A cinq mois des élections présidentielles, la scène politique nationale est en effervescence. Les partis politiques s'agitent dans tous les sens, et les regards des observateurs tendent à cruter le moindre signe émanant de la présidence de la République, pouvant confirmer ou infirmer les intentions du président Bouteflika vis-à-vis duprochain scrutin. A cinq mois des élections présidentielles, la scène politique nationale est en effervescence. Les partis politiques s'agitent dans tous les sens, et les regards des observateurs tendent à cruter le moindre signe émanant de la présidence de la République, pouvant confirmer ou infirmer les intentions du président Bouteflika vis-à-vis duprochain scrutin. Va-t-il briguer un 5e mandat ou renoncer à poursuivre sa mission à la têtede l'Etat ? Une situation intenablepour certaines forces politiques, comme c'est le cas du MSP qui vient, par la voix de son président, Abderazak Makri, dedemander le report du prochain rendez-vousélectoral. Pour Abderazak Makri, ce reportn'est souhaitable que dans le cas de l'échecde la classe politique, à s'entendre sur unesolution consensuelle, à la crise que traverse le pays. En somme, selon Makri quis'exprimait dans un post sur sa page facebook, l'initiative d'un consensus nationalest la meilleure des solutions. Il lance ainsiun appel, en direction "des gouvernants, des politiques et des sages" en leur demandantde faire preuve de "sagesse", pour favoriser le dialogue, afin d'éviter de pousser le paysvers l'aventure.Makri appelle donc au dialogue, et plaidepour le report des élections présidentielles si les forces politiques ne parviennent pas àun consensus. "Ne nous conduisez pas avec ces élections vers l'inconnu", a-t-il notamment,mis en garde. Pour lui donc, l'alternative,la meilleure, serait la réalisationd'un consensus national pour sortir du cerclede cette crise qui prévaut dans le pays.Un consensus qui pourrait même débouchersur le choix d'un candidat consensuel entretoutes les forces politiques du pays. Il nel'a pas dit cette fois-ci dans son post mais,par le passé, cette hypothèse a été avancéeà plusieurs reprises par le président duMSP, qui a considéré que le candidat duconsensus serait même la quintessence duconsensus national. Mais, le chef de file duMSP semble très pessimiste puisque, dans ce même post, il a estimé que "jour aprèsjour, il se confirme que l'horizon vers les présidentielles de 2019 est fermé." Comme il a écarté d'un revers de la main, l'éventualité d'un 5e mandat pour le président Bouteflika, en rappelant l'avoir déjà affirmé l'été dernier . Il estime que "ni les partisans du régime ne sont capables de s'accorderentre eux sur un candidat unique, ni l'opposition n'est en mesure de prendre part à cette électorale, eu égard à l'opacité et l'absence de garanties". Car pour lui, "les luttes à l'intérieur du régime politique a totalement fermé la compétition pour 2019 et la scène politique pourrait être atteinte d'un grand mal, si la situation reste en l'état". Notons que ce post de Makri intervient juste après le messager du chef de l'Etat à l'adresse des walis, et dans lequel il a mis en garde contre les "aventuriers". président du MSP met à profit ce post, pour remettre au gout du jour, l'initiative politique de son mouvement, relative à la necessité d'un consensus national et d'un consensuel lors des prochainesélections présidentielles. Une initiative qui, pour rappel, n'a eu les faveurs ni des partis qui soutiennent e pourvoit, ni ceux de l'opposition. La seule nouveauté est que Makri lance aussi l'idée du report de l'élection présidentielle. Une proposition, qui ne risque pas de trouver un écho favorable, notamment auprès du pouvoir. Va-t-il briguer un 5e mandat ou renoncer à poursuivre sa mission à la têtede l'Etat ? Une situation intenablepour certaines forces politiques, comme c'est le cas du MSP qui vient, par la voix de son président, Abderazak Makri, dedemander le report du prochain rendez-vousélectoral. Pour Abderazak Makri, ce reportn'est souhaitable que dans le cas de l'échecde la classe politique, à s'entendre sur unesolution consensuelle, à la crise que traverse le pays. En somme, selon Makri quis'exprimait dans un post sur sa page facebook, l'initiative d'un consensus nationalest la meilleure des solutions. Il lance ainsiun appel, en direction "des gouvernants, des politiques et des sages" en leur demandantde faire preuve de "sagesse", pour favoriser le dialogue, afin d'éviter de pousser le paysvers l'aventure.Makri appelle donc au dialogue, et plaidepour le report des élections présidentielles si les forces politiques ne parviennent pas àun consensus. "Ne nous conduisez pas avec ces élections vers l'inconnu", a-t-il notamment,mis en garde. Pour lui donc, l'alternative,la meilleure, serait la réalisationd'un consensus national pour sortir du cerclede cette crise qui prévaut dans le pays.Un consensus qui pourrait même débouchersur le choix d'un candidat consensuel entretoutes les forces politiques du pays. Il nel'a pas dit cette fois-ci dans son post mais,par le passé, cette hypothèse a été avancéeà plusieurs reprises par le président duMSP, qui a considéré que le candidat duconsensus serait même la quintessence duconsensus national. Mais, le chef de file duMSP semble très pessimiste puisque, dans ce même post, il a estimé que "jour aprèsjour, il se confirme que l'horizon vers les présidentielles de 2019 est fermé." Comme il a écarté d'un revers de la main, l'éventualité d'un 5e mandat pour le président Bouteflika, en rappelant l'avoir déjà affirmé l'été dernier . Il estime que "ni les partisans du régime ne sont capables de s'accorderentre eux sur un candidat unique, ni l'opposition n'est en mesure de prendre part à cette électorale, eu égard à l'opacité et l'absence de garanties". Car pour lui, "les luttes à l'intérieur du régime politique a totalement fermé la compétition pour 2019 et la scène politique pourrait être atteinte d'un grand mal, si la situation reste en l'état". Notons que ce post de Makri intervient juste après le messager du chef de l'Etat à l'adresse des walis, et dans lequel il a mis en garde contre les "aventuriers". président du MSP met à profit ce post, pour remettre au gout du jour, l'initiative politique de son mouvement, relative à la necessité d'un consensus national et d'un consensuel lors des prochainesélections présidentielles. Une initiative qui, pour rappel, n'a eu les faveurs ni des partis qui soutiennent e pourvoit, ni ceux de l'opposition. La seule nouveauté est que Makri lance aussi l'idée du report de l'élection présidentielle. Une proposition, qui ne risque pas de trouver un écho favorable, notamment auprès du pouvoir.