Samedi 11 août, c'est l'hilarant député Tahar Missoum, plus connu sous le sobriquet "Spécifique", qui annonce sa décision de se lancer dans la bataille de la prochaine présidentielle, lui qui a déjà perdu celle des dernières législatives. Samedi 11 août, c'est l'hilarant député Tahar Missoum, plus connu sous le sobriquet "Spécifique", qui annonce sa décision de se lancer dans la bataille de la prochaine présidentielle, lui qui a déjà perdu celle des dernières législatives. Tous les regards sont d'ores et déjà braqués sur la prochaine élection présidentielle. D'ailleurs nombre decandidats se sont déjà déclarés partants dans cette course à la plus haute marche du pouvoir.Les candidats potentiels se mettent enordre de bataille. Alors que le projet du 5emandatprend une tournure sérieuse, des personnalités,indépendantes, de l'oppositionou de partisplutôt proches du pouvoir,se déclarent candidates ou en voie del'être à cette élection qui s'annonce aussi verrouillée que les précédentes. Ce samedi 11 août, c'est l'hilarant députéTahar Missoum, plus connusous le sobriquet"Spécifique", qui annonce sa décisionde se lancer dans la bataille de la prochaineprésidentielle, lui qui a déjà perdu celle des dernières législatives. Tahar Missoum, qui connaît bien le pouvoir pour en avoir subi ses foudres, ne doute assurément pas qu'ilsera un lièvre parmi d'autres. Mais l'objectif de cet ex-député ne semble pas celui de conquérir la présidence de la Républiquemais plutôt de reconquérir la scène médiatique, qu'il a totalement perdue depuis qu'il ne siège plus à l'hémicycle Zighout- Youcef.Lièvre comme lui, il y en a d'autres pour cette présidentielle d'avril 2019. Nacer Boudiaf, fils du défunt Président de la république Mohamed Boudiaf. Sans parti, Nacer Boudiaf, qui veut visiblement capitaliserla sympathie et le respectqu'avaient de nombreux Algériens pour son père, décide de se porter candidat en tant qu'indépendant. Il assure être conscient des embûches qu'il trouvera surson chemin. Mais Nacer Boudiaf ne baisseraassurément pas les bras. Il se battra comme d'autres "lièvres". Il n'est pas le seul à être dans cette position. Volontairement ou non, Fethi Gheras, candidat investi par son parti le Mouvement démocratique et social (MDS)entame déjà sa précampagne présidentielle. Son objectifprincipal semble plutôt defaire connaître le projet de société de son parti. Mais cela ne l'empêchera pas d'être un lièvre decette présidentielle, si son dossier de candidature est accepté.De son côté, Ali Benflis, président du partide Talaie El Houriyet, annonce être candidat à la présidentielle de 2019. Si le projet du 5e mandat se concrétise, Ali Benflis aura donc à affronter le président Bouteflika pour la troisième fois, lui qui a été candidat à la magistrature suprême en 2004 et 2014. D'autres "lièvres" se profilent à l'horizon. Abdelaziz Belaïd du Front El Moustakbel, Fawzi Rebaïne de Ahd 54, Abdallah Djaballah d'El Adala, Filali Ghouini du parti El Islah, Louisa Hanoune du Partides Travailleurs etSaïd Sadi en tant qu'indépendantdevraient annoncer leur intention d'aller à la conquête de la présidencede la République à la rentrée sociale.Dans cette échéance électorale fermée, où rien ne sera laissé au hasard, il n'y a pas de place à la compétition saine. Et ces candidats, annoncés ou en attente, le saventbien. Ils savent que le jeu est biaisé et que les dés sont pipés.Ce qui les différencie,c'est ce qui les pousse à se lancer dans cette joute électorale en endossant le rôle de "lièvres". Tous les regards sont d'ores et déjà braqués sur la prochaine élection présidentielle. D'ailleurs nombre decandidats se sont déjà déclarés partants dans cette course à la plus haute marche du pouvoir.Les candidats potentiels se mettent enordre de bataille. Alors que le projet du 5emandatprend une tournure sérieuse, des personnalités,indépendantes, de l'oppositionou de partisplutôt proches du pouvoir,se déclarent candidates ou en voie del'être à cette élection qui s'annonce aussi verrouillée que les précédentes. Ce samedi 11 août, c'est l'hilarant députéTahar Missoum, plus connusous le sobriquet"Spécifique", qui annonce sa décisionde se lancer dans la bataille de la prochaineprésidentielle, lui qui a déjà perdu celle des dernières législatives. Tahar Missoum, qui connaît bien le pouvoir pour en avoir subi ses foudres, ne doute assurément pas qu'ilsera un lièvre parmi d'autres. Mais l'objectif de cet ex-député ne semble pas celui de conquérir la présidence de la Républiquemais plutôt de reconquérir la scène médiatique, qu'il a totalement perdue depuis qu'il ne siège plus à l'hémicycle Zighout- Youcef.Lièvre comme lui, il y en a d'autres pour cette présidentielle d'avril 2019. Nacer Boudiaf, fils du défunt Président de la république Mohamed Boudiaf. Sans parti, Nacer Boudiaf, qui veut visiblement capitaliserla sympathie et le respectqu'avaient de nombreux Algériens pour son père, décide de se porter candidat en tant qu'indépendant. Il assure être conscient des embûches qu'il trouvera surson chemin. Mais Nacer Boudiaf ne baisseraassurément pas les bras. Il se battra comme d'autres "lièvres". Il n'est pas le seul à être dans cette position. Volontairement ou non, Fethi Gheras, candidat investi par son parti le Mouvement démocratique et social (MDS)entame déjà sa précampagne présidentielle. Son objectifprincipal semble plutôt defaire connaître le projet de société de son parti. Mais cela ne l'empêchera pas d'être un lièvre decette présidentielle, si son dossier de candidature est accepté.De son côté, Ali Benflis, président du partide Talaie El Houriyet, annonce être candidat à la présidentielle de 2019. Si le projet du 5e mandat se concrétise, Ali Benflis aura donc à affronter le président Bouteflika pour la troisième fois, lui qui a été candidat à la magistrature suprême en 2004 et 2014. D'autres "lièvres" se profilent à l'horizon. Abdelaziz Belaïd du Front El Moustakbel, Fawzi Rebaïne de Ahd 54, Abdallah Djaballah d'El Adala, Filali Ghouini du parti El Islah, Louisa Hanoune du Partides Travailleurs etSaïd Sadi en tant qu'indépendantdevraient annoncer leur intention d'aller à la conquête de la présidencede la République à la rentrée sociale.Dans cette échéance électorale fermée, où rien ne sera laissé au hasard, il n'y a pas de place à la compétition saine. Et ces candidats, annoncés ou en attente, le saventbien. Ils savent que le jeu est biaisé et que les dés sont pipés.Ce qui les différencie,c'est ce qui les pousse à se lancer dans cette joute électorale en endossant le rôle de "lièvres".