Le ministre du Travail, Mourad Zemali, a annoncé que les pensions de retraite seront revalorisées jusqu'à un seuil de 5 % pour celles de moins de 20.000 DA. La décision a été prise par le président de la République pour assurer une pension convenable pour les bas salaires Le ministre du Travail, Mourad Zemali, a annoncé que les pensions de retraite seront revalorisées jusqu'à un seuil de 5 % pour celles de moins de 20.000 DA. La décision a été prise par le président de la République pour assurer une pension convenable pour les bas salaires Le ministre vient de révéler que les pensions seront revalorisées selon le niveau des salaires. Ainsi pour ceuxdont la fourchette est comprise entre 20.000et 40.000 DA, le taux est de 2,5 % alors queceux dont les salaires sont entre 40.000 et60.000, ils obtiennent un taux de 1,5 % etle reste dont les rémunérations sont entre60.000 DA à 80.000 DA, ils ne peuventbénéficier que de 0,5 %. A la lumière de ceschiffres, l'Etat a tenu à majorer le seuil despensions pour les bas revenus après avoirlongtemps gardé le seuil de 2 % durant lesannées précédentes. Cette fois, une enveloppede 22 milliards de dinars leur estconsacrée suite à la décision prise par le chefde l'Etat. Il faut rappeler que le débat qui a fait rage sur la pension de retraite durant lesmois précédents, avait alimenté la chroniquesur une éventuelle baisse du taux d'augmentationdes 80 % des basses retraites. Les dernierschiffres retiennent ainsi 1,8 million depensions directes et 3 millions de retraitéstoutes catégories confondues. La CNR, quitient surtout à préserver ses équilibres financiers,s'est plainte auprès des autorités du"trou financier" de 500 milliards de dinarscausé par les départs à la retraite anticipée. Une incidence financière qui devait être supportéepar la Caisse des retraites mais qui aété compensée par un apport supplémentairedu Trésor public pour éviter toute crise depaiement. Pour les niveaux les plus bas deretraites, il fallait redresser la situation deces ménages qui n'arrivaient pas à joindreles deux bouts. Si leur ratio reste des plus faibles, cela s'explique par les faibles rémunérations qu'ils percevaient durant leurs activités, poussant même certains à se placer de nouveau dans le marché de l'emploi. Aujourd'hui, on évoque de plus en plus une réforme du système de retraite à travers la mise au point de tout un programme leconcernant. Aussi indique-t-on au niveau du ministère du Travail que "le système actuelde retraite sera pérenne mais il faudra travaillersur l'élargissement de la base des cotisations de la sécurité sociale". A ce niveau, c'est la Cnas qui est la plus concernée par une nouvelle démarche qui consisterait à créer plus d'emplois et donc plus de cotisants. Avec l'entrée en vigueur de la loi sur la mutualisation, les cotisations de 20 % des travailleurs sont une bouffée d'oxygène pour les millions de salariés qui auront plus tard l'avantage de percevoir une retraite à 100 %. Le ministre vient de révéler que les pensions seront revalorisées selon le niveau des salaires. Ainsi pour ceuxdont la fourchette est comprise entre 20.000et 40.000 DA, le taux est de 2,5 % alors queceux dont les salaires sont entre 40.000 et60.000, ils obtiennent un taux de 1,5 % etle reste dont les rémunérations sont entre60.000 DA à 80.000 DA, ils ne peuventbénéficier que de 0,5 %. A la lumière de ceschiffres, l'Etat a tenu à majorer le seuil despensions pour les bas revenus après avoirlongtemps gardé le seuil de 2 % durant lesannées précédentes. Cette fois, une enveloppede 22 milliards de dinars leur estconsacrée suite à la décision prise par le chefde l'Etat. Il faut rappeler que le débat qui a fait rage sur la pension de retraite durant lesmois précédents, avait alimenté la chroniquesur une éventuelle baisse du taux d'augmentationdes 80 % des basses retraites. Les dernierschiffres retiennent ainsi 1,8 million depensions directes et 3 millions de retraitéstoutes catégories confondues. La CNR, quitient surtout à préserver ses équilibres financiers,s'est plainte auprès des autorités du"trou financier" de 500 milliards de dinarscausé par les départs à la retraite anticipée. Une incidence financière qui devait être supportéepar la Caisse des retraites mais qui aété compensée par un apport supplémentairedu Trésor public pour éviter toute crise depaiement. Pour les niveaux les plus bas deretraites, il fallait redresser la situation deces ménages qui n'arrivaient pas à joindreles deux bouts. Si leur ratio reste des plus faibles, cela s'explique par les faibles rémunérations qu'ils percevaient durant leurs activités, poussant même certains à se placer de nouveau dans le marché de l'emploi. Aujourd'hui, on évoque de plus en plus une réforme du système de retraite à travers la mise au point de tout un programme leconcernant. Aussi indique-t-on au niveau du ministère du Travail que "le système actuelde retraite sera pérenne mais il faudra travaillersur l'élargissement de la base des cotisations de la sécurité sociale". A ce niveau, c'est la Cnas qui est la plus concernée par une nouvelle démarche qui consisterait à créer plus d'emplois et donc plus de cotisants. Avec l'entrée en vigueur de la loi sur la mutualisation, les cotisations de 20 % des travailleurs sont une bouffée d'oxygène pour les millions de salariés qui auront plus tard l'avantage de percevoir une retraite à 100 %.