Plus de 300 cas de contamination par le kystehydatique, souvent causéepar les animaux, notammentles chiens qui consommentles abats contaminés, sontenregistrés chaque année par le ministère de la santé. Plus de 300 cas de contamination par le kystehydatique, souvent causéepar les animaux, notammentles chiens qui consommentles abats contaminés, sontenregistrés chaque année par le ministère de la santé. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière,a mis en garde, lundi à Alger,contre les risques de contamination par lekyste hydatique lors du sacrifice du mouton.Intervenant lors d'une journée d'informationet de sensibilisation aux risques decontamination par le kyste hydatique, le sous-directeur de la prévention au ministèrede la Santé, Youcef Tarfani, a mis l'accentsur l'importance d'examiner avec précautionle mouton sacrifié, afin d'éviterune éventuelle contamination par le kystehydatique, notamment pour les famillesqui procèdent au rituel du sacrifice, en dehors des abattoirs communaux et sans consulter un médecin vétérinaire. Le kyste hydatique est une dangereusemaladie parasitaire, transmissible par les animaux, tout comme la Leishmaniose, la brucellose et la rage, et caractérisée par le développement chez l'Homme, le plus souvent au niveau du foie ou du poumon, de la forme larvaire d'un ver appelé taeniaou echinococcus granulosus. Plus de 300 cas decontamination par le kyste hydatique,souvent causée par les animaux,notamment les chiens qui consomment les abats contaminés, sont enregistrés chaque année par le ministère de la santé. De soncôté, le docteur Mustapha Mebarki, médecin vétérinaire à la direction de l'agricultured'Alger, a mis en avant l'importancede "faire appel auxservices vétérinaires en cas de contamination des viscères et abats du mouton de l'Aïd, mettant en garde contre leur consommation notamment le foie et les poumons". Il a appelé par ailleurs à se mette à l'écart des animaux domestiques (chatset chiens) et procéder à leur vaccination, s'il estnécessaire, pour éviter la transmission des parasites du kyste hydatique versl'Homme, sans oublier de se laver les mains à chaque contact avec ces animaux.Au sujet du kyste hydatique qui compte les maladies dangereuses devant être signalées, le chef duservice de chirurgie à l'établissement hospitalier public Djilali-Rahmouni à Alger, le professeur Zoheir,Belkaid, a estimé que les cas déclarés annuellement "ne reflètent pas la réalité dela propagation de cette maladie", soulignantque le kyste hydatique touche le foie (70 %) puis les poumons (entre 25 et 40 %) et à un taux moindre le reste des organes à savoir : le coeur, les reins, le cerveau, la colonne vertébrale et la thyroïde. Parailleurs, le docteur Kamel Aït Oubelli,épidémiologiste à l'Institut national de la santé publique, a appelé à l'impératifd'"organiser des campagnes de sensibilisation, tout au long de l'année et non pasuniquement à l'approche de l'Aïd el-Adha",rappelant que la mission de prévention contre les risques du kystehydatique"incombe à tous les secteurs concernés,avec l'association de la société civile et des médias". Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière,a mis en garde, lundi à Alger,contre les risques de contamination par lekyste hydatique lors du sacrifice du mouton.Intervenant lors d'une journée d'informationet de sensibilisation aux risques decontamination par le kyste hydatique, le sous-directeur de la prévention au ministèrede la Santé, Youcef Tarfani, a mis l'accentsur l'importance d'examiner avec précautionle mouton sacrifié, afin d'éviterune éventuelle contamination par le kystehydatique, notamment pour les famillesqui procèdent au rituel du sacrifice, en dehors des abattoirs communaux et sans consulter un médecin vétérinaire. Le kyste hydatique est une dangereusemaladie parasitaire, transmissible par les animaux, tout comme la Leishmaniose, la brucellose et la rage, et caractérisée par le développement chez l'Homme, le plus souvent au niveau du foie ou du poumon, de la forme larvaire d'un ver appelé taeniaou echinococcus granulosus. Plus de 300 cas decontamination par le kyste hydatique,souvent causée par les animaux,notamment les chiens qui consomment les abats contaminés, sont enregistrés chaque année par le ministère de la santé. De soncôté, le docteur Mustapha Mebarki, médecin vétérinaire à la direction de l'agricultured'Alger, a mis en avant l'importancede "faire appel auxservices vétérinaires en cas de contamination des viscères et abats du mouton de l'Aïd, mettant en garde contre leur consommation notamment le foie et les poumons". Il a appelé par ailleurs à se mette à l'écart des animaux domestiques (chatset chiens) et procéder à leur vaccination, s'il estnécessaire, pour éviter la transmission des parasites du kyste hydatique versl'Homme, sans oublier de se laver les mains à chaque contact avec ces animaux.Au sujet du kyste hydatique qui compte les maladies dangereuses devant être signalées, le chef duservice de chirurgie à l'établissement hospitalier public Djilali-Rahmouni à Alger, le professeur Zoheir,Belkaid, a estimé que les cas déclarés annuellement "ne reflètent pas la réalité dela propagation de cette maladie", soulignantque le kyste hydatique touche le foie (70 %) puis les poumons (entre 25 et 40 %) et à un taux moindre le reste des organes à savoir : le coeur, les reins, le cerveau, la colonne vertébrale et la thyroïde. Parailleurs, le docteur Kamel Aït Oubelli,épidémiologiste à l'Institut national de la santé publique, a appelé à l'impératifd'"organiser des campagnes de sensibilisation, tout au long de l'année et non pasuniquement à l'approche de l'Aïd el-Adha",rappelant que la mission de prévention contre les risques du kystehydatique"incombe à tous les secteurs concernés,avec l'association de la société civile et des médias".