Le mouvement populaire en est déjà à sa 26e manifestation. Ni la chaleur, ni les vacances n'ont réussi à affaiblir les manifestations du mouvement populaire. Hier vendredi, les Algériennes et les Algériens étaient au rendez-vous pour manifester et réclamer le départ du système et ses figures. Le mouvement populaire en est déjà à sa 26e manifestation. Ni la chaleur, ni les vacances n'ont réussi à affaiblir les manifestations du mouvement populaire. Hier vendredi, les Algériennes et les Algériens étaient au rendez-vous pour manifester et réclamer le départ du système et ses figures. Les revendications chères au Hirak ont été réitérées à nouveau, par les manifestants sortis à Alger, Béjaia, Constantine, Oran, Bouira, Mostaganem, Skikda et dans d'autres villes du pays. Ce nouveau vendredi de mobilisation populaire, pour le départ du régime, prouve que les Algériens sont toujours déterminés à faire aboutir leurs revendications qui tournent, notamment, autour d'un changement radical, de l'instauration d'un Etat de droit, de l'avènement d'une justice réellement indépendante, de la consécration effective des droits et des libertés, individuelles et collectives, du respect et la promotion des droits de l'Homme…etc En somme, ces revendications pour lesquelles les Algériens et les Algériennes manifestent depuis le 22 février dernier, revendiquent, en définitive, la fin du système politique actuel et l'avènement d'une nouvelle République. A Alger et comme de coutume, les manifestants étaient dès la matinée d'hier, au rendez-vous. Ils ont organisé une marche au niveau de la rue Didouche Mourad au centre-ville de la capitale. Les slogans anti-élections fusaient à l'unisson, marquant le refus de la rue des "semblants d'élections" qu'on veut organiser dans la précipitation. Les manifestants rejettent aussi un "Etat militaire" et crient leur revendication d'un "Etat civil". Au niveau de la rue Abdelkrim El Khettabi, ils font face à un cordon sécuritaire moins renforcé que d'habitude. Après la prière du vendredi, une grande foule a envahi la rue Didouche Mourad. La manifestation a officiellement commencé. Des slogans hostiles au chef de l'Etat major de l'armée et au chef de l'Etat, sont scandés par les marcheurs. Les manifestants ont également exigé la libération des détenus d'opinion. Dans toutes les autres villes du pays, c'était, comme de coutume, le même scénario ou, malgré la chaleur, la foule, moins nombreuse, était au rendez-vous. Les revendications chères au Hirak ont été réitérées à nouveau, par les manifestants sortis à Alger, Béjaia, Constantine, Oran, Bouira, Mostaganem, Skikda et dans d'autres villes du pays. Ce nouveau vendredi de mobilisation populaire, pour le départ du régime, prouve que les Algériens sont toujours déterminés à faire aboutir leurs revendications qui tournent, notamment, autour d'un changement radical, de l'instauration d'un Etat de droit, de l'avènement d'une justice réellement indépendante, de la consécration effective des droits et des libertés, individuelles et collectives, du respect et la promotion des droits de l'Homme…etc En somme, ces revendications pour lesquelles les Algériens et les Algériennes manifestent depuis le 22 février dernier, revendiquent, en définitive, la fin du système politique actuel et l'avènement d'une nouvelle République. A Alger et comme de coutume, les manifestants étaient dès la matinée d'hier, au rendez-vous. Ils ont organisé une marche au niveau de la rue Didouche Mourad au centre-ville de la capitale. Les slogans anti-élections fusaient à l'unisson, marquant le refus de la rue des "semblants d'élections" qu'on veut organiser dans la précipitation. Les manifestants rejettent aussi un "Etat militaire" et crient leur revendication d'un "Etat civil". Au niveau de la rue Abdelkrim El Khettabi, ils font face à un cordon sécuritaire moins renforcé que d'habitude. Après la prière du vendredi, une grande foule a envahi la rue Didouche Mourad. La manifestation a officiellement commencé. Des slogans hostiles au chef de l'Etat major de l'armée et au chef de l'Etat, sont scandés par les marcheurs. Les manifestants ont également exigé la libération des détenus d'opinion. Dans toutes les autres villes du pays, c'était, comme de coutume, le même scénario ou, malgré la chaleur, la foule, moins nombreuse, était au rendez-vous.