Abdelaziz Bouteflika envisage de mener des réformes politiques et économiques profondes, s'il sera réélu le 18 avril 2019, a déclaré avant-hier, son directeur de campa ne Abdelmalek Sellal."Il n' st plus possible pour l'Algérie d'avancer vers l'avenir,avec les lois actuelles et l'économie actuelle. Abdelaziz Bouteflika envisage de mener des réformes politiques et économiques profondes, s'il sera réélu le 18 avril 2019, a déclaré avant-hier, son directeur de campa ne Abdelmalek Sellal."Il n' st plus possible pour l'Algérie d'avancer vers l'avenir,avec les lois actuelles et l'économie actuelle. L es réformes sont nécessaires. Le président ne peut pas proposerces réformes s'il n'existe pas unconsensus national global detoutes les parties, de l'opposition,des autres partis et de tous les représentantsdu peuple algérien, dont l'UGTA.Des réformes globales et nécessaires seront menées. Nous ne pouvons pas avoir unecroissance économique, si nous n'introduisonspas de réformes", a expliqué l'ex-Premier ministre, lors d'une rencontre ausiège de l'UGTA, en présence des organisationspatronales, dont le FCE. "De grandes réformes nous attendent, comme la révision de la Constitution" Selon lui, les réformes projetées n'auront pas d'effets négatifs "sur les simples citoyens". Il a estimé que la construction de l'Algérie se fait dans le respect de tous les Algériens, et de leur pouvoir d'achat. "Nous devons suivre cette voie. De grandes réformes nous attendent, comme la révision de la Constitution, comme probablement le changement du modèle économique, et comme des changements politiques. Après avoir reconstruit les infrastructures de base de l'Algérie, il est temps pour cet homme, ce moudjahid, de continuer son projet. Un projet qui porte l'ambition de tous les Algériens. Il est l'homme qui réunit toutes les compétences, et qui a une vision globale lui permettantde concrétiser sur le terrain ces réformes. Des réformes qui se feront en consultation avec tous les citoyens. L'Algérie est dans une phase décisive, nous devons donc poursuivre le projet de reconstruction de l'Algérie de demain, avec un esprit de fidélité à l'homme (Bouteflika). Nous allons nous rencontrer sur le terrain, et je suis convaincu qu'on va réussir", a-t-il soutenu. Abdelmalek Sellal a annoncé, que laconférence du consensus national aura lieucette année, dans le cas de la réélection de Bouteflika. Son but sera notamment, de relancer l'économie "sans toucher aux aspects sociaux". "C'est un grand défi. Tout est possible. Nous avons des capacités humaines, des cadres, de l'énergie et des moyens financiers, pour prendre une autre orientation. Pour ce faire, nous devons changer des lois et sortir de l'approche bureaucratique de notre économie. Nous ne pouvons poursuivre le développement économique, si l'acte d'investir reste un acte administratif.L'administration bureaucratique ne doit plus se mêler des aspects économiques. C'est une des solutions qui seront proposées", a-t-il souligné. Et d'ajouter : "Aujourd'hui, l'Algérie fait face à de nouvelles demandes, notamment de la part des jeunes. Les jeunes sont ouverts sur les nouvelles technologies, à la numérisation et aux sciences. Nous devons leurs assurer tous les moyens, pour aller vers de nouveaux horizons". Il a rappelé les conditions de l'arrivée au pouvoir de Bouteflika, en tant que chefd'Etat. "C'était les années arides. Rappelez-vous de tout ce qui a été réalisé, depuis son arrivée à la présidence de la République jusqu'à nos jours. Des réalisations géantes que je vais évoquer durant la campagne électorale. Je vais communiquer tous les chiffres, sur ce qui a été fait. Savez-vous que le nombre des logements construits, de 2000 à 2018, égale celui de toutes les habitations construites de l'indépendance de l'Algérie, en 1962 à 2000. Et je ne parle pas des autres secteurs économiques, politiques et sociaux", a-t-ilrelevé. "Maâ men rakoum ? (Vous êtes avec qui ?)" Il est revenu sur l'officialisation de tamazight. "Quand le président est arrivé au pouvoir, en 1999, il