Les représentants des 13 syndicats autonomes activant sous la bannière de la Confédération des syndicats algériens (CSA), ont décidé l'organisation d'une journée de protestation nationale, le 29 octobre prochain Une grève qui sera accompagnée par des manifestations dans toutes les wilayas, à 10 h du matin. Les représentants des 13 syndicats autonomes activant sous la bannière de la Confédération des syndicats algériens (CSA), ont décidé l'organisation d'une journée de protestation nationale, le 29 octobre prochain Une grève qui sera accompagnée par des manifestations dans toutes les wilayas, à 10 h du matin. La CSA qui se dit, toujours, en faveur des "mesures d'apaisement" et du "dialogue", ne peut ignorer la répression et les "arrestations qui ont ciblé les activistes du Hirak". "Une violation" manifeste des "droits et libertés constitutionnelles" et des "conventions internationales ratifiées par l'Algérie", liton dans le communiqué signé par les représentants des organisations syndicales le 17 octobre. Ne se prononçant pas sur la Présidentielle du 12 décembre prochain, la CSA ne manque pas de marquer sa "désapprobation des lois confectionnées ou celles en préparation par un gouvernement illégitime". La CSA rappelle le caractère pacifique de la contestation et appelle une nouvelle fois, au "départ du gouvernement illégitime de Noureddine Bedoui". ll met en garde contre la mise en route des lois sur les hydrocarbures et celle de la retraite. La CSA rappelle aussi le "danger du recours au gaz de schiste et ses retombées sur la santé et l'environnement" des régions d'exploration, dénonce "la répression des activistes et leurs arrestations" et les pressions et tentatives de "musellement de la presse, publique et privée". La CSA qui se dit, toujours, en faveur des "mesures d'apaisement" et du "dialogue", ne peut ignorer la répression et les "arrestations qui ont ciblé les activistes du Hirak". "Une violation" manifeste des "droits et libertés constitutionnelles" et des "conventions internationales ratifiées par l'Algérie", liton dans le communiqué signé par les représentants des organisations syndicales le 17 octobre. Ne se prononçant pas sur la Présidentielle du 12 décembre prochain, la CSA ne manque pas de marquer sa "désapprobation des lois confectionnées ou celles en préparation par un gouvernement illégitime". La CSA rappelle le caractère pacifique de la contestation et appelle une nouvelle fois, au "départ du gouvernement illégitime de Noureddine Bedoui". ll met en garde contre la mise en route des lois sur les hydrocarbures et celle de la retraite. La CSA rappelle aussi le "danger du recours au gaz de schiste et ses retombées sur la santé et l'environnement" des régions d'exploration, dénonce "la répression des activistes et leurs arrestations" et les pressions et tentatives de "musellement de la presse, publique et privée".