Les partis de l'opposition vont de nouveau se réunir mercredi prochain pour examiner le choix de candidatde consensus. Ce sera larencontre de la dernière chance avant l'expiration du délai des candidatures le 3 mars prochain Les partis de l'opposition vont de nouveau se réunir mercredi prochain pour examiner le choix de candidatde consensus. Ce sera larencontre de la dernière chance avant l'expiration du délai des candidatures le 3 mars prochain L'opposition se cherche toujoursdepuis l'annonce de la candidature deBouteflika à l'élection du 18 avril.D'abord la défection de quelques-uns arendu le défi plus ardu pour une électionqui devait les mobiliser encore plus.Ahmed Benbitour, qui ne fait plus partiede la course, et les partisans du boycott àl'instar du FFS et du RCD fracturent lecamp de l'opposition et le rend fragile faceaux partisans du 5e mandat plus que déterminés et bien organisés à cet effet.Les islamistes tenteront selon une sourcede "se fédérer en un bloc pour soutenir un candidat du consensus".Et c'est à cet effet qu'on apprend que leprésident du FJD Abdellah Djaballah a prisl'initiative d'organiser en son domicile"une réunion des candidats qui se présententà l'élection et d'autres personnalitéspour élire le candidat potentiel". C'estdonc le dernier carré pour ceux qui espèrentmarquer le paysage politique avant l'électionprésidentielle. Mais d'ores et déjà leslangues se délient à propos du soutienapporté au candidat.Les noms d'Ali Gediri, Ali Benflis etAbderezzak Makri figurent en bonne listepour battre le pavé au cas où l'un desnoms serait retenu. Le chef de file du MSP vient de déclarerque "le choix se portera pour celui qui aune probité et une honnêteté de sa personneet non celui d'un parti". Il sera ainsi difficile de choisir en un laps aussi court un candidat sachant que chacun tente de valider son option. Pour Sofiane Djilali de Jil el -Djadid "il faudra se contenter d'un minimum de cohésion et asseoir une stratégie commune pour se dégager des sentiers battus". Il faudra également tenir compte des campagnes de signatures en faveur du candidat choisi et pour lequel il exigé une accélération de la cadence avant la date fixée par les autorités publiques. Ça sera une course contre la montre. Pour l'heure, aucun nom ne sera avancé tant que les initiateurs de la plateforme de Mazafranne se mettront pas en rang serré pour une décision commune.Les observateurs de la scène politique estiment qu'une telle initiative a peu de chance à réussir. Les divergences restent visibles entre les différentes factions et le contexte dans lequel évolue actuellement l'opposition n'est plus celui de 2014. Les fissures entre partisans de l'opposition apparaissent maintenant au grand jour où il reste difficile de concilier les points de vue malgré l'apparence d'un bloc uni. L'opposition se cherche toujoursdepuis l'annonce de la candidature deBouteflika à l'élection du 18 avril.D'abord la défection de quelques-uns arendu le défi plus ardu pour une électionqui devait les mobiliser encore plus.Ahmed Benbitour, qui ne fait plus partiede la course, et les partisans du boycott àl'instar du FFS et du RCD fracturent lecamp de l'opposition et le rend fragile faceaux partisans du 5e mandat plus que déterminés et bien organisés à cet effet.Les islamistes tenteront selon une sourcede "se fédérer en un bloc pour soutenir un candidat du consensus".Et c'est à cet effet qu'on apprend que leprésident du FJD Abdellah Djaballah a prisl'initiative d'organiser en son domicile"une réunion des candidats qui se présententà l'élection et d'autres personnalitéspour élire le candidat potentiel". C'estdonc le dernier carré pour ceux qui espèrentmarquer le paysage politique avant l'électionprésidentielle. Mais d'ores et déjà leslangues se délient à propos du soutienapporté au candidat.Les noms d'Ali Gediri, Ali Benflis etAbderezzak Makri figurent en bonne listepour battre le pavé au cas où l'un desnoms serait retenu. Le chef de file du MSP vient de déclarerque "le choix se portera pour celui qui aune probité et une honnêteté de sa personneet non celui d'un parti". Il sera ainsi difficile de choisir en un laps aussi court un candidat sachant que chacun tente de valider son option. Pour Sofiane Djilali de Jil el -Djadid "il faudra se contenter d'un minimum de cohésion et asseoir une stratégie commune pour se dégager des sentiers battus". Il faudra également tenir compte des campagnes de signatures en faveur du candidat choisi et pour lequel il exigé une accélération de la cadence avant la date fixée par les autorités publiques. Ça sera une course contre la montre. Pour l'heure, aucun nom ne sera avancé tant que les initiateurs de la plateforme de Mazafranne se mettront pas en rang serré pour une décision commune.Les observateurs de la scène politique estiment qu'une telle initiative a peu de chance à réussir. Les divergences restent visibles entre les différentes factions et le contexte dans lequel évolue actuellement l'opposition n'est plus celui de 2014. Les fissures entre partisans de l'opposition apparaissent maintenant au grand jour où il reste difficile de concilier les points de vue malgré l'apparence d'un bloc uni.