Les coupures d'Internet génèrent de lourdes pertes à l'Algérie. Selon le dernier rapport de l'agence internationale Ecofin citant une étude spécialisée, l'Algérie perd 250 millions de dollars comme impact sur les secteurs vitaux de son économie. Les coupures d'Internet génèrent de lourdes pertes à l'Algérie. Selon le dernier rapport de l'agence internationale Ecofin citant une étude spécialisée, l'Algérie perd 250 millions de dollars comme impact sur les secteurs vitaux de son économie. Le rapport, qui vient d'être publié sur le site de cette agence, évoque l'Algérie comme "un pays qui a une infrastructure moyenne pour le Net mais qui reste insuffisante pour la 4G avec une faiblesse du débit". Mais ce sont surtout les dernières coupures durant la session du Bac pendant 5 jours qui ont perturbé grandement lanconnexion à travers le pays. La faiblesse du débit ou son inexistence durant plusieurs jours. Pour cette agence "l'Algérie reste classée à la 120e place dans l'économie digitale et 6e au rang mondial en termes de coupures Internet mais dispose d'atouts puisque le réseau Intranet est solvable". En termes d'impact sur les secteurs de l'administration et les transactions commerciales, c'est la perte sèche. Un des responsables du secteur de l'assurance en l'occurrence "Alliance groupe" a déclaré à une chaine de TV privée que "le groupe perd 50.000 transactions et contrats suite à la non disponibilité de la connexion durant les 5 jours de Bac". Un autre expert en TIC Youcef Boucherim a déploré que "l'économie digitale reste à la traine malgré les instructions du président de la République appelant à son renforcement" en ajoutant "qu'il ne faut pas parler de paiement électronique, de startups et de terminaux de paiement et couper Internet". Pour sa part, Souhil Guessoum, spécialisteen technologie digitale estime que "l'entreprise qui emploie Internet dans ces échanges de mail perdra en productivité à cause d'une communication diminuée ou celles qui comme les centres d'appel ou ceux qui gèrent des plateformes en ligne ou de ceux qui ont comme fondement la technologie Cloud". De même que les administrations et institutions publiques restent pénalisées par ces coupures récurrentes qui ne se justifient pas. Une situation qui commence d'ailleurs à peser sur les citoyens où dans des régions, la disponibilité de la connexion se fait rare. Pourtant Algérie Télécom n'a émis aucun communiqué justifiant ces coupures. Dans le flou qui caractérise ces coupures, c'est l'opérateur historique qui reste ciblé par les critiques alors que ce dernier a promis de s'engager à remédier à ce genre de situations à travers la mise en place de nouveaux systèmes de gestion des flux de débits et à l'accélération de la 4G. Le rapport, qui vient d'être publié sur le site de cette agence, évoque l'Algérie comme "un pays qui a une infrastructure moyenne pour le Net mais qui reste insuffisante pour la 4G avec une faiblesse du débit". Mais ce sont surtout les dernières coupures durant la session du Bac pendant 5 jours qui ont perturbé grandement lanconnexion à travers le pays. La faiblesse du débit ou son inexistence durant plusieurs jours. Pour cette agence "l'Algérie reste classée à la 120e place dans l'économie digitale et 6e au rang mondial en termes de coupures Internet mais dispose d'atouts puisque le réseau Intranet est solvable". En termes d'impact sur les secteurs de l'administration et les transactions commerciales, c'est la perte sèche. Un des responsables du secteur de l'assurance en l'occurrence "Alliance groupe" a déclaré à une chaine de TV privée que "le groupe perd 50.000 transactions et contrats suite à la non disponibilité de la connexion durant les 5 jours de Bac". Un autre expert en TIC Youcef Boucherim a déploré que "l'économie digitale reste à la traine malgré les instructions du président de la République appelant à son renforcement" en ajoutant "qu'il ne faut pas parler de paiement électronique, de startups et de terminaux de paiement et couper Internet". Pour sa part, Souhil Guessoum, spécialisteen technologie digitale estime que "l'entreprise qui emploie Internet dans ces échanges de mail perdra en productivité à cause d'une communication diminuée ou celles qui comme les centres d'appel ou ceux qui gèrent des plateformes en ligne ou de ceux qui ont comme fondement la technologie Cloud". De même que les administrations et institutions publiques restent pénalisées par ces coupures récurrentes qui ne se justifient pas. Une situation qui commence d'ailleurs à peser sur les citoyens où dans des régions, la disponibilité de la connexion se fait rare. Pourtant Algérie Télécom n'a émis aucun communiqué justifiant ces coupures. Dans le flou qui caractérise ces coupures, c'est l'opérateur historique qui reste ciblé par les critiques alors que ce dernier a promis de s'engager à remédier à ce genre de situations à travers la mise en place de nouveaux systèmes de gestion des flux de débits et à l'accélération de la 4G.