Le taux de suivi de la grève nationale observée hier dans lesecteur de l'Education, àlaquelle ont appelé six syndicats,est de 65,31 %, a-t-onappris de sources syndicales. Le taux de suivi de la grève nationale observée hier dans lesecteur de l'Education, àlaquelle ont appelé six syndicats,est de 65,31 %, a-t-onappris de sources syndicales. Le Satef, le SNTE, le Cnapest,le Snapeste, l'UNpef et leCela, avaient appelé à unegrève nationale pour ce mardi 26 février et demain mercredi,pour protester contre la nonsatisfaction de leurs revendicationspar le ministère detutelle. "En dépit des entravesde l'administration, la grève s'est bien déroulée et a été largementsuivie", précise lamême source, en ajoutant que"le taux de suivi varie d'unewilaya à une autre"."Mme la ministre (NouriaBenghebrit), a adressé des instructionsaux directeurs del'Education des wilayas pourcasser la grève, en menaçant eten terrorisant les fonctionnaireset les enseignants, en exerçantdes pressions sur eux, et endemandant aux inspecteursd'organiser des rencontres pédagogiquesdurant les journées degrève. Elle a demandé aux directeurs des établissements, de remplacer les enseignants grévistes et ne pas libérer les élèves", a dénoncé l'Intersyndicale dans un communiqué. "Malgré tout cela, les fonctionnaires, les enseignants et les enseignantes, ont largement répondu à l'appel à la grève", selon le communiqué.Les syndicats membres de l'Intersyndicale avaient dressé dimanche, un véritable réquisitoire contre le département de Nouria Benghabrit. Demain mercredi, la grève dans le secteur de l'Education vasepoursuivre, avec des sit-in régionaux à Blida, Laghouat,Relizane et Batna, devant les sièges des directions de wilaya.La grève des 26 et 27 février est la seconde organisée depuis le début de l'année en cours,après celle du 21 janvier dernier, à l'appui de revendications socioprofessionnelles, dont la révision du statut particulieret la retraite proportionnelle. Le Satef, le SNTE, le Cnapest,le Snapeste, l'UNpef et leCela, avaient appelé à unegrève nationale pour ce mardi 26 février et demain mercredi,pour protester contre la nonsatisfaction de leurs revendicationspar le ministère detutelle. "En dépit des entravesde l'administration, la grève s'est bien déroulée et a été largementsuivie", précise lamême source, en ajoutant que"le taux de suivi varie d'unewilaya à une autre"."Mme la ministre (NouriaBenghebrit), a adressé des instructionsaux directeurs del'Education des wilayas pourcasser la grève, en menaçant eten terrorisant les fonctionnaireset les enseignants, en exerçantdes pressions sur eux, et endemandant aux inspecteursd'organiser des rencontres pédagogiquesdurant les journées degrève. Elle a demandé aux directeurs des établissements, de remplacer les enseignants grévistes et ne pas libérer les élèves", a dénoncé l'Intersyndicale dans un communiqué. "Malgré tout cela, les fonctionnaires, les enseignants et les enseignantes, ont largement répondu à l'appel à la grève", selon le communiqué.Les syndicats membres de l'Intersyndicale avaient dressé dimanche, un véritable réquisitoire contre le département de Nouria Benghabrit. Demain mercredi, la grève dans le secteur de l'Education vasepoursuivre, avec des sit-in régionaux à Blida, Laghouat,Relizane et Batna, devant les sièges des directions de wilaya.La grève des 26 et 27 février est la seconde organisée depuis le début de l'année en cours,après celle du 21 janvier dernier, à l'appui de revendications socioprofessionnelles, dont la révision du statut particulieret la retraite proportionnelle.