était difficile de faire de tamazight langue nationale et officielle, parce que les conditions de la société algérienne de l'époque, ne le permettaient pas. Après, les choses ont évolué graduellement, il était devenu possible de consacrer tamazight comme langue nationale, puis officielle. Mieux, le président a pris la décision d'inscrire Yennayer dans le calendrier des fêtes légales. Il n'y a que l'Algérie qui célèbre officiellement Yennayer", a-t-il dit. M. Sellal a communiqué un message aux travailleurs présents dans la salle de la part du président-candidat : "Le président m'a dit hier, de rappeler aux travailleurs que Aissat Idir et Abdelhak Benhamouda, sont des martyrs de la Patrie. Ayons une pensée pour eux. N'oublions pas tous les efforts des travailleurs depuis l'indépendance du pays, pour sauvegarder les acquis de l'Algérie dans tous les domaines. Vous en êtes témoins, le président Bouteflika a toujours défendu les droits des travailleurs. C'est une vérité. Il a maintenu les acquis sociaux pour les couches moyennes ou faibles, parce qu'il est porteur du message de Novembre qui évoque l'Etat démocratique et social". Avant de terminer son intervention devant une salle archicomble, Sellal a lancé : "Maâ men rakoum" (vous êtes avec qui ? Et la salle de répondre : "Bouteflika !". "À l'étranger, Il n'y a ni refus, ni hésitation" Abdelmalek Sellal a également répondu, aux doutes exprimés par Louisa Hanoune et Ali Benflis, sur l'auteur de la lettre-programme du 10 février, dans laquelle le président sortant a annoncé sa candidature pour un 5e mandat. "Il s'agit d'une lettre-programme, qui évoque une autre Algérie. L'Algérie des jeunes. Je peux vous assurer que lui-même a veillé à l'écriture de cette lettre-programme. Il a lui-même choisi chaque mot, pour qu'il soit clair et transparent. Vous avez remarqué qu'il était transparent au maximum dans cette lettre. Il n'a rien caché", a déclaré Abdelamalek Sellal, à la Maison du Peuple du 1er Mai, à Alger, lors d'un meeting organisé par l'UGTA générale des travailleurs algériens). La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) a, lors de son passage à TSA Direct, doutait que certains passages de la lettre de Bouteflika soient ceux du chef de l'Etat, alors que Ali Benflis, président de Talai Al Hurriyet, a estimé qu'il y a "un problème d'authentification de la lettre de Bouteflika". Sellal, il n'existe pas de refus de candidature de Abdelaziz Bouteflika. "À l'étranger, Il n'y a ni refus, ni hésitation à propos de la candidature de Bouteflika. Au niveau de toute la République, il n'y a pas de refus non plus. Il est vrai qu'il y a des gens qui ne sont pas d'accord, des chosesse sont dites. Mais, ce n'est pas un problème. Nous évoluons dans une totale transparence. Nous devons tous nous sensibiliser les uns les autres, pour que la participation soit forte (au scrutin du 18 avril). Nous avons besoin de cet homme, dans sa vision et dans sa force. Nous avonsbesoin de lui, pour qu'il continue les réformes parce qu'il faut un courage solide pour changer notre modèle économique. Ilne s'agit pas d'un retour au libéralisme", a rassuré Sellal. Sidi Said compare Bouteflika à Nelson Mandela Abdelmadjid Sid Said a défendu avant-hier, le bilan de Bouteflika. "Il est de notre devoir de reconnaître les réalisations de Abdelaziz Bouteflika, le candidat des Algériens, l'homme historique. Des réalisations dans tous les domaines. Il ne faut pas cacher le soleil par le tamis ou être ingrat", a déclaré, à la Maison du peuple, siège de la Centrale syndicale, le secrétaire général de l'UGTA. M. Sidi Saïd a rappelé la situation d'insécurité dans les années 1990 en Algérie. "Nous avons vécu des périodes de peur et de perte totale de confiance. Des périodes durant lesquelles, nous étions soulagés d'apprendre qu'un homme soit décédé de mort naturelle, et pas égorgé. Nous rêvions de paix. Un homme est venu et a pris une décision courageuse, pour la Réconciliation nationale et rétablir la paix en Algérie. Aujourd'hui, les Algériens veillent le