L'opposition compte relancer les initiatives en vue de parvenir à ce qu'elle appelle une "solution" à la crise politique et multidimensionnelle que traversr le pays. L'opposition compte relancer les initiatives en vue de parvenir à ce qu'elle appelle une "solution" à la crise politique et multidimensionnelle que traversr le pays. Deux partis politiques, et non des moindres, viennent, en effet, de faire part de leurs intentions d'oeuvrer enfaveur de la concrétisation d'un consensusnational. Il s'agit du Front des forcessocialistes (FFS) et du mouvement de lasociété pour la paix (MSP). En vérité lesdeux partis ne font que remettre au goût dujour leurs propositions puisqu'elles sontloin d'être de nouvelles initiatives. Ainsile FFS revient à la charge quant à son initiativerelative à la construction d'unconsensus national. Quelque peu mise auplacard ces derniers temps à cause certainementdes luttes intestines ayant secoué leplus vieux parti de l'opposition avant ledernier congrès extraordinaire, la propositionde construction d'un consensus nationalretrouve, de nouveau, une place centraledans le discours de la direction politique.C'est l'instance présidentielle, laplus haute instance du pari, qui a donné leton. "le FFS se réjouit de la convergencedes analyses de nos partenaires qui considèrentcomme nous que le consensus est lasolution" note le communiqué de cetteinstance rendu public ces derniers jours. Un communiqué qui a rappelé que cetteinitiative a été proposée en 2014 et ceconformément aux résolutions du congrèsde 2013. "Avant ou après la prochaineélection présidentielle, seul le rassemblementdes énergies que le projet de reconstructiond'un consensus national et populairevise à promouvoir, permettra d'affrontervictorieusement les enjeux et les défis de ce nouveau siècle" indique en outrel'instance présidentielle laquelle n'explique pas, toutefois, comment le parti compte s'y prendre pour convaincre tous les partenaires politiques, y compris donc et surtout le pouvoir, pour aller vers un consensus national. Pour rappel le FFS avait entamé de vastes consultations avecla classe politique et les organisations de la société civile après l'annonce de son initiative en 2014. Une initiative qui n'a pas trouvé un écho favorable puisque ni le pouvoir ni même les partis de l'opposition ne l'ont agréée. Des partis influents de l'opposition, à l'exemple du MSP et du RCD, étaient, à l'époque, engagés dans l,Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD) et ont estimé que l'offre du FFS visait à parasiter leur démarche. C'est presque dans le même sens qu'abonde la nouvelle offre politique du MSP. Ce dernier vient d'appeler, en effet, à l'impératif de parvenir à "un consensus national pour la gestion de la prochaine étape, en cherchant sérieusement des alternatives économiques dans différents domaines". Le conseil consultatif du parti a mis en avant "l'impératif de parvenir à un consensus national pour la gestion de la prochaine étape". L'instance dirigeanten'a livré aucun détail sur cettedémarche mais le président du Mouvement nouvellement réélu, Abderazak Makri, aannoncé son intention d'initier des consultations avec la classe politique sur cette initiative. Ces deux initiatives interviennent dans un contexe politique marqué par le début des grandes manoeuvres autour desenjeux de prochaines élections pour la présidentielle de 2019. Deux partis politiques, et non des moindres, viennent, en effet, de faire part de leurs intentions d'oeuvrer enfaveur de la concrétisation d'un consensusnational. Il s'agit du Front des forcessocialistes (FFS) et du mouvement de lasociété pour la paix (MSP). En vérité lesdeux partis ne font que remettre au goût dujour leurs propositions puisqu'elles sontloin d'être de nouvelles initiatives. Ainsile FFS revient à la charge quant à son initiativerelative à la construction d'unconsensus national. Quelque peu mise auplacard ces derniers temps à cause certainementdes luttes intestines ayant secoué leplus vieux parti de l'opposition avant ledernier congrès extraordinaire, la propositionde construction d'un consensus nationalretrouve, de nouveau, une place centraledans le discours de la direction politique.C'est l'instance présidentielle, laplus haute instance du pari, qui a donné leton. "le FFS se réjouit de la convergencedes analyses de nos partenaires qui considèrentcomme nous que le consensus est lasolution" note le communiqué de cetteinstance rendu public ces derniers jours. Un communiqué qui a rappelé que cetteinitiative a été proposée en 2014 et ceconformément aux résolutions du congrèsde 2013. "Avant ou après la prochaineélection présidentielle, seul le rassemblementdes énergies que le projet de reconstructiond'un consensus national et populairevise à promouvoir, permettra d'affrontervictorieusement les enjeux et les défis de ce nouveau siècle" indique en outrel'instance présidentielle laquelle n'explique pas, toutefois, comment le parti compte s'y prendre pour convaincre tous les partenaires politiques, y compris donc et surtout le pouvoir, pour aller vers un consensus national. Pour rappel le FFS avait entamé de vastes consultations avecla classe politique et les organisations de la société civile après l'annonce de son initiative en 2014. Une initiative qui n'a pas trouvé un écho favorable puisque ni le pouvoir ni même les partis de l'opposition ne l'ont agréée. Des partis influents de l'opposition, à l'exemple du MSP et du RCD, étaient, à l'époque, engagés dans l,Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD) et ont estimé que l'offre du FFS visait à parasiter leur démarche. C'est presque dans le même sens qu'abonde la nouvelle offre politique du MSP. Ce dernier vient d'appeler, en effet, à l'impératif de parvenir à "un consensus national pour la gestion de la prochaine étape, en cherchant sérieusement des alternatives économiques dans différents domaines". Le conseil consultatif du parti a mis en avant "l'impératif de parvenir à un consensus national pour la gestion de la prochaine étape". L'instance dirigeanten'a livré aucun détail sur cettedémarche mais le président du Mouvement nouvellement réélu, Abderazak Makri, aannoncé son intention d'initier des consultations avec la classe politique sur cette initiative. Ces deux initiatives interviennent dans un contexe politique marqué par le début des grandes manoeuvres autour desenjeux de prochaines élections pour la présidentielle de 2019.