Le groupe parlementaire des indépendants à l'APN rejointd'autres partis politiques quiont dit non à l'implication del'armée nationale populaire(ANP) dans le jeu politique Le groupe parlementaire des indépendants à l'APN rejointd'autres partis politiques quiont dit non à l'implication del'armée nationale populaire(ANP) dans le jeu politique Dans un communiqué rendu public hier et signé de la main de son premierresponsable, LamineOsmani, ce groupe parlementaire invite en effet la classe politique à hisser ledébat au niveau des enjeux et des défisauxquels fait face le pays dans cetteconjoncture difficile. Le communiquéinvite aussi la classe politique à "ne pasimpliquer l'Armée nationale populairedans le débat politique" et de saluer "sa mission constitutionnelle et de reconnaître ses sacrificesdans la défense du pays". Par cette position le groupe des indépendants à l'APN rejoint le camp des partis politiques qui ont abondé dans le mêmesens en réponse à l'initiative du MSP qui a invité l'ANP à garantir une transitionpolitique. Cette initiative du MSP, qui a notamment plaidé la nécessité d'unconsensus national pour sortir le pays de a crise multidimensionnelle dans laquelle il se débat a été rejeté par les partis partisans du président de laRépublique, Abdelaziz Bouteflika. Eneffet le FLN, le RND et Taj, pour ne citer que ces trois partis, ont d'emblée ditnon à l'initiative du MSP. Ce d'autant que l'initiative de ce dernier évoque ouvertement l'hypothèse d'un candidat consensuel lors de la prochaine électionprésidentielles prévue au printemps de l'année prochaine. Djamal Ould Abbès, Ahmed Ouyahia et Amar Ghoul, au nomrespectivement du FLN , du RND et de Taj ont décliné cette dernière proposition. "Pour nous la question d'un soutien à un 5e mandat est déjà tranchée" a dit Amar Ghoul à Abderazak Makri avant-hier vendredi lorsque ce dernier estvenu lui exposer l'initiative de son mouvement. C'est dire que ce camp politique a resserré ses rangs pour parler presque d'une même voix et ce au moment oùmême les partis de l'opposition ont réservé un accueil mitigé à l'appel duMSP. L'ANP n'est pas resté loin de cedebat et par la voix du vice-ministre de la Défense nationale, chef d' état-major,Ahmed Gaid Salah, elle a mis en garde contre toute tentative de l'impliquer dans le jeu politique. L'armée "ne peut enaucun cas être mêlée aux enchevêtrements des parties et des politiques" aindiqué Gaid Salah en précisant qu'"au lieu d'essayer de s'approcher du citoyen en conférant davantage d'importance àses préoccupations, quelques personnes,et certaines partiess'éloignent volontairement de l'exercice politique". Le chefd'état-major de l'ANP a aussi soutenu que l'ANP n'a comme seul tuteur que leprésident de la République. Par ailleurs le chef du groupe parlementaire des indépendants, Lamine Osmani, a invité le peuple algérien à rester attaché "à l'uniténationale et à la défense des principes de République algérienne démocratique etpopulaire". A propos de l'élection présidentielle de 2019 le groupe des indépendants a estimé quecette échéance est à même de garantir "la poursuite des réalisations politiques, économiques sociales et culturelles". Dans un communiqué rendu public hier et signé de la main de son premierresponsable, LamineOsmani, ce groupe parlementaire invite en effet la classe politique à hisser ledébat au niveau des enjeux et des défisauxquels fait face le pays dans cetteconjoncture difficile. Le communiquéinvite aussi la classe politique à "ne pasimpliquer l'Armée nationale populairedans le débat politique" et de saluer "sa mission constitutionnelle et de reconnaître ses sacrificesdans la défense du pays". Par cette position le groupe des indépendants à l'APN rejoint le camp des partis politiques qui ont abondé dans le mêmesens en réponse à l'initiative du MSP qui a invité l'ANP à garantir une transitionpolitique. Cette initiative du MSP, qui a notamment plaidé la nécessité d'unconsensus national pour sortir le pays de a crise multidimensionnelle dans laquelle il se débat a été rejeté par les partis partisans du président de laRépublique, Abdelaziz Bouteflika. Eneffet le FLN, le RND et Taj, pour ne citer que ces trois partis, ont d'emblée ditnon à l'initiative du MSP. Ce d'autant que l'initiative de ce dernier évoque ouvertement l'hypothèse d'un candidat consensuel lors de la prochaine électionprésidentielles prévue au printemps de l'année prochaine. Djamal Ould Abbès, Ahmed Ouyahia et Amar Ghoul, au nomrespectivement du FLN , du RND et de Taj ont décliné cette dernière proposition. "Pour nous la question d'un soutien à un 5e mandat est déjà tranchée" a dit Amar Ghoul à Abderazak Makri avant-hier vendredi lorsque ce dernier estvenu lui exposer l'initiative de son mouvement. C'est dire que ce camp politique a resserré ses rangs pour parler presque d'une même voix et ce au moment oùmême les partis de l'opposition ont réservé un accueil mitigé à l'appel duMSP. L'ANP n'est pas resté loin de cedebat et par la voix du vice-ministre de la Défense nationale, chef d' état-major,Ahmed Gaid Salah, elle a mis en garde contre toute tentative de l'impliquer dans le jeu politique. L'armée "ne peut enaucun cas être mêlée aux enchevêtrements des parties et des politiques" aindiqué Gaid Salah en précisant qu'"au lieu d'essayer de s'approcher du citoyen en conférant davantage d'importance àses préoccupations, quelques personnes,et certaines partiess'éloignent volontairement de l'exercice politique". Le chefd'état-major de l'ANP a aussi soutenu que l'ANP n'a comme seul tuteur que leprésident de la République. Par ailleurs le chef du groupe parlementaire des indépendants, Lamine Osmani, a invité le peuple algérien à rester attaché "à l'uniténationale et à la défense des principes de République algérienne démocratique etpopulaire". A propos de l'élection présidentielle de 2019 le groupe des indépendants a estimé quecette échéance est à même de garantir "la poursuite des réalisations politiques, économiques sociales et culturelles".