Le plus vieux parti d'opposition s'enfonce chaque jour davantage dans sa crise interne.En effet la lutte intestine au sein du FFSdéborde à l'extérieur des structures puisque, désormais, elle est étalée au grand jour dans les médias et les réseaux sociaux comme l'attestesibien le dernier épisode de ce feuilleton qui n'est pas prêt de connaître une fin de sitôt. Le plus vieux parti d'opposition s'enfonce chaque jour davantage dans sa crise interne.En effet la lutte intestine au sein du FFSdéborde à l'extérieur des structures puisque, désormais, elle est étalée au grand jour dans les médias et les réseaux sociaux comme l'attestesibien le dernier épisode de ce feuilleton qui n'est pas prêt de connaître une fin de sitôt. La suspension de toute activité partisane d'unhaut cadre du parti, Chaffa Bouaicheen l'occurrence, est révélatrice de cette exacerbation de la lutte fratricide qui oppose les deux clans qui se disputent le leadership au sein du FFS.Membre du secrétariat national et qui a assumé de longues années durant lafonction de chef de groupe parlementaire àl'APN, n'estplus en odeur de sainteté. Affilié au groupe qui a perdu la bataille lors du dernier congrès extraordinaire Bouaiche, très actif sur les réseaux sociaux ou il n'hésite pas parfois à épingler le camp de l'homme fort, AliLaski, risque même d'être définitivement radié du parti. Ilera certainement traduit devant la commission de discipline. Mais ladirection du parti reste muette sur cette questionde la suspension de ce député. Le secrétariat national et l'instance présidentiellen'ont, en effet, rien communiqué sur cettequestion. Les observateurs sont uniquement suspendus à ce que publie Chaffa Bouaiche sur sa page facebook. Ce dernier, dès qu'il a su qu'il a été suspendu de toute activité, bien qu'il n'ait rien dévoilé, s'est empressé d'écrire sur son mur facebook qu'il est "un militant". "Quand on décide de militer demanière organisée dans le cadre d'un système bloqué par la dictature de la médiocrité, la corruption, l'Etat de non-droit et la prime à l'allégeanceon prend forcément des risques. On se condamne à être la cible tantôt des nervis du système et tantôt des apparatchiks sansenvergure qui en prolongent les nuisances. Mais être un vrai militant c'est savoir le rester en toutes circonstances" a-t-il écrit, en guise decommentaire. Pour lui "le FFS, son Histoire, ses principes, ses idéaux et ses militants sont plus grands que tous les appareils de répression, d'où qu'ils viennent". Il a eu le soutien du fils du défunt chef charismatiquedu FFS. Jughurta Aït Ahmed, lui a adressé un message dans lequel il n'a pas manqué d'adresser des critiques ouvertes à la nouvelle direction du parti. "Tu n'as rien à te reprocher bien au contraire. Ta parole responsableet libre est incompatible avec laculture ducaporalisme et du - centralismedémocratique - en marche sous nos yeux ébahis" lui a-t-il écrit, en effet. Le fils du défuntAït Ahmed prend ainsi la défense de ce députéet se positionne, une fois encore, dans lecamp opposé à la nouvelle direction. Un camp qui a dirigé les affaires du parti durant delongues années, avant qu'il ne soit battulors du dernier congrès extraordinaire qui s'est tenue à l'issue de la démission d'AliLaskri de l'instance présidentielle. Apparemment les nouveaux maîtres du FFS sont en train d'utiliser la même méthode que leurs prédécesseurs pour réduire au silence leurs détracteurs : l'exclusion et la suspension. Des armes fatales qui ont par le passé contribuerà vider ce parti de nombreuxcadres de valeur. Et cette nouvelle inclinaison n'est pas prête de s'estomper. Ce quirisque de provoquer de nouvelles graves secousses au sein de ce parti de plus en plusmenacé par l'implosion. La suspension de toute activité partisane d'unhaut cadre du parti, Chaffa Bouaicheen l'occurrence, est révélatrice de cette exacerbation de la lutte fratricide qui oppose les deux clans qui se disputent le leadership au sein du FFS.Membre du secrétariat national et qui a assumé de longues années durant lafonction de chef de groupe parlementaire àl'APN, n'estplus en odeur de sainteté. Affilié au groupe qui a perdu la bataille lors du dernier congrès extraordinaire Bouaiche, très actif sur les réseaux sociaux ou il n'hésite pas parfois à épingler le camp de l'homme fort, AliLaski, risque même d'être définitivement radié du parti. Ilera certainement traduit devant la commission de discipline. Mais ladirection du parti reste muette sur cette questionde la suspension de ce député. Le secrétariat national et l'instance présidentiellen'ont, en effet, rien communiqué sur cettequestion. Les observateurs sont uniquement suspendus à ce que publie Chaffa Bouaiche sur sa page facebook. Ce dernier, dès qu'il a su qu'il a été suspendu de toute activité, bien qu'il n'ait rien dévoilé, s'est empressé d'écrire sur son mur facebook qu'il est "un militant". "Quand on décide de militer demanière organisée dans le cadre d'un système bloqué par la dictature de la médiocrité, la corruption, l'Etat de non-droit et la prime à l'allégeanceon prend forcément des risques. On se condamne à être la cible tantôt des nervis du système et tantôt des apparatchiks sansenvergure qui en prolongent les nuisances. Mais être un vrai militant c'est savoir le rester en toutes circonstances" a-t-il écrit, en guise decommentaire. Pour lui "le FFS, son Histoire, ses principes, ses idéaux et ses militants sont plus grands que tous les appareils de répression, d'où qu'ils viennent". Il a eu le soutien du fils du défunt chef charismatiquedu FFS. Jughurta Aït Ahmed, lui a adressé un message dans lequel il n'a pas manqué d'adresser des critiques ouvertes à la nouvelle direction du parti. "Tu n'as rien à te reprocher bien au contraire. Ta parole responsableet libre est incompatible avec laculture ducaporalisme et du - centralismedémocratique - en marche sous nos yeux ébahis" lui a-t-il écrit, en effet. Le fils du défuntAït Ahmed prend ainsi la défense de ce députéet se positionne, une fois encore, dans lecamp opposé à la nouvelle direction. Un camp qui a dirigé les affaires du parti durant delongues années, avant qu'il ne soit battulors du dernier congrès extraordinaire qui s'est tenue à l'issue de la démission d'AliLaskri de l'instance présidentielle. Apparemment les nouveaux maîtres du FFS sont en train d'utiliser la même méthode que leurs prédécesseurs pour réduire au silence leurs détracteurs : l'exclusion et la suspension. Des armes fatales qui ont par le passé contribuerà vider ce parti de nombreuxcadres de valeur. Et cette nouvelle inclinaison n'est pas prête de s'estomper. Ce quirisque de provoquer de nouvelles graves secousses au sein de ce parti de plus en plusmenacé par l'implosion.