leur repli de la veille, dans un contexte incertain entre manifestations en Equateur, tensions sino-américaines et abondance des stocks aux Etats-Unis. leur repli de la veille, dans un contexte incertain entre manifestations en Equateur, tensions sino-américaines et abondance des stocks aux Etats-Unis. Vers 10h20 GMT, le baril de Brent de la mer duNord pour livraison en décembre valait 58,92 dollars à Londres, en hausse de 1,17 %par rapport à la clôture de mardi. ANewYork, le baril américain de WTI pour novembre gagnait 1,10 % à 53,21 dollars. Les prix pourraient récemment avoir "en partie" profité des nouvelles de l'Equateur "où environ un tiers de laproduction pétrolière est menacé par les manifestations qui se poursuivent", a expliqué Carsten Fritsch, analyste pour Commerzbank. Néanmoins, "les tensions sino-américaines pèsent sur les attentes du marché concernant la demande future", a ajouté Fiona Cincotta, analyste pour City Index. Alors que les négociations commerciales doivent reprendre jeudi, le ton entre les deux pays est monté ces derniers jours alors que les Etats-Unis ont dénoncé une "campagne de répression" contre les musulmans ouïghours au Xinjiang. Washington a ainsi placé sur une liste noire 28 organisations gouvernementales et commerciales chinoises et a annoncé des "restrictions" dans l'octroi de visas américains à des responsables du gouvernement et du Parti communiste chinois. Selon l'agence Bloomberg, la Chine reste cependant ouverte à un accord partiel, tandis que le Financial Times a révélé que le pays proposait d'acheter davantage de soja américain. Ces informations apportent "un peu plus d'optimisme" et ont contribué à porter les prix du pétrole, a souligné Carlo Alberto De Casa, analyste chez ActivTrades, pour qui le marché reste cependant "baissier". Autre facteur qui pèse sur les prix, l'abondance des stocks américains alors que l'API, la Fédération professionnelle du secteur, a fait état d'une hausse "inattendue" des stocks de brut de 4,1 millions de barils la semaine dernière. Plus tard dans la journée, les investisseurs s'intéresseront aux chiffres officiels du gouvernement américain, considéré comme plus fiables. Selon la médiane d'un consensus établi par l'agence Bloomberg, les investisseurs s'attendent à une hausse des stocks de brut de 1,9 million de barils et à des baisse de 900.000 barils pour ceux d'essence et de 2 millions pour les autres produits distillés (fioul de chauffage et gazole), pour la semaine achevée le 4 octobre. Vers 10h20 GMT, le baril de Brent de la mer duNord pour livraison en décembre valait 58,92 dollars à Londres, en hausse de 1,17 %par rapport à la clôture de mardi. ANewYork, le baril américain de WTI pour novembre gagnait 1,10 % à 53,21 dollars. Les prix pourraient récemment avoir "en partie" profité des nouvelles de l'Equateur "où environ un tiers de laproduction pétrolière est menacé par les manifestations qui se poursuivent", a expliqué Carsten Fritsch, analyste pour Commerzbank. Néanmoins, "les tensions sino-américaines pèsent sur les attentes du marché concernant la demande future", a ajouté Fiona Cincotta, analyste pour City Index. Alors que les négociations commerciales doivent reprendre jeudi, le ton entre les deux pays est monté ces derniers jours alors que les Etats-Unis ont dénoncé une "campagne de répression" contre les musulmans ouïghours au Xinjiang. Washington a ainsi placé sur une liste noire 28 organisations gouvernementales et commerciales chinoises et a annoncé des "restrictions" dans l'octroi de visas américains à des responsables du gouvernement et du Parti communiste chinois. Selon l'agence Bloomberg, la Chine reste cependant ouverte à un accord partiel, tandis que le Financial Times a révélé que le pays proposait d'acheter davantage de soja américain. Ces informations apportent "un peu plus d'optimisme" et ont contribué à porter les prix du pétrole, a souligné Carlo Alberto De Casa, analyste chez ActivTrades, pour qui le marché reste cependant "baissier". Autre facteur qui pèse sur les prix, l'abondance des stocks américains alors que l'API, la Fédération professionnelle du secteur, a fait état d'une hausse "inattendue" des stocks de brut de 4,1 millions de barils la semaine dernière. Plus tard dans la journée, les investisseurs s'intéresseront aux chiffres officiels du gouvernement américain, considéré comme plus fiables. Selon la médiane d'un consensus établi par l'agence Bloomberg, les investisseurs s'attendent à une hausse des stocks de brut de 1,9 million de barils et à des baisse de 900.000 barils pour ceux d'essence et de 2 millions pour les autres produits distillés (fioul de chauffage et gazole), pour la semaine achevée le 4 octobre.