Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a affirmé, jeudi à Alger, quele réalisateur du film biographique surle martyr Larbi Ben M'hidi a répondu aux observations de la commission delecture et que "toutes les réservesseront levées incessamment". Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a affirmé, jeudi à Alger, quele réalisateur du film biographique surle martyr Larbi Ben M'hidi a répondu aux observations de la commission delecture et que "toutes les réservesseront levées incessamment". La commission chargée de la lecturedu scénario s'est réunie mercredi avecle réalisateur du film, Bachir Derrais pour lui demander de "corriger certaineserreurs contenues dans son travail",a déclaré le ministre à la presse,en marge d'une plénière de l'Assemblée populaire nationale(APN) consacrée aux questions orales.Il a ajouté que "le réalisateur a comprisles réserves exprimées et arépondu favorablement aux observationsdes membres de la commission",faisant savoir que "ces réservesseront levées incessamment" pourprocéder, par la suite, à la projectiondu film "qui n'a jamais été interditcomme rapporté par certains médias". Rappelant que le scénario avait étésoumis, avant le début du tournage, à la commission de lecture qui l'avaitvalidé, le ministre a indiqué que la condition était d'en respecter le contenueet le contrat conclu entre le réalisateuret le Centre national des études et des recherches sur le mouvementnational et la Révolution du 1er Novembre 1954. Après le visionnage du film, la commissiona noté des"observations,réserves et inexactitudes" et a demandéau réalisateur de les rectifier et n'a pas interdit la projection du film, a encore indiqué le ministre, soulignantl'importance de l'écriture de Histoire "dans le sens de l'unification du peuple algérien". "Ceux qui ont mené la Révolution ne sont ni des prophètes ni des angesmais nous ne devons pas les stigmatiser", a déclaré M. Zitouni, affirmantque "si le scénario validé par la commission delecture, composée de chercheurset d'historiens, avait été respecté, cette polémique n'aurait jamais eu lieu". La commission chargée de la lecturedu scénario s'est réunie mercredi avecle réalisateur du film, Bachir Derrais pour lui demander de "corriger certaineserreurs contenues dans son travail",a déclaré le ministre à la presse,en marge d'une plénière de l'Assemblée populaire nationale(APN) consacrée aux questions orales.Il a ajouté que "le réalisateur a comprisles réserves exprimées et arépondu favorablement aux observationsdes membres de la commission",faisant savoir que "ces réservesseront levées incessamment" pourprocéder, par la suite, à la projectiondu film "qui n'a jamais été interditcomme rapporté par certains médias". Rappelant que le scénario avait étésoumis, avant le début du tournage, à la commission de lecture qui l'avaitvalidé, le ministre a indiqué que la condition était d'en respecter le contenueet le contrat conclu entre le réalisateuret le Centre national des études et des recherches sur le mouvementnational et la Révolution du 1er Novembre 1954. Après le visionnage du film, la commissiona noté des"observations,réserves et inexactitudes" et a demandéau réalisateur de les rectifier et n'a pas interdit la projection du film, a encore indiqué le ministre, soulignantl'importance de l'écriture de Histoire "dans le sens de l'unification du peuple algérien". "Ceux qui ont mené la Révolution ne sont ni des prophètes ni des angesmais nous ne devons pas les stigmatiser", a déclaré M. Zitouni, affirmantque "si le scénario validé par la commission delecture, composée de chercheurset d'historiens, avait été respecté, cette polémique n'aurait jamais eu lieu".