soir. Durant le Ramadhan, les familles rompent le jeûne aux Sablettes (Alger), c'est un miracle ! La paix retrouvéenous a ouvert toutes les portes. Ne devrions-nous pas reconnaître et respecter l'homme qui a pris la décision historique de rétablir la paix ? Cet homme (Bouteflika) entre dans l'Histoire de l'Algérie et celle du monde. Rare sont les chefs d'Etats qui prennent de telles décisions. Il y a eu un seul, Nelson Mandela en Afrique du Sud. Et, il y a un deuxième, Abdelaziz Bouteflika", a-t-il déclaré. "L'Algérie va entrer dans le monde développé" Sidi Said, qui a évoqué ses déplacements à l'intérieur du pays, a parlé de ses rencontres avec la population. "Jamais, les gens m'ont dit un mot de travers à propos du président Bouteflika. Au contraire, les gens lui souhaitent longue vie. Cela vient de la profondeur du peuple", a-t-il témoigné. Le patron de l'UGTA a rappelé la décision de Bouteflika, de rembourser totalement la dette extérieure de l'Algérie (durant le premier mandat entre 1999 et 2004). "S'il n'avait pas pris cette décision, nous ne serions pas à l'aise sur les plans économique et social aujourd'hui. Les patrons présents dans cette salle peuvent en témoigner. Ils auraient été obligés de licencier la moitié de leur personnel. Qui paye sa dette s'enrichit. Aujourd'hui, les grandes surfaces sont bien achalandées, il y a plein de voitures sur les routes et les Algériens voyagent…", a-t-il vanté. Evoquant la consécration de tamazight comme langue nationale et officielle, Sidi Said a estimé que le président Bouteflika a "cimenté" l'unité nationale. Selon lui, les prochaines réformes, annoncées par Bouteflika dans sa lettre de candidature adressée à la nation dimanche 10 février, permettront à l'Algérie d'entrer dans la modernité. "L'Algérie va entrer dans le monde développé, le monde économiquement fort. Nous devons renforcer tout cela… Nous pas honte de dire que Bouteflika est notre candidat, nous en sommes fiers. Nous devons aller de l'avant", a-t-il appuyé.La rencontre de l'UGTA a été marquée par la présence de Abdelmakek Sellal, directeur de la campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika, des représentants des Organisations patronales, dont Ali Haddad, président du Forum des chefs d'entreprises(FCE), et des syndicalistes de Naftal, de Sonatrach et de SEAAL. L es réformes sont nécessaires. Le président ne peut pas proposerces réformes s'il n'existe pas unconsensus national global detoutes les parties, de l'opposition,des autres partis et de tous les représentantsdu peuple algérien, dont l'UGTA.Des réformes globales et nécessaires seront menées. Nous ne pouvons pas avoir unecroissance économique, si nous n'introduisonspas de réformes", a expliqué l'ex-Premier ministre, lors d'une rencontre ausiège de l'UGTA, en présence des organisationspatronales, dont le FCE. "De grandes réformes nous attendent, comme la révision de la Constitution" Selon lui, les réformes projetées n'auront pas d'effets négatifs "sur les simples citoyens". Il a estimé que la construction de l'Algérie se fait dans le respect de tous les Algériens, et de leur pouvoir d'achat. "Nous devons suivre cette voie. De grandes réformes nous attendent, comme la révision de la Constitution, comme probablement le changement du modèle économique, et comme des changements politiques. Après avoir reconstruit les infrastructures de base de l'Algérie, il est temps pour cet homme, ce moudjahid, de continuer son projet. Un projet qui porte l'ambition de tous les Algériens. Il est l'homme qui réunit toutes les compétences, et qui a une vision globale lui permettantde concrétiser sur le terrain ces réformes. Des réformes qui se feront en consultation avec tous les citoyens. L'Algérie est dans une phase décisive, nous devons donc poursuivre le projet de reconstruction de l'Algérie de demain, avec un esprit de fidélité à l'homme (Bouteflika). Nous allons nous rencontrer sur le terrain, et je suis convaincu qu'on va réussir", a-t-il soutenu. Abdelmalek Sellal a annoncé, que laconférence du