Les ingénieurs et techniciens de la maintenance des avions d'Air Algérie seront en grève à partir du 31 juillet, selon un communiqué du Syndicatnational des techniciens de la maintenance avions (SNTMA) qui aannoncé avoir déposé hier un préavisde grève. Les ingénieurs et techniciens de la maintenance des avions d'Air Algérie seront en grève à partir du 31 juillet, selon un communiqué du Syndicatnational des techniciens de la maintenance avions (SNTMA) qui aannoncé avoir déposé hier un préavisde grève. "Un préavis de grève a été déposé, le 09 juillet 2018, auprès de la directiongénérale d'Air Algérie et l'Inspectiondu travail de la wilaya d'Alger. Cepréavis prendra effet à partir du 31juillet 2018 à 7h du matin jusqu'à aboutissement de nos revendications",a indiqué le SNTMA dans soncommuniqué.La grève des ingénieurs et techniciensde la maintenance d'Air Algérierisque de perturber fortement les vols de la compagnie mais le SNTMA a proposé "un service minimum qui consistera à assurer une partie des vols réguliers". Le service minimum devra "privilégier les vols à destination des LieuxSaints (Hadj 2018) même s'il dépasse les 30 % exigées par la loi et à la condition que la direction générale accepte cette proposition",selon le syndicat. "Suite à des rumeurs non fondées et mensongères visant à déstabiliser notre corporation, le SNTMA tient à préciser, une fois de plus, qu'il ne s'est jamais et ne s'opposera aucunement à une quelconque augmentation salariale touchant tout le personnel d'Air Algérie", conclut lecommuniqué du SNTMA. Lesingénieurs et techniciens du SNTMA revendiquent notamment "le retour à une justice salariale en accord avec la hiérarchisation des métiers et des salaires, dictée par la convention collectived'Air Algérie", selon un communiqué du syndicat daté du début juillet. La situation des mécaniciens et ingénieurs recrutés sous contrats à durée déterminée est une autre préoccupation du SNTMA pour qui ce recrutement en CDD est "en violation des lois de la République et de lacompagnie". La décision d'entamer une grève illimitée prise par le SNTMA est également motivée par sa volonté de dénoncer "la situation de marasme dans laquelle vit le personnel de la maintenance avions ainsi que la pression qu'il subit quotidiennement, des sanctions abusives et des ponctions de salaire non justifiées". "Un préavis de grève a été déposé, le 09 juillet 2018, auprès de la directiongénérale d'Air Algérie et l'Inspectiondu travail de la wilaya d'Alger. Cepréavis prendra effet à partir du 31juillet 2018 à 7h du matin jusqu'à aboutissement de nos revendications",a indiqué le SNTMA dans soncommuniqué.La grève des ingénieurs et techniciensde la maintenance d'Air Algérierisque de perturber fortement les vols de la compagnie mais le SNTMA a proposé "un service minimum qui consistera à assurer une partie des vols réguliers". Le service minimum devra "privilégier les vols à destination des LieuxSaints (Hadj 2018) même s'il dépasse les 30 % exigées par la loi et à la condition que la direction générale accepte cette proposition",selon le syndicat. "Suite à des rumeurs non fondées et mensongères visant à déstabiliser notre corporation, le SNTMA tient à préciser, une fois de plus, qu'il ne s'est jamais et ne s'opposera aucunement à une quelconque augmentation salariale touchant tout le personnel d'Air Algérie", conclut lecommuniqué du SNTMA. Lesingénieurs et techniciens du SNTMA revendiquent notamment "le retour à une justice salariale en accord avec la hiérarchisation des métiers et des salaires, dictée par la convention collectived'Air Algérie", selon un communiqué du syndicat daté du début juillet. La situation des mécaniciens et ingénieurs recrutés sous contrats à durée déterminée est une autre préoccupation du SNTMA pour qui ce recrutement en CDD est "en violation des lois de la République et de lacompagnie". La décision d'entamer une grève illimitée prise par le SNTMA est également motivée par sa volonté de dénoncer "la situation de marasme dans laquelle vit le personnel de la maintenance avions ainsi que la pression qu'il subit quotidiennement, des sanctions abusives et des ponctions de salaire non justifiées".