Le panel de personnalités chargé de mener la médiation pour le dialogue, passe à la vitesse supérieure. Présidé par Karim Younes et reçu jeudi dernier par le chef de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, ce Panel, composé initialement par six personnalités, vient de convier vingt trois autres personnalités à les rejoindre Le panel de personnalités chargé de mener la médiation pour le dialogue, passe à la vitesse supérieure. Présidé par Karim Younes et reçu jeudi dernier par le chef de l'Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, ce Panel, composé initialement par six personnalités, vient de convier vingt trois autres personnalités à les rejoindre C'est en effet ce qui a été annoncé hier, lors de la tenue de sa première réunion. Le communiqué rendu public hier, à l'issue de cette réunion, a aussi fait part de l'élargissement de la composante, puisque un septième membre', en l'occurrence Mohamed Yassine Boukhnifer, a intégré le groupe des six. Ainsi donc, Djamila Bouhired,proposée par le Forum civil pour le changement avant de faire part de son refus, "compte tenu de la présence de noms ayant déjà servi le pouvoir", est de nouveau invitée à rejoindre le Panel, au même titre que l'ancien ministre des Affaires étrangères, Ahmed Taleb El Ibrahimi, et l'ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Cette liste des 23 comprend aussideux autres anciens chefs de gouvernement, enl'occurrence Ahmed Benbitour et Mokdad Sifi. Abdelaziz Rahabi, ancien ministre, est lui aussi invité à rejoindre le groupe des six, commec'est le cas aussi pour Lyes Merabet, un syndicaliste, ou encore le sociologue Nacer Djabi, et le défenseur des droits de l'Homme, Said Salhi. Ces trois derniers noms devaient initialement faire partie du Panel, avant de se raviser à la dernière minute. Ils se sont expliqués sur ce revirement. Des explications qui ont fait dire à de nombreux observateurs, que le Panel a fait déjà un mauvais départ. Mostefa Bouchachi, avocat, Messaoud Boudiba, un dirigeant du syndicat du Cnapeste, Abderrazak Guessoum, le président de l'association des Oulémas algériens, Rachid Benyelles, général à la retraite, Mokrane Ait Larbi, avocat et Fatima Zohra Benbrahem, avocate elle aussi, font partie de la liste des 23 ersonnalités invitées à rejoindre le Panel. On trouve aussi dans cette liste, les noms de Elias Zerhouni, Hadda Hazem, Brahim Ghoum, Berouri Mansour, Rachid Hanifi, Adda Boundjar, Fares Mesdour, Chems Eddine Chitour, Drifa Ben M'hidi ou encore, Said Bouizri. Dans son communiqué, le Panel fait savoir que "l'instance nationale de dialogue et de médiation est un ‘comité non gouvernemental'.La même source explique que ses missions constituent à prendre contact et de mener des consultations avec les acteurs de la société civile, les personnalités nationales, les partis politiques et les activistes du Hirak, des différentes wilayas du pays, élaborer une conception précise des voies devant permettre une sortie de la crise actuelle". L'instance se réunira par la suite, avec les parties précitées, en fonction d'un planning qui sera établi dans les plus brefs délais, afin d'"écouter leurs conceptions générales et leurs propositions pratiques de sortie de crise". Karim Younes a rajouté, que cette instance de dialogue élaborera ensuite, un document contenant les propositions des différentes parties. Les propositions finales seront validées par une "conférence nationale souveraine, dans de ses décisions" et qui "oblige toutes les autorités publiques". "Toutes les parties ayant participé au dialogue seront invitées à la conférence nationale, pour entériner les propositions finales". L'instance a donc lancé un appel aux personnalités, dont les noms sont cités par le Hirak, de "répondre à l'appel de la Patrie". Vont-ils répondre favorablement à cet appel ? C'est en effet ce qui a été annoncé hier, lors de la tenue de sa première réunion. Le communiqué rendu public hier, à l'issue de cette réunion, a aussi fait part de l'élargissement de la composante, puisque un septième membre', en l'occurrence Mohamed Yassine Boukhnifer, a intégré le groupe des six. Ainsi donc, Djamila Bouhired,proposée par le Forum civil pour le changement avant de faire part de son refus, "compte tenu de la présence de noms ayant déjà servi le pouvoir", est de nouveau invitée à rejoindre le Panel, au même titre que l'ancien ministre des Affaires étrangères, Ahmed Taleb El Ibrahimi, et l'ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche. Cette liste des 23 comprend aussideux autres anciens chefs de gouvernement, enl'occurrence Ahmed Benbitour et Mokdad Sifi. Abdelaziz Rahabi, ancien ministre, est lui aussi invité à rejoindre le groupe des six, commec'est le cas aussi pour Lyes Merabet, un syndicaliste, ou encore le sociologue Nacer Djabi, et le défenseur des droits de l'Homme, Said Salhi. Ces trois derniers noms devaient initialement faire partie du Panel, avant de se raviser à la dernière minute. Ils se sont expliqués sur ce revirement. Des explications qui ont fait dire à de nombreux observateurs, que le Panel a fait déjà un mauvais départ. Mostefa Bouchachi, avocat, Messaoud Boudiba, un dirigeant du syndicat du Cnapeste, Abderrazak Guessoum, le président de l'association des Oulémas algériens, Rachid Benyelles, général à la retraite, Mokrane Ait Larbi, avocat et Fatima Zohra Benbrahem, avocate elle aussi, font partie de la liste des 23 ersonnalités invitées à rejoindre le Panel. On trouve aussi dans cette liste, les noms de Elias Zerhouni, Hadda Hazem, Brahim Ghoum, Berouri Mansour, Rachid Hanifi, Adda Boundjar, Fares Mesdour, Chems Eddine Chitour, Drifa Ben M'hidi ou encore, Said Bouizri. Dans son communiqué, le Panel fait savoir que "l'instance nationale de dialogue et de médiation est un ‘comité non gouvernemental'.La même source explique que ses missions constituent à prendre contact et de mener des consultations avec les acteurs de la société civile, les personnalités nationales, les partis politiques et les activistes du Hirak, des différentes wilayas du pays, élaborer une conception précise des voies devant permettre une sortie de la crise actuelle". L'instance se réunira par la suite, avec les parties précitées, en fonction d'un planning qui sera établi dans les plus brefs délais, afin d'"écouter leurs conceptions générales et leurs propositions pratiques de sortie de crise". Karim Younes a rajouté, que cette instance de dialogue élaborera ensuite, un document contenant les propositions des différentes parties. Les propositions finales seront validées par une "conférence nationale souveraine, dans de ses décisions" et qui "oblige toutes les autorités publiques". "Toutes les parties ayant participé au dialogue seront invitées à la conférence nationale, pour entériner les propositions finales". L'instance a donc lancé un appel aux personnalités, dont les noms sont cités par le Hirak, de "répondre à l'appel de la Patrie". Vont-ils répondre favorablement à cet appel ?