consensus national aura lieucette année, dans le cas de la réélection de Bouteflika. Son but sera notamment, de relancer l'économie "sans toucher aux aspects sociaux". "C'est un grand défi. Tout est possible. Nous avons des capacités humaines, des cadres, de l'énergie et des moyens financiers, pour prendre une autre orientation. Pour ce faire, nous devons changer des lois et sortir de l'approche bureaucratique de notre économie. Nous ne pouvons poursuivre le développement économique, si l'acte d'investir reste un acte administratif.L'administration bureaucratique ne doit plus se mêler des aspects économiques. C'est une des solutions qui seront proposées", a-t-il souligné. Et d'ajouter : "Aujourd'hui, l'Algérie fait face à de nouvelles demandes, notamment de la part des jeunes. Les jeunes sont ouverts sur les nouvelles technologies, à la numérisation et aux sciences. Nous devons leurs assurer tous les moyens, pour aller vers de nouveaux horizons". Il a rappelé les conditions de l'arrivée au pouvoir de Bouteflika, en tant que chefd'Etat. "C'était les années arides. Rappelez-vous de tout ce qui a été réalisé, depuis son arrivée à la présidence de la République jusqu'à nos jours. Des réalisations géantes que je vais évoquer durant la campagne électorale. Je vais communiquer tous les chiffres, sur ce qui a été fait. Savez-vous que le nombre des logements construits, de 2000 à 2018, égale celui de toutes les habitations construites de l'indépendance de l'Algérie, en 1962 à 2000. Et je ne parle pas des autres secteurs économiques, politiques et sociaux", a-t-ilrelevé. "Maâ men rakoum ? (Vous êtes avec qui ?)" Il est revenu sur l'officialisation de tamazight. "Quand le président est arrivé au pouvoir, en 1999, il était difficile de faire de tamazight langue nationale et officielle, parce que les conditions de la société algérienne de l'époque, ne le permettaient pas. Après, les choses ont évolué graduellement, il était devenu possible de consacrer tamazight comme langue nationale, puis officielle. Mieux, le président a pris la décision d'inscrire Yennayer dans le calendrier des fêtes légales. Il n'y a que l'Algérie qui célèbre officiellement Yennayer", a-t-il dit. M. Sellal a communiqué un message aux travailleurs présents dans la salle de la part du président-candidat : "Le président m'a dit hier, de rappeler aux travailleurs que Aissat Idir et Abdelhak Benhamouda, sont des martyrs de la Patrie. Ayons une pensée pour eux. N'oublions pas tous les efforts des travailleurs depuis l'indépendance du pays, pour sauvegarder les acquis de l'Algérie dans tous les domaines. Vous en êtes témoins, le président Bouteflika a toujours défendu les droits des travailleurs. C'est une vérité. Il a maintenu les acquis sociaux pour les couches moyennes ou faibles, parce qu'il est porteur du message de Novembre qui évoque l'Etat démocratique et social". Avant de terminer son intervention devant une salle archicomble, Sellal a lancé : "Maâ men rakoum" (vous êtes avec qui ? Et la salle de répondre : "Bouteflika !". "À l'étranger, Il n'y a ni refus, ni hésitation" Abdelmalek Sellal a également répondu, aux doutes exprimés par Louisa Hanoune et Ali Benflis, sur l'auteur de la lettre-programme du 10 février, dans laquelle le président sortant a annoncé sa candidature pour un 5e mandat. "Il s'agit d'une lettre-programme, qui évoque une autre Algérie. L'Algérie des jeunes. Je peux vous assurer que lui-même a veillé à l'écriture de cette lettre-programme. Il a lui-même choisi chaque mot, pour qu'il soit clair et transparent. Vous avez remarqué qu'il était transparent au maximum dans cette lettre. Il n'a rien caché", a déclaré Abdelamalek Sellal, à la Maison du Peuple du 1er Mai, à Alger, lors d'un meeting organisé par l'UGTA générale des travailleurs algériens). La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) a, lors de son passage à TSA Direct, doutait que certains passages de la lettre de Bouteflika soient ceux du chef de l'Etat, alors que Ali Benflis, président de Talai Al Hurriyet, a estimé