 2004, mérite de jouer un rôle plus efficace. Selon l'invité de la radio l'Algérie a le dos au mur, parce que croire à uneremontée des prix des hydrocarbures "c'est exclu", d'autant que "nous avons une balancedes paiements déficitaire et desréserves monétaires qui fondent de plus enplus". Revenant à "l'outil de pilotage" quereprésente le Conseil de promotion des exportations relevant du Premier ministre, il explique qu'il est chargé de définir la stratégie du pays et d'évaluer et de mettrenen oeuvre les propositions émanant "de toutes les parties". Commentant le niveau "minime" des exportations hors hydrocarbures, (environ 2 milliards de dollars pour 2017, contre les 3 milliards escomptés) M. Ali Bey l'impute à une "absence de vision". Pour lui, il s'agit, aujourd'hui, de sérier et d'organiser les filières d'exportation, mais également de ramener l'investissementqui leur est consacré.Pour commencer à donner corps à une"industrie de l'exportation" il préconise deprofiter des expériences de pays tiers et d'aller "vers une stratégie d'action, et non seulement se contenter de communications".