Le plan d'action du gouvernement examiné, avant-hier, par l'exécutif présidé par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a donné des directives et des orientations pour moderniser et numériser le processus normatif, à améliorer la qualité des textes juridiques, à consolider la sécurité juridique en garantissant l'accessibilité, la lisibilité, Le plan d'action du gouvernement examiné, avant-hier, par l'exécutif présidé par le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a donné des directives et des orientations pour moderniser et numériser le processus normatif, à améliorer la qualité des textes juridiques, à consolider la sécurité juridique en garantissant l'accessibilité, la lisibilité, la stabilité, l'effectivité des textes, et à renforcer les capacités des institutions de l'Etat en la matière. Invité, hier, de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, pour donner son avis sur cette réunion du gouvernement, Abdelwahab Ziani, président de la Confédération des industriels et producteurs algérien (Cipa), estime que "c'est une bonne direction et une bonne volonté d'aller vers l'accompagnement de l'entreprise, notamment en cette période de crise". Maintenir l'outil de production est vital pour l'économie nationale, dit-il en précisant qu'"aujourd'hui on peine à travailler et ce, depuis pas moins de trois ans." Pour l'orateur, les mesures qui ont été prises hier par le Conseil des ministres sont "encourageantes pour les entreprises". "On a besoin d'être encouragé à aller de l'avant mais la bureaucratie freine toujours même durant cette pandémie", regrette-t-il. "On souhaite aller plus vite pour digitaliser, défiscaliser et dépénaliser toutes ces choses-là qui doivent accompagner l'entreprise". Et le président de la Cipa d'ajouter "l'objectif premier c'est de combattre la bureaucratie". Enchaînant dans le même ordre d'idées, Abdelwahab Ziani, estime que "beaucoup de sociétés ont été forcées de mettre la clé sous le paillasson à cause de la bureaucratie". En argumentant ses dires, il indique qu'"il n'existe aucun document, par exemple, que l'on peut obtenir en un jour". Rien que "pour les autorisations d'exploitation, il faut 4 à 10 ans pour les avoir", dit-il, insistant à rappeler que "c'est pour ça que je le redis encore une fois, notre ennemi c'est la bureaucratie". Le président de la Confédération des industriels et producteurs algériens avoue que "les choses ont bien commencé cette année pour nos entreprises, mais malheureusement une troisième vague de coronavirus vient encore une fois freiner l'essor de l'économie nationale". Justement "on a besoin d'être soutenu par rapport aux textes de loi qui viennent un peu faciliter le travail au niveau national pour produire plus et pourquoi pas aller vers l'exportation", fait-il savoir. Après avoir rencontré le président de la République, Abdelwahab Ziani, souhaiterait rencontrer maintenant le chef du gouvernement pour aller vite et discuter des problèmes que rencontrent les chefs d'entreprise. "On est des hommes de terrain, les chefs d'entreprise ont besoin de dialoguer avec les institutions", recommande le patron de la Cipa, soulignant que "le dialogue ne doit pas cesser". C'est avec le dialogue, explique-t-il, que"nous réussirons à faire sortir notre pays de cette crise que nous sommes en train de supporter". la stabilité, l'effectivité des textes, et à renforcer les capacités des institutions de l'Etat en la matière. Invité, hier, de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne, pour donner son avis sur cette réunion du gouvernement, Abdelwahab Ziani, président de la Confédération des industriels et producteurs algérien (Cipa), estime que "c'est une bonne direction et une bonne volonté d'aller vers l'accompagnement de l'entreprise, notamment en cette période de crise". Maintenir l'outil de production est vital pour l'économie nationale, dit-il en précisant qu'"aujourd'hui on peine à travailler et ce, depuis pas moins de trois ans." Pour l'orateur, les mesures qui ont été prises hier par le Conseil des ministres sont "encourageantes pour les entreprises". "On a besoin d'être encouragé à aller de l'avant mais la bureaucratie freine toujours même durant cette pandémie", regrette-t-il. "On souhaite aller plus vite pour digitaliser, défiscaliser et dépénaliser toutes ces choses-là qui doivent accompagner l'entreprise". Et le président de la Cipa d'ajouter "l'objectif premier c'est de combattre la bureaucratie". Enchaînant dans le même ordre d'idées, Abdelwahab Ziani, estime que "beaucoup de sociétés ont été forcées de mettre la clé sous le paillasson à cause de la bureaucratie". En argumentant ses dires, il indique qu'"il n'existe aucun document, par exemple, que l'on peut obtenir en un jour". Rien que "pour les autorisations d'exploitation, il faut 4 à 10 ans pour les avoir", dit-il, insistant à rappeler que "c'est pour ça que je le redis encore une fois, notre ennemi c'est la bureaucratie". Le président de la Confédération des industriels et producteurs algériens avoue que "les choses ont bien commencé cette année pour nos entreprises, mais malheureusement une troisième vague de coronavirus vient encore une fois freiner l'essor de l'économie nationale". Justement "on a besoin d'être soutenu par rapport aux textes de loi qui viennent un peu faciliter le travail au niveau national pour produire plus et pourquoi pas aller vers l'exportation", fait-il savoir. Après avoir rencontré le président de la République, Abdelwahab Ziani, souhaiterait rencontrer maintenant le chef du gouvernement pour aller vite et discuter des problèmes que rencontrent les chefs d'entreprise. "On est des hommes de terrain, les chefs d'entreprise ont besoin de dialoguer avec les institutions", recommande le patron de la Cipa, soulignant que "le dialogue ne doit pas cesser". C'est avec le dialogue, explique-t-il, que"nous réussirons à faire sortir notre pays de cette crise que nous sommes en train de supporter".