qu'il y a "un problème d'authentification de la lettre de Bouteflika". Sellal, il n'existe pas de refus de candidature de Abdelaziz Bouteflika. "À l'étranger, Il n'y a ni refus, ni hésitation à propos de la candidature de Bouteflika. Au niveau de toute la République, il n'y a pas de refus non plus. Il est vrai qu'il y a des gens qui ne sont pas d'accord, des chosesse sont dites. Mais, ce n'est pas un problème. Nous évoluons dans une totale transparence. Nous devons tous nous sensibiliser les uns les autres, pour que la participation soit forte (au scrutin du 18 avril). Nous avons besoin de cet homme, dans sa vision et dans sa force. Nous avonsbesoin de lui, pour qu'il continue les réformes parce qu'il faut un courage solide pour changer notre modèle économique. Ilne s'agit pas d'un retour au libéralisme", a rassuré Sellal. Sidi Said compare Bouteflika à Nelson Mandela Abdelmadjid Sid Said a défendu avant-hier, le bilan de Bouteflika. "Il est de notre devoir de reconnaître les réalisations de Abdelaziz Bouteflika, le candidat des Algériens, l'homme historique. Des réalisations dans tous les domaines. Il ne faut pas cacher le soleil par le tamis ou être ingrat", a déclaré, à la Maison du peuple, siège de la Centrale syndicale, le secrétaire général de l'UGTA. M. Sidi Saïd a rappelé la situation d'insécurité dans les années 1990 en Algérie. "Nous avons vécu des périodes de peur et de perte totale de confiance. Des périodes durant lesquelles, nous étions soulagés d'apprendre qu'un homme soit décédé de mort naturelle, et pas égorgé. Nous rêvions de paix. Un homme est venu et a pris une décision courageuse, pour la Réconciliation nationale et rétablir la paix en Algérie. Aujourd'hui, les Algériens veillent le soir. Durant le Ramadhan, les familles rompent le jeûne aux Sablettes (Alger), c'est un miracle ! La paix retrouvéenous a ouvert toutes les portes. Ne devrions-nous pas reconnaître et respecter l'homme qui a pris la décision historique de rétablir la paix ? Cet homme (Bouteflika) entre dans l'Histoire de l'Algérie et celle du monde. Rare sont les chefs d'Etats qui prennent de telles décisions. Il y a eu un seul, Nelson Mandela en Afrique du Sud. Et, il y a un deuxième, Abdelaziz Bouteflika", a-t-il déclaré. "L'Algérie va entrer dans le monde développé" Sidi Said, qui a évoqué ses déplacements à l'intérieur du pays, a parlé de ses rencontres avec la population. "Jamais, les gens m'ont dit un mot de travers à propos du président Bouteflika. Au contraire, les gens lui souhaitent longue vie. Cela vient de la profondeur du peuple", a-t-il témoigné. Le patron de l'UGTA a rappelé la décision de Bouteflika, de rembourser totalement la dette extérieure de l'Algérie (durant le premier mandat entre 1999 et 2004). "S'il n'avait pas pris cette décision, nous ne serions pas à l'aise sur les plans économique et social aujourd'hui. Les patrons présents dans cette salle peuvent en témoigner. Ils auraient été obligés de licencier la moitié de leur personnel. Qui paye sa dette s'enrichit. Aujourd'hui, les grandes surfaces sont bien achalandées, il y a plein de voitures sur les routes et les Algériens voyagent…", a-t-il vanté. Evoquant la consécration de tamazight comme langue nationale et officielle, Sidi Said a estimé que le président Bouteflika a "cimenté" l'unité nationale. Selon lui, les prochaines réformes, annoncées par Bouteflika dans sa lettre de candidature adressée à la nation dimanche 10 février, permettront à l'Algérie d'entrer dans la modernité. "L'Algérie va entrer dans le monde développé, le monde économiquement fort. Nous devons renforcer tout cela… Nous pas honte de dire que Bouteflika est notre candidat, nous en sommes fiers. Nous devons aller de l'avant", a-t-il appuyé.La rencontre de l'UGTA a été marquée par la présence de Abdelmakek Sellal, directeur de la campagne du candidat Abdelaziz Bouteflika, des représentants des Organisations patronales, dont Ali Haddad, président du Forum des chefs d'entreprises(FCE), et des syndicalistes de Naftal, de Sonatrach et de SEAAL.