Le ministère de l'Enseignementsupérieur et de laRecherche scientifique a indiquédans un communiquérendu public que lecalendrier des examens est duressort desuniversités.FAYÇAL ABDELGHANI Le ministère de l'Enseignementsupérieur et de laRecherche scientifique a indiquédans un communiquérendu public que lecalendrier des examens est duressort desuniversités.FAYÇAL ABDELGHANI Le ministère dément ainsi toute implication de sondépartement dans la fixationdes dates d‘examens.Le communiqué précise que "lecalendrier des sessions d‘examensest fixé par les conseilspédagogiques et scientifiquesde chaque université représentéspar les délégués d‘étudiantset les enseignants". Et d‘ajouterque "le ministère n‘aaucune prérogative dans ledéroulement des examens etdément toute information surce sujet qui a été véhiculé surles réseaux sociaux". En effet,des rumeurs ont fait état d‘uncalendrier avancé pour les examensafin d‘éviter l‘année blanche qui menaçait toutes les universités. Or en aucun cas, les étudiants n‘ont évoqué le boycott des examens même s‘ils ont pris part dans le mouvement des marches populaires. Ils n‘ont pas brandi des slogans dans ce sens même si certains retards dans les cours ont posé problèmes dans certaines filières. Les associations estudiantines dont l‘Ugel et l‘UNEA n‘ont pas officiellementdéclaré qu‘il y aurait une année blanche et ce depuis les dernières vacances du printemps. Pour ce qui est des déroulements des examens du premier semestre, on annonce que les sessions de mars qui n‘ont pas été entamées seront fixés durant le mois de maipour les filières techniques etscientifiques. Les conseils pédagogiques des écoles d‘architecture et de polytechniqueet de l‘université de Bab-Ezzouar ont entamé des pourparlers avec les délégués des étudiants pour éviter tout retard dans le déroulement des examens en optant sur un rattrapagede tous les cours perdus. Chaque département fixera enfinal les échéances de cesexamens selon ce qui a étéprévu. Le ministère dément ainsi toute implication de sondépartement dans la fixationdes dates d‘examens.Le communiqué précise que "lecalendrier des sessions d‘examensest fixé par les conseilspédagogiques et scientifiquesde chaque université représentéspar les délégués d‘étudiantset les enseignants". Et d‘ajouterque "le ministère n‘aaucune prérogative dans ledéroulement des examens etdément toute information surce sujet qui a été véhiculé surles réseaux sociaux". En effet,des rumeurs ont fait état d‘uncalendrier avancé pour les examensafin d‘éviter l‘année blanche qui menaçait toutes les universités. Or en aucun cas, les étudiants n‘ont évoqué le boycott des examens même s‘ils ont pris part dans le mouvement des marches populaires. Ils n‘ont pas brandi des slogans dans ce sens même si certains retards dans les cours ont posé problèmes dans certaines filières. Les associations estudiantines dont l‘Ugel et l‘UNEA n‘ont pas officiellementdéclaré qu‘il y aurait une année blanche et ce depuis les dernières vacances du printemps. Pour ce qui est des déroulements des examens du premier semestre, on annonce que les sessions de mars qui n‘ont pas été entamées seront fixés durant le mois de maipour les filières techniques etscientifiques. Les conseils pédagogiques des écoles d‘architecture et de polytechniqueet de l‘université de Bab-Ezzouar ont entamé des pourparlers avec les délégués des étudiants pour éviter tout retard dans le déroulement des examens en optant sur un rattrapagede tous les cours perdus. Chaque département fixera enfinal les échéances de cesexamens selon ce qui a étéprévu.