Après la convocation du corps électoral par le président de la République, Adelmadjid Tebboune, jeudi dernier, il était évident que la classe politique n'allait pas tarder à se prononcer sur le prochain rendez-vous électoral. Les partis politiques notamment commencent ainsi à se positionner par rapport à ces élections législatives anticipées du 12 juin prochain. Après la convocation du corps électoral par le président de la République, Adelmadjid Tebboune, jeudi dernier, il était évident que la classe politique n'allait pas tarder à se prononcer sur le prochain rendez-vous électoral. Les partis politiques notamment commencent ainsi à se positionner par rapport à ces élections législatives anticipées du 12 juin prochain. Si certaines formations politiques se sont prononcées en faveur de la participation, ce qui n'a guère constitué une surprise, cela n'a pas été le cas pour d'autres partis. Il en est ainsi du Parti des travaileurs (PT) qui vient d'annoncer qu'il ne participer pas aux prochaines joutes électorales. Il est ainsi le premier parti politique à annoncer le boycott des législatives anticipées ce qui, en verité, n'est guère une surprise puisque cette position était attendue. Cette annonce a été faite hier, par la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, lors d'une conference de presse organisée à l'issue de la tenue d'une session du comité central. Louisa Hanoune a souligné que cette décision obéit à des considérations "stratégiques et non tactiques", expliquant que son parti a "dressé une feuille de route axée sur le soutien et l'appui aux travailleurs et à leurs syndicats". Selon la conférenciére, par cette position le PT "ex prime franchement son doute quant à la transparence des prochaines élections" car Louisa Hanoune a estimé que "l'issue du scrutin est connue d'avance, ce qui constitue un coup dur pour le multipartisme". Le PT a pratiquement onné des signes avant-coureurs quant à cette position puisque la secrétaire générale a laissé entendre ces derniers jours que la priorité pour sa formation politique à l'heure actuelle demeure "les revendications sociales et économiques qui s'imposent". Cette décision de boycott intervient alors que des partis ont annoncé leur participation. Il est incontestable que d'autres formations politiques vont emboîter le pas au PT. Des observateurs ont indiqué que des partis, notamment ceux affiliés à la mouvance dite démocratique, n'etaient pas prêts a prendre part au scrutin du juin prochain et l'option du boycott reste leur seul choix pour exprimer leur rejet de la feuille de route politique que suit le pouvoir depuis le 12 décembre 2019 et la tenue de l'élection présidentielle ayant consacré Abdelmadjid Tebboune comme Président. L'on pense ainsi au parti du RCD, dont les positions sont presque similaires à celles du PT. Il en est aussi du parti que préside Zoubida Assoul, l'Union pour le changement et le progrès (UCP). D'ailleurs les trois partis sont membres du Pacte de l'alternative démocratique (PAD). Un groupe politique qui n'a eu de cesse de rejeter l'agenda du pouvoir en appelant notamment à une transition démocratique et en plaidant ouvertement pour une assemblée constituante seule à même, selon eux, de doter le pays d'institutions véritablement démocratiques et ce conformément aux revendications du hirak. Si certaines formations politiques se sont prononcées en faveur de la participation, ce qui n'a guère constitué une surprise, cela n'a pas été le cas pour d'autres partis. Il en est ainsi du Parti des travaileurs (PT) qui vient d'annoncer qu'il ne participer pas aux prochaines joutes électorales. Il est ainsi le premier parti politique à annoncer le boycott des législatives anticipées ce qui, en verité, n'est guère une surprise puisque cette position était attendue. Cette annonce a été faite hier, par la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, lors d'une conference de presse organisée à l'issue de la tenue d'une session du comité central. Louisa Hanoune a souligné que cette décision obéit à des considérations "stratégiques et non tactiques", expliquant que son parti a "dressé une feuille de route axée sur le soutien et l'appui aux travailleurs et à leurs syndicats". Selon la conférenciére, par cette position le PT "ex prime franchement son doute quant à la transparence des prochaines élections" car Louisa Hanoune a estimé que "l'issue du scrutin est connue d'avance, ce qui constitue un coup dur pour le multipartisme". Le PT a pratiquement onné des signes avant-coureurs quant à cette position puisque la secrétaire générale a laissé entendre ces derniers jours que la priorité pour sa formation politique à l'heure actuelle demeure "les revendications sociales et économiques qui s'imposent". Cette décision de boycott intervient alors que des partis ont annoncé leur participation. Il est incontestable que d'autres formations politiques vont emboîter le pas au PT. Des observateurs ont indiqué que des partis, notamment ceux affiliés à la mouvance dite démocratique, n'etaient pas prêts a prendre part au scrutin du juin prochain et l'option du boycott reste leur seul choix pour exprimer leur rejet de la feuille de route politique que suit le pouvoir depuis le 12 décembre 2019 et la tenue de l'élection présidentielle ayant consacré Abdelmadjid Tebboune comme Président. L'on pense ainsi au parti du RCD, dont les positions sont presque similaires à celles du PT. Il en est aussi du parti que préside Zoubida Assoul, l'Union pour le changement et le progrès (UCP). D'ailleurs les trois partis sont membres du Pacte de l'alternative démocratique (PAD). Un groupe politique qui n'a eu de cesse de rejeter l'agenda du pouvoir en appelant notamment à une transition démocratique et en plaidant ouvertement pour une assemblée constituante seule à même, selon eux, de doter le pays d'institutions véritablement démocratiques et ce conformément aux revendications du